Revue universelle, bibliothèque de l'homme du monde et de l'homme politique au 19e siècle1832 |
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âme Américains Angleterre assez aujourd'hui avaient banderillas beau belle Béranger Bonaparte Buenos-Ayres Byron c'était Casimir Delavigne cause chant Châteaubriand chefs cheval chose ciel cœur Combries Confucius Cordoba coup criminel Cuddy d'autres despotisme devant Dieu dire doctrines donner duc de Reichstadt enfans espèces États-Unis eût femme fille force François Ier général gens gouvernement habitans Holberg hommes idées îles j'ai jamais jeter jeune jour journaux jusqu'à l'art l'église l'empereur l'homme l'humanité laissé législation liberté Londres long-temps lord Byron lord Durham Machiavel madame madame de Staël main maison Mauromichalis ment mille monde montagnes mort Nantes nation passé passion pauvre pays peine pendant pensée père personne peuple philosophie pieds Pierre place poésie poète politique porte premier prince principes Prosper Mérimée Punch qu'un regards république reste révolution révolution de juillet rien Rioja s'est saint saint-simonisme semble sentiment serait seul siècle sorte Stradella TCHOU-HI tems terre tête tion trouve voilà voix yeux
Popular passages
Page 175 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 19 - L'Armorique ne m'offrit que des bruyères , des bois , des vallées étroites et profondes traversées de petites rivières que ne remonte point le navigateur, et qui portent à la mer des eaux inconnues; région solitaire, triste, orageuse , enveloppée de brouillards , retentissante du bruit des vents, et dont les côtes hérissées de rochers sont battues d'un océan sauvage.
Page 24 - J'avais ma réponse toute prête, et en même temps, je vois sortir par la petite porte M. de Lavardin* avec cinq ou six flambeaux de poing devant lui, accompagné de plusieurs nobles, qui vient me donner la main, et me reçoit parfaitement bien. Je suis assurée que, du milieu de la rivière, cette scène était admirable ; elle donna une grande idée de moi à mes bateliers.
Page 193 - Voir un homme pervers, etne pas le repousser; le repousser, et ne pas l'éloigner à une grande distance, c'est une chose condamnable pour un prince. 16. Un prince qui aime ceux qui sont l'objet de la haine générale, et qui hait ceux qui sont aimés de tous, t'ait ce que l'on appelle un outrage à la nature de l'homme.
Page 408 - ... comme il ya, dans l'espèce humaine, quelques familles sexdigitaires. Mais dans toutes ces variations les relations des os restent les mêmes, et jamais la forme des dents ne change d'une manière appréciable; tout au plus y at-il quelques individus où il se développe...
Page 99 - Hardouin , le pèreTournemine, avec lesquels il aimait à discuter des points d'antiquité ou de théologie ; Fontenelle enfin qui, probablement par politesse, plutôt qu'avec connaissance de cause, lui témoigna, dit-il, un grand respect pour les mérites des Danois dans les sciences. Le Paris qui s'offrait à Holberg (1726) était bien différent de celui qu'il avait vu dix ans auparavant, il ne retrouvait plus cette ardeur de prosélytisme dont, plus jeune, il avait été souvent l'objet. Les...
Page 331 - Je crois aussi me rappeler que M. Casimir Delavigne, outre sa ballade, fit aussi une Messénienne sur les trois jours; c'était une mauvaise Messénienne, si je m'en souviens, à moins que je ne confonde la Messénienne avec la Ballade. Quoi qu'il en soit, ballade ou messénienne, si la ballade n'est pas la messénienne, et si la messénienne n'est pas la ballade, ce que je puis affirmer, c'est que la ballade valait la messénienne, et la messénienne la ballade; rien de plus, rien de moins. Mais...
Page 222 - Quand je saurais jour par jour toute la vie intérieure et personnelle d'Alfred de Vigny, je me garderais bien de la publier; ce serait, à mon avis , une indiscrétion sans profit pour le public, pour le poète ou le biographe.
Page 30 - Ils s'amusaient eux-mêmes à regarder un Jacobin qui se baignait, et qui, de plus, se noyait. La sentinelle, qui était à vingt pas de moi...
Page 212 - Je ne sais , en thèse générale , s'il est possible de séparer l'idée de l'expiation de celle de peine, et s'il n'ya pas dans toute peine , indépendamment du besoin de provoquer le repentir du coupable et de détourner ceux qui pourraient être tentés de le devenir, un secret et impérieux besoin d'expier le tort commis.