Revue des facultés catholiques de l'ouest |
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anciens années appelle arrive assez aujourd'hui aurait avaient avant avons beau belle C'était catholique cause chef choses chrétien commencement côté coup cours d'Angers d'autres demande dernier devant Dieu dire doit donner doute écrit effet élèves enfants enfin esprit Faculté faisait famille femme fils fond force forme fort garde général gens grec haut heureux hommes idées j'ai jeune Joseph jour juger jusqu'à l'abbé l'Église l'esprit l'histoire l'homme l'un laisser lettres lieu livre loin long main marche mars Mémoires ment Messieurs mieux monde montre morale mort moyen n'en n'était nature naturel nombre nouveau nouvelle parler parole passer pays peine pendant pensée père personne petite peuple peut-être place porte pouvait premier présente presque prêtre pris professeurs qu'un question raison religieuse René reste rien s'il saint savant science semble sentiments serait seulement siècle société sorte souvent suivant surtout terre tion traits trouve venait vérité vive voie vrai
Popular passages
Page 126 - Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants comme une poule rassemble ses petits sous ses ailes : et tu ne l'as pas voulu!
Page 667 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.
Page 761 - Car, enfin, qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini , un tout à l'égard du néant , un milieu entre rien et tout.
Page 385 - Dors-tu content, Voltaire, et ton hideux sourire Voltige-t-il encor sur tes os décharnés ? Ton siècle était, dit-on, trop jeune pour te lire; Le nôtre doit te plaire, et tes hommes sont nés.
Page 956 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Page 454 - Vous qui regrettez un ami vertueux , vous aimez à penser que la plus belle partie de lui-même a échappé au trépas ! Vous qui pleurez sur le cercueil d'un fils ou d'une épouse , êtes-vous consolés par celui qui vous dit qu'il ne reste plus d'eux qu'une vile poussière...
Page 455 - Le véritable prêtre de l'Être suprême, c'est la nature ; son temple, l'univers ; son culte, la vertu ; ses fêtes, la joie d'un grand peuple rassemblé sous ses yeux pour resserrer les doux nœuds de la fraternité universelle et pour lui présenter l'hommage des cœurs sensibles et purs.
Page 455 - ... lui sont nuisibles et à chercher ceux qui. lui conviennent. Le chef-d'œuvre de la société serait de créer en lui, pour les choses morales, un instinct rapide qui, sans le...
Page 459 - La Convention nationale appelle tous les talents dignes de servir la cause de l'humanité à l'honneur de concourir à leur établissement par des hymnes et des chants civiques, et par tous les moyens qui peuvent contribuer à leur embellissement et à leur utilité.
Page 456 - Tu donneras ton nom sacré à l'une de nos plus belles fêtes, ô toi, fille de la Nature, mère du bonheur et de la gloire, toi seule légitime souveraine du monde, détrônée par le crime, toi à qui le peuple français a rendu toa empire, et qui lui donnes en échange une patrie et des mœurs, auguste Liberté!