Revue des deux mondes, Volume 3François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1901 - France |
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allait allemande Alsace Alsheim anglais assez avaient Bastian Bonaparte c'était cause chambre Chine Chinois chose cœur colonel Commequiers Consul côté coup d'Alsheim d'autres devant Dieu dire donner douanes Duc de Bourgogne Émile Ollivier Émilienne enfans esprit eût Farnow femme Ferry fille fleurs fût Gambetta général gens gouvernement grêle grève guerre Hankéou heures Higginson hommes j'ai jamais jardin Jean Oberlé jeune Joseph Oberlé jour journaux Jules Favre Jules Ferry l'homme laisser légation lettre Lucienne Lydie main maison Mandchourie ment mètres Michel Mickiewicz millions ministre monde n'avait n'était Nanteuil nationale Odile ouvriers Parisiens parler passer patriotisme Paul Hervieu pays Pékin pensée personne peuple peut-être philosophie Pierrelay politique porte premier présent presque prince qu'un républicain République reste Révolution rien s'est s'était salon Saussine scène semble sentimens sentiment serait seulement siècle Sieyès soir soldats sorte Spinoza surtout Tacite taëls théâtre Thiers tion trouve Ulrich Victor Hugo visage voix yeux
Popular passages
Page 277 - Lorsque, dans le silence de l'abjection, l'on n'entend plus retentir que la chaîne de l'esclave et la voix du délateur, lorsque tout tremble devant le tyran, et qu'il est aussi dangereux d'encourir sa faveur que de mériter sa disgrâce, l'historien paraît, chargé de la vengeance des peuples. C'est en vain que Néron prospère. Tacite est déjà né dans l'empire; il croît inconnu auprès des cendres de Germanicus, et déjà l'intègre Providence a livré à un enfant obscur la gloire du maître...
Page 390 - Un Astrologue un jour se laissa choir Au fond d'un puits. On lui dit : Pauvre bête, Tandis qu'à peine à tes pieds tu peux voir, Penses-tu lire au-dessus de ta tête ? Cette aventure en soi, sans aller plus avant, Peut servir de leçon à la plupart des hommes.
Page 928 - Il n'ya guère de personnes à qui il n'en coûte cher pour avoir trop espéré ; ce qui aurait rendu heureux n'a plus rien que de dégoûtant, dès qu'on a envisagé un état plus haut. Si une fille doit vivre à la campagne, de bonne heure tournez son esprit aux occupations qu'elle...
Page 884 - France : qu'elle ne peut pas être seulement un pays libre; qu'elle doit aussi être un grand pays, exerçant sur les destinées de l'Europe toute l'influence qui lui appartient, qu'elle doit répandre cette influence sur le monde, et porter partout où elle le peut sa langue, ses mœurs, son drapeau, ses armes, son génie.
Page 927 - ... perdent la moitié de leur prix. Croyezmoi, mère judicieuse, ne faites point de votre fille un honnête homme, comme pour donner un démenti à la nature; faites-en une honnête femme, et soyez sûre qu'elle en vaudra mieux pour elle et pour nous.
Page 550 - O qu'il ya loin depuis le mépris et la lassitude de soimême jusqu'à la véritable correction ! Je suis à moi-même tout un grand diocèse , plus accablant que celui du dehors, et que je ne saurais réformer.
Page 552 - Il ya mis néanmoins la condition de ne vous point parler en particulier, mais je suivrai cet ordre et néanmoins pourrai vous entretenir tant que je voudrai puisque j'aurai avec moi Saumery, qui sera le tiers de notre première entrevue après cinq ans de séparation. C'est assez vous en dire...
Page 925 - Ce sera sans doute un grand paradoxe, qu'elles doivent apprendre autre chose que leur catéchisme, la couture et divers petits ouvrages ; chanter, danser et s'habiller à la mode, faire bien la révérence et parler civilement, car voilà en quoi l'on fait consister, pour l'ordinaire, toute leur éducation.
Page 304 - Aussi vivent-elles sous la garde de la chasteté, loin des spectacles qui corrompent les mœurs, loin des festins qui allument les passions. Hommes et femmes ignorent également les mystérieuses correspondances.
Page 925 - Apprenez à une fille à lire et à écrire correctement. Il est honteux, mais ordinaire, de voir des femmes qui ont de l'esprit et de la politesse, ne savoir pas bien prononcer ce qu'elles lisent; ou elles hésitent, ou elles chantent en lisant; au lieu qu'il faut prononcer d'un ton simple et naturel, mais ferme et uni. Elles manquent encore plus grossièrement pour l'orthographe, ou pour la manière de former ou de lier...