| Honoré-Gabriel de Riqueti comte de Mirabeau - France - 1851 - 486 pages
...assisté sur le champ de bataille et dans les hôpitaux, où des soldats, d'obscurs malades , conservaient tout leur calme , n'exprimaient pas un regret de quitter...ya beaucoup de vrai dans ce que vous « dites là, répliqua Mirabeau. » — Et puis nous parlâmes d'autre chose. « J'avais oublié toute cette conversation,... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - France - 1851 - 1174 pages
...assiste sur le champ de bataille et dans les hôpitaux, où des soldats, d'obscurs malades conservaient tout leur calme, n'exprimaient pas un regret de quitter...souffrant moins, ils pussent mourir plus commodément. — H ya beaucoup de vrai dans ce que vous dites là, répliqua Mirabeau. — Et puis nous parlâmes... | |
| Honoré-Gabriel de Riqueti comte de Mirabeau - France - 1851 - 498 pages
...assisté sur le champ de bataille et dans les hôpitaux, où des soldats, d'obscurs malades .conservaient tout leur calme , n'exprimaient pas un regret de quitter...souffrant moins, ils pussent mourir plus commodément. — « 11 ya beaucoup de vrai dans ce que vous « dites là, répliqua Mirabeau. » — Et puis nous... | |
| Honoré-Gabriel de Riqueti comte de Mirabeau - France - 1851 - 488 pages
...assisté sur le champ de bataille et dans les hôpitaux, où des soldats, d'obscurs malades , conservaient tout leur calme , n'exprimaient pas un regret de quitter...souffrant moins, ils pussent mourir plus commodément. — « II ya beaucoup de vrai dans ce que vous « dites là, répliqua Mirabeau. » — Et puis nous... | |
| John Lemoinne - Biography - 1852 - 398 pages
...le champ de bataille ou dans les hôpi« taux , où des soldats, d'obscurs malades, conser« vaient tout leur calme, n'exprimaient pas un regret « de...et se bornaient à demander qu'on « les plaçât dins une position où, souffrant moins, ils « pussent mourir plus commodément. « Il ya beau« coup... | |
| John Lemoinne - Biography - 1852 - 398 pages
...où des soldats, d'obscurs malades, conser« vaient tout leur calme, n'exprimaient pas un regret a de quitter la vie, et se bornaient à demander qu'on « les plaçât dins une position où, souffrant moins, ils « pussent mourir plus commodément. « Il ya beau« coup... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1855 - 488 pages
...assisté sur le champ de bataille et dans les hôpitaux, où des soldats, d'obscurs malades, conservaient tout leur calme, n'exprimaient pas un regret de quitter...ya beaucoup de vrai dans » ce que vous dites là, » répliqua Mirabeau* Et puis nous parlâmes d'autre chose. » J'avais oublié toute cette conversation,... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1855 - 494 pages
...assisté sur le champ de bataille et dans les hôpitaux, où des soldats, d'obscurs malades, conservaient tout leur calme, n'exprimaient pas un regret de quitter la vie, et se bornaient à demander qu'on les placât dans une position où, souffrant moins, ils pussent mourir plus commodément. « Il ya beaucoup... | |
| Girardin Saint-Marc - France - 1859 - 532 pages
...assisté sur le champ de bataille et dans les hôpitaux, où des soldats, d'obscurs malades, conservaient tout leur calme, n'exprimaient pas un regret de quitter...—Il ya beaucoup de vrai dans ce que vous dites là , répliqua Mirabeau. — Et puis nous parlâmes d'autre chose. J'avais oublié toute cette conversation,... | |
| Saint-Marc Girardin - France - 1859 - 532 pages
...assisté sur le champ de bataille et dans les hôpitaux, où des soldats, d'obscurs malades, conservaient tout leur calme, n'exprimaient pas un regret de quitter...Il ya beaucoup de vrai dans ce que vous dites là , répliqua Mirabeau. — Et puis nous parlâmes d'autre chose. J'avais oublié toute cette conversation,... | |
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