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No. 3435, M. Melogin, le 14 Avril 1783, de cataracte certifiée, guéri en 15 mois, contre l'incrédulité des Gens de l'art, & à leur confufion.

No. 3422, Madame Vard, âgée de 68 ans, conduite de cataracte certifiée, guérie en 15 mois, auffi contre l'incrédulité des gens de l'art,

Aveugles de paralyfies, & goutte-fereine, maladie qui n'a jamais été guérie dans l'Univers, que par l'Eau du S' Loche, maladie incurable.

Elle a guéri au No. 6576, M. Trochon, âgé de 29 ans, conduit aveugle, goutte-fereine, guéri en 6 mois.

de

No. 6976, Mademoiselle Halard, le 1 Août 1790, fut conduite aveugle de paralyfie & goutte fereine, de fuites de mauvais traitemens; fes yeux étoient comme les yeux d'un noyé, pour comparaifon, guérie en 10 mois : guérifon furprenante.

No. 6259, Madame Feray, âgée de 37 ans, aveugle, de goutte-fereine, le 14 Juillet 1788: guérifon furprenante, en io mois. Ses yeux ont faigné abondamment à 16 traitemens de fuite. J'ai fait peindre ses yeux malades, & peints après la guérifon, pour conftater la vérité d'un fait fi rare.

No 6449, Derion, âgé de 35 ans, conduit aveugle, de goutte-fereine, le 11 Juillet 1787, guéri en huit mois.

No 6450, Madame Courture agée de 53 ans, conduite aveugle, de goutte sereine, guérie en dix mois.

N° 6492, Mademoiselle Fontenot âgée de 20 ans, l'oeil droit crevé par un accident, guérie en dix mois.

aveugle, de goutte⚫ fereine,

N° 6670, Mademoiselle Guecherard, agée de 24 ans, conduite aveugle, de gouttefereine, le 13 Mai 1789, rendue aveugle par M. Grandjean, par des faignées du pied, &c., guérie en 8 mois.

6483, conduites aveugles, de goutte-fereine, le 25 Septembre 1787, guéries en 10 mois.

N° 6445, aveugle, de goutte-fereine, guéri en 8 mois; N° 6492, aveugle, de goutte fereine, guéri en 8 mois; N° 6976, aveugle, de goutte fereine, guéri en 8 mois; N° 6569, aveugle, de goutte fereine, guéri en 3 mois ; No 6696, aveugle, de goutte-fereine, guéri en S mois; N° 6704, aveugle, de goutte-fereine, guéri en 8 mois; N° 6571, aveugle, de goutte-fereine, guéri en 8 mois; No 6834, aveugle de goutte-fereine, guéri en 8 mois; N° 5910, aveugle de goutte fereine guéri en 8 mois, &c. guérilons qui ne peuvent être crues que par ceux qui les ont vu traiter, fait peindre les yeux étant malades, & peints après la guérison.

Elle a guéri, au No. 6865, une maladie très-grave, d'ulcère & dépôt à la matrice, jugée incurable, après 14 mois de traitement, en fix mois ; certifiée par fon mari, le 10 Juin 1790, c'eft avec des injections de fon eau avec une seringue de propreté qu'elle a été guérie.

Elle a guéri, fur plus de vingt cinq mille numéros, les maladies fuivantes : pertes, laits répandus, inflammations de bas-ventre, ulceres cancéreux, carnofités, chancres, dépôts, de la groffeur du poing, & durs comme la pierre, tous cancéreux, fuivis de douleurs cruelles, traités par des gens de l'art, à Paris, depuis 1781, jusqu'en Septembre 1787, fans fuccès, guéris en huit mois: toutes guérifons furprenantes fans cautères ni véficatoires; mais des injections de fon eau les a guéris tous.

J'ai choifi ces guérifons, entre mille, & mille autres, & je prie inftamment les Lecteurs d'être perfuadés, que je ne les insère ici, que pour fatisfaire à l'empreffement de plufieurs perfonnes qui m'ont écrit de Vienne, de Ca'cuta dans le Bengal, dans les "Grandes-Indes, à fix mille lieues de Paris, en date des 3 Février 1791, & 30 Mars 1791; celle de Vienne fuit la teneur:

Monfieur, vous me devez une réponse à ma précédente, des détails fur les nouvelles cures, que votre Eau merveilleufe eft en poffeffion d'opérer; je les lis avec d'autant plus d'avidité, que mon zèle pour la guérifon des maladies, et toujours animé par l'utilité d'un remède, applicable à tant de cas; cela me conduit naturellement à vous demander, fi vous avez des enfans ou héritiers, à qui vous puiffiez tranfmettre votre admirable fecret; certes, il mérite d'être confervé auffi longtems que le

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Quel avantage plus précieux que celui de rendre à une infinité d'êtres fouffrans, ce qu'ils ont de plus précieux, la fanté!

Vous aurez fans doute fait vos difpofitions à cet égard, quant aux miennes envers vous, elles feront toujours celles de la plus parfaite eftime, avec laquelle je fuis,

MONSIEUR,

Votre très-humble fervante, la
Comteffe de ***.

Des doigts écrafes & noirs de fang extravafé, des ongles menacés de tomber ont été guéris, en les faifant tremper une heure ou environ dans un verre de cette EAU, fuivant la gravité de l'accident.

S'il furvenoit que le fang fortit par l'oeil, ou par le nez (ce qui arrive à des yeux malades, par des révolutions de Jang, engorgemens, coups où chûtes violentes), que le malade n'en foit pas inquiet, cela lui procurera une prompte guérifon : il y a des malades à qui il en eft forti plus de trente gouttes.

M. Pailleux de Saint-Charles, Négociant à Paris, le 23 Août 1780, âgé de 54 ans; depuis 15 ans, fa vue étoit devenue au point de ne pouvoir plus lire ni écrire avec des lunettes, dont il fe fervoit depuis 18 ans. Avant 3 mois, il a eu la fatiffaétion de travailler aisément, même le foir à la chandelle.

M. Martin, de Paris, conduit comme aveugle, le 28 juillet 1782, âgé de 60 ans ; - depuis 3 ans, fa vue s'étoit affoiblie au point de ne pouvoir rien diftinguer, avec des lunettes de toutes espèces de point de vue ; au bout de 3 mois, il a pu lire & écrire avec des lunettes, chofe furprenante à cet âge.

M. Bergeret de Frouville, Officier au Régiment Royal-Lorraine, Cavalerie, conduit, le 23 Octobre 1782, depuis 4 ans, de fuites de petite vérole, mal traitée, fa vue affectée de paralyfie, ne pouvant fouffrir ni jour, ni lumiere; depuis 18 mois il étoit obligé d'avoir des lunettes en fe levant, & ne pouvoit les quitter que le foir, étant dans fon lit.

De Charleville, le Décembre 1782. Par fa Lettre, «toutes les inflamma"tions, & mes douleurs font totalement difparues; en un mot, i! y a to jours » que je ne fcai pas où font mes lunettes. Signé &c.

Tous Meffieurs les Oculiftes peuvent en faire autant, avec de mon Eau, & nous ferions ensemble bien des heureux.

Nota. On recommande de ne jamais mettre de compresses, parce qu'elles empêchent l'humeur de fortir, & occafionnent différens accidens: il ne faut pas non plus les laver avec de l'eau fraîche, mais avec de l'eau tiède, quand le cas l'exige.

On trouve le fieur LOCHE chez lui depuis 9 heures du matin jufqu'à une heure après-midi, & il continue, comme il l'a toujours fait, de traiter les PAUVRES gratuitement.

Le prix des petites Bouteilles de fon EAU, prife chez lui, eft de 3 liv & 6 fols pour l'emballage, & aux Bureaux de province, 3 liv. 12 fols.

Les Perfonnes qui lui feront l'honneur de lui écrire, font priées de vouloir bien affranchir leurs Lettres.

A PARIS, de l'hnprimerie de N. H. Nyon, rue Mignon „Saint An Iré-des-Ares,

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