| M. de La Beaumelle (Laurent Angliviel) - 1778 - 216 pages
...défauts & des foibles , elle avoit auffi de grandes qualités: & il faut avouer que fon commerce étoit charmant. Le Public a de la peine à concevoir que les Princes agifient Simplement & naturellement, parce qu'il ne les voit pas d'affez près pour en bien juger,... | |
| Madame de Maintenon - France - 1789 - 240 pages
...et des foibles , elle avoit aussi de grandes qualités : et il faut avouer que son commerce étoit charmant. Le public a de la peine à concevoir que...naturellement, parce qu'il ne les voit pas d'assez près pour en bien juger, et parce que le merveilleux qu'il cherche toujours, ne se trouve pas dans une conduite... | |
| Madame de Caylus (Marthe-Marguerite) - France - 1806 - 290 pages
...et des foiblesses, elle avoit aussi de grandes qualités , et il faut avouer que son commerce étoit charmant. Le public a de la peine à concevoir que les princes agissent simplement et naturellement , parcequ'il ne les -voit pas d'assez près pour en bien juger, et parceque le merveilleux qu'il cherche... | |
| Madame de Caylus (Marthe-Marguerite) - France - 1806 - 298 pages
...des foiblesses, elle a voit aussi de grandes qualités , et il faut avouer que sou commerce étoit charmant. Le public a de la peine à concevoir que les princes agissent simplement et naturellement , parcequ'il ne les voit pas d'assez près pour en bien juger, et parceque le merveilleux qu'il cherche... | |
| Claude Bernard Petitot - France - 1828 - 536 pages
...et des foiblesses, elle avoit aussi de grandes qualités, et il faut avouer que son commerce étoit charmant. Le public a de la peine à concevoir que...naturellement, parce qu'il ne les voit pas d'assez près pour en bien juger, et parce que le merveilleux qu'il cherche toujours ne se trouve pas dans une conduite... | |
| James Fitzjames Duke of Berwick - 1828 - 504 pages
...et des foiblesses, elle avoit aussi de grandes qualités, et il faut avouer que son commerce étoit charmant. Le public a de la peine à concevoir que...naturellement, parce qu'il ne les voit pas d'assez près pour en bien juger, et parce que le merveilleux qu'il cherche toujours ne se trouve pas dans une conduite... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1828 - 504 pages
...et des foiblesses, elle avoit aussi de grandes qualités., et il faut avouer que son commerce étoit charmant. Le public a de la peine à concevoir que...naturellement, parce qu'il ne les voit pas d'assez près pour en bien juger, et parce que le merveilleux qu'il cherche toujours ne se trouve pas dans une conduite... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1828 - 502 pages
...et des foiblesses, elle avoit aussi de grandes qualités, et il faut avouer que son commerce étoit charmant. Le public a de la peine à concevoir que...naturellement, parce qu'il ne les voit pas d'assez près pour en bien juger, et parce que le merveilleux qu'il cherche toujours ne se trouve pas dans une conduite... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - France - 1897 - 922 pages
...qui a vu de près ses débuts. C'est Mme de Caylus. « Le public, dit-elle, dans ses Souvenirs (l),a de la peine à concevoir que les princes agissent...naturellement, parce qu'il ne les voit pas d'assez près pour en bien juger, et parce que le merveilleux, qu'il cherche toujours, ne se trouve pas dans une conduite... | |
| |