Oeuvres complètes de J. J. Rousseau: avec des eclaircissements et des notes historiques, Volumes 1-3Pourrat, 1831 |
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... vrai , le bon , et le beau . Mais il y a entre nous cette difference , que , quoique ces e sachent rien , tous croient savoir quel- de : au lieu que moi , si je ne sais rien , moins je n'en suis pas en doute . De sorte toute cette ...
... vrai , le bon , et le beau . Mais il y a entre nous cette difference , que , quoique ces e sachent rien , tous croient savoir quel- de : au lieu que moi , si je ne sais rien , moins je n'en suis pas en doute . De sorte toute cette ...
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... vrai , selon lui , que ce soit des intérêt . Je pourrais laisser les preuves de raisonne- ment ; et pour mettre M. Gautier sur son terrain . lui citerais des autorités . je is en voyez la raison ; et ce serait mal reat tre les éloges ...
... vrai , selon lui , que ce soit des intérêt . Je pourrais laisser les preuves de raisonne- ment ; et pour mettre M. Gautier sur son terrain . lui citerais des autorités . je is en voyez la raison ; et ce serait mal reat tre les éloges ...
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avec des eclaircissements et des notes historiques Jean-Jacques Rousseau. pas vrai que , sans les injustices des hommes , jurisprudence serait inutile . Un si savant autet confondrait - il la jurisprudence et les lois ? Je pourrais ...
avec des eclaircissements et des notes historiques Jean-Jacques Rousseau. pas vrai que , sans les injustices des hommes , jurisprudence serait inutile . Un si savant autet confondrait - il la jurisprudence et les lois ? Je pourrais ...
Page 121
... vrai que les sciences et les arts amollissent le courage , les biens infini qu'ils nous procurent ne seraient - ils pas encor preferables à cette vertu barbare et farouche qu fait frémir l'humanité ? » Je passe l'inutile pompeuse revue ...
... vrai que les sciences et les arts amollissent le courage , les biens infini qu'ils nous procurent ne seraient - ils pas encor preferables à cette vertu barbare et farouche qu fait frémir l'humanité ? » Je passe l'inutile pompeuse revue ...
Page 127
... vrai : la phi- fiance sur la solidité des vertus d'un peuples sophie de l'âme conduit à la véritable gloire ; billard , a ni sur la justice des éloges qui animais cele - là ne s'apprend point dans les livres . tant à se prodiguer , et ...
... vrai : la phi- fiance sur la solidité des vertus d'un peuples sophie de l'âme conduit à la véritable gloire ; billard , a ni sur la justice des éloges qui animais cele - là ne s'apprend point dans les livres . tant à se prodiguer , et ...
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Common terms and phrases
aisé alimens animaux arts assez Athènes aura avantages besoin bler bles bonheur Carnéade cause CHAP chefs choses citoyens civil cœur comices confédération constitution Contrat social corps politique Devin du village devoir diète diétines Dieu dire Discours doit donner enfans établir état eût force forme Gautier gens gloire gouvernemens gouvernement guerre hommes Hottentots intérêt j'ai jamais juger l'autre l'esprit l'Europe l'homme l'homme sauvage laisser législation liberté logne lois lois somptuaires long-temps luxe magistrats manière maximes membres ment mieux mœurs moyen n'en nation naturelle nécessaire nonces palatinats particuliers passer passions patrie peuple philosophes Platon Pologne polysynodie pouvoir premier prince propre public publique puissance puisse qu'à qu'un raison rait rapport rendre république reste reux rien rois Romains Rome s'il sage sagesse sauvages savans sciences sénat sent serait seul sitôt société Socrate soin sorte souverain Sparte sujet système talens tion toyens trouve vérité vertu vices Voilà volonté générale vrai
Popular passages
Page 156 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 128 - Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent, son âme tout entière s'élève à tel point que, si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir sans cesse l'instant heureux qui l'en arracha pour jamais, et qui, d'un animal stupide et borné fit un être intelligent...
Page 297 - Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes, il a menti devant les lois.
Page 148 - D'ailleurs tout malfaiteur, attaquant le droit social, devient par ses forfaits rebelle et traître à la patrie, il cesse d'en être membre en violant ses lois, et même il lui fait la guerre. Alors la conservation de l'état est incompatible avec la sienne, il faut qu'un des deux périsse, et quand on fait mourir le coupable, c'est moins comme citoyen que comme ennemi.
Page 121 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun s'unissant à tous n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre qu'auparavant.
Page 424 - Si, par exemple, on les exerce assez tôt à ne jamais regarder leur individu que par ses relations avec le corps de l'état, et à n'apercevoir, pour ainsi dire, leur propre existence que comme une partie de la sienne , ils pourront parvenir enfin à s'identifier en quelque sorte avec ce plus grand tout, à se sentir membres de la patrie, à l'aimer de ce sentiment exquis que tout homme isolé n'a que pour soi-même...
Page 322 - Sans entrer aujourd'hui dans les recherches qui sont encore à faire sur la nature du pacte fondamental de tout gouvernement , je me borne , en suivant l'opinion commune , à considérer ici l'établissement du corps politique comme un vrai contrat entre le peuple et les chefs qu'il se choisit; contrat par lequel les deux parties s'obligent à l'observation des lois qui y sont stipulées et qui forment les liens de leur union.
Page 156 - Plus ces forces naturelles sont mortes et anéanties, plus les acquises sont grandes et durables , plus aussi l'institution est solide et parfaite : en sorte que si chaque citoyen n'est rien , ne peut rien que par tous les autres , et que la force acquise par le tout soit égale ou supérieure à la somme des forces naturelles de tous les individus , on peut dire que la légistation est au plus haut point de perfection qu'elle puisse atteindre.
Page 18 - Fabricius ! qu'eut pensé votre grande âme, si, pour votre malheur, rappelé à la vie, vous eussiez vu la face pompeuse de cette Rome sauvée par votre bras, et que votre nom respectable avait plus illustrée que toutes ses conquêtes ? « Dieux ! eussiez-vous dit, que sont devenus ces toits de chaume et ces foyers rustiques qu'habitaient jadis la modération et la vertu...
Page 295 - Le droit que le pacte social donne au souverain sur les sujets ne passe point, comme je l'ai dit ('), les bornes de l'utilité publique (a).