Œuvres complètes de J.-J. Rousseau, Volume 3Hachette, 1856 - French literature |
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... état critique dont il s'agit ici . Le passage de l'enfance à la puberté n'est pas telle- ment déterminé par la nature qu'il ne varie dans les individus selon les tempéramens , et dans les peuples seion les climats . Tout le monde sait ...
... état critique dont il s'agit ici . Le passage de l'enfance à la puberté n'est pas telle- ment déterminé par la nature qu'il ne varie dans les individus selon les tempéramens , et dans les peuples seion les climats . Tout le monde sait ...
Page 20
... état quand on n'en connoît point de plus agréable . De tous les hommes du monde , les sauvages sont les moins ... état habituel de l'âme résulte un arrangement de traits que le temps rend ineffaçables . Cependant il n'est pas rare de ...
... état quand on n'en connoît point de plus agréable . De tous les hommes du monde , les sauvages sont les moins ... état habituel de l'âme résulte un arrangement de traits que le temps rend ineffaçables . Cependant il n'est pas rare de ...
Page 26
... état de nature une égalité de fait réelle et indestruc- tible , parce qu'il est impossible dans cet état que la seule différence d'homme à homme soit assez grande pour rendre l'un dépendant de l'autre . Il y a dans l'état civil une ...
... état de nature une égalité de fait réelle et indestruc- tible , parce qu'il est impossible dans cet état que la seule différence d'homme à homme soit assez grande pour rendre l'un dépendant de l'autre . Il y a dans l'état civil une ...
Page 86
... état actuel de ma foi , j'ai plus à remonter qu'à descendre pour adopter vos opi- nions , et je trouve difficile de ... état où vous êtes , vous gagnerez penser comme moi ' . Au reste , ne donnez à mes discours que l'autorité de la 4 ...
... état actuel de ma foi , j'ai plus à remonter qu'à descendre pour adopter vos opi- nions , et je trouve difficile de ... état où vous êtes , vous gagnerez penser comme moi ' . Au reste , ne donnez à mes discours que l'autorité de la 4 ...
Page 105
... état de parler aux hommes , ne leur parlez jamais que selon votre conscience , sans vous embarrasser s'ils vous applaudiront . L'abus du savoir produit l'incrédulité . Tout savant dé- daigne le sentiment vulgaire ; chacun en veut avoir ...
... état de parler aux hommes , ne leur parlez jamais que selon votre conscience , sans vous embarrasser s'ils vous applaudiront . L'abus du savoir produit l'incrédulité . Tout savant dé- daigne le sentiment vulgaire ; chacun en veut avoir ...
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Common terms and phrases
aime assez avant avoit besoin bonheur cause cesse change chercher choses cœur commence commun Conseil contraire corps croire d'en d'être demande devoirs Dieu différence dire doit donner doute effet élève Emile enfans enfin esprit état étoit eût femme fille fond font force forme général gens goût gouvernement heureux homme humain idées j'ai jeune jeune homme jour juge l'amour l'auteur l'autre l'esprit l'homme l'ordre l'un laisse liberté lieu livre loin lois lui-même main maître malheureux manière ment mère mieux monde montrer morale mort moyens n'ai n'en nature naturel objet parler particulier passer passions pays peine penser père personne petits peuple philosophie plaisir porte premier pris propre puisse qu'à qu'en qu'un raison rapports règle religion rend rendre reste rien s'en s'il sage sais sait savoir sens sentiment sera seroit seul sexe soins Sophie sort sûr terre traiter trouve vérité vertu veut Voilà vois voit volonté voyez vrai yeux
Popular passages
Page 585 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 599 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 377 - Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 100 - Du sein du plus furieux fanatisme, la plus haute sagesse se fit entendre , et la simplicité des plus héroïques vertus honora le plus vil de tous les peuples. La mort de Socrate philosophant tranquillement avec ses amis est la plus douce qu'on puisse désirer; celle de Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé , maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre.
Page 660 - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
Page 599 - Plus ces forces naturelles sont mortes et anéanties, plus les acquises sont grandes et durables, plus aussi l'institution est solide et parfaite; en sorte que si chaque citoyen n'est rien, ne peut rien que par tous les autres, et que la force acquise par le tout soit égale ou supérieure à la somme des forces naturelles de tous les individus, on peut dire que la législation est au plus haut point de perfection qu'elle puisse atteindre.
Page 377 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses! quel empire sur ses passions! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire* couvert de...
Page 77 - Enfin, plus je m'efforce de contempler son essence infinie, moins je la conçois; mais elle est, cela me suffit ; moins je la conçois, plus je l'adore.
Page 660 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 252 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale ; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.