| Antoine Madrolle - Church and state - 1827 - 468 pages
...ces belles paroles de Dieu , ainsi traduites dans la Politique de Bossuet : i « Le frère qui aide son frère est comme une ville forte. Voyez comme les forces se multiplient par la société et le secours mutuel (i). » « II vaut mieux être deux ensemble que d'être seul ; car on trouve une... | |
| Constantin Pecqueur - Economic history - 1840 - 410 pages
...l'évGque de Meaux : « Chaque homme doit avoir soin des autres hommes. L'intérêt même nous unit. Le frère aidé de son frère est comme une ville forte. Voyez comme les forces se multiplient parla société et le secours mutuel. » Certes la religion qui a dicté les généralités suivantes... | |
| Constantin Pecqueur - Desarrollo economico - 1841 - 422 pages
...l'évêque de Meaux : « Chaque homme doit avoir soin des autres hommes. L'intérêt même nous unit. Le frère aidé de son frère est comme une ville...comme les forces se multiplient par la société et le secours mutuel. » Certes la religion qui a dicté les généralités suivantes d'économie politique... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 842 pages
...dans un même lit , se réchauffent ïnu« tuellement. Qu'y at-il de plus froid qu'on homme « seul? Si quelqu'un est trop fort contre un seul , « deux...corde à trois « cordons est difficile à rompre '. » On se console , on s'assiste , on se fortifie l'un l'autre. Dieu voulant établir la société... | |
| François Villegardelle - Socialism - 1846 - 234 pages
...n'est-ce pas un même liien qui nous a créés? pourquoi donc chacun de nous mcprise-t-ii son frère? » a Le frère, aidé de son frère , est comme une ville...comme les forces se multiplient par la société et le secours mutuel. Il vaut mieux être deux que d'être seul ; car on trouve une grande utilité dans... | |
| François Villegardelle - Christian sociology - 1846 - 242 pages
...tombe, l'autre le soutient. Malheur à celui qui est seul ! s'il tombe, il n'a personne pour le relever. Si quelqu'un est trop fort contre un seul, deux pourront lui résister. On se console, on s'assiste , on se fortifie l'un l'autre. En établissant la société Dieu veut que... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - Church history - 1847 - 870 pages
...reposés dans un même lit, se réchauffent mu« tuellement. Qu'y at-il de plus froid qu'un homme « seul? Si quelqu'un est trop fort contre un seul , « deux...corde à trois <• cordons est difficile à rompre '. » On se console , on s'assiste , on se fortifie l'un l'autre. Dieu voulant établir la société,... | |
| Adrien Egron - Charities - 1847 - 466 pages
...lorsqu'il s'écriait : .1 Chaque homme doit avoir soin des autres hommes, l'intérêt même nous unit. Le frère aidé de son frère est comme une ville...comme les forces se multiplient par la société et le secours mutuel. » Ainsi toujours le sentiment religieux tend à rapprocher, ;\ réunir, à associer... | |
| Ferdinand Béchard - Labor laws and legislation - 1849 - 492 pages
...ne doit pas s'isoler : Vœ soli ! s'écrie l'auteur du livre de la Sagesse; et \'Ecclésiasle : « Le frère aidé de son frère est comme une ville forte. Voyez comme les forces se mtiltiplient par la société et les secours mutuels : si quelqu'un est trop fort contre un seul, deux... | |
| Ferdinand Bechard - 1851 - 582 pages
...l'homme ne doit pas s'isoler : Vœ soli ! s'écrie l'auteur du livre de la Sagesse; et \ 'Ecde'siaste : «Le frère aidé de son frère est comme une ville...rompre.» « Qu'ils soient un comme nous sommes un, dit l'Évaiigéliste, afin qu'ils soient tous ensemble; comme vous êtes en moi et moi en vous, qu'ils... | |
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