| Nicolas Toussaint Le Moyne des Essarts - 1796 - 492 pages
...l'air d'un, fou ; LcgaulKû vouloit m'avoir vue le matin chez lui, moi qui- n'ai jamais songé à ceC homme ; je ne lui crois pas d'assez grands moyens pour être le tyran de son pays , et je ne prétendois pas punir tant Hé monde. Tous ceux qui me voient pour la première fois prétendent... | |
| Nicolas Toussaint Lemoyne Desessarts - 1797 - 1797 - 382 pages
...à mon premier interrogatoire. Chabot avoit l'air d'un fou ; Lsgendre vouloit m'avoir vue le matin chez lui , moi qui n'ai jamais songé à cet homme;...d'assez grands .moyens pour être le tyran de son pays , et jfc ne prétendois paspunir tant de monde. Tous ceux qui me voient pour la pre.Tome ///. D jtiière... | |
| J. M. Plane - Physiognomy - 1797 - 412 pages
...premier interrogatoire. Chabot avait l'air d'un fou , L doutait m'avoir vue le matin chez lui j je n'ai jamais songé à cet homme ; je ne lui crois...d'assez grands moyens pour être le tyran de son pays , et je ne prétendais pas punir tout le monde. Tous ceux qui me voyaient pour la première fois ,... | |
| Pierre Jean Baptiste Nougaret - Correctional institutions - 1797 - 440 pages
...trouvèrent à mon premier intetrogatoire ; Chabot avoit l'air d'an fou ; Legendre vouloir m'avoir va le marin chez lui, moi qui n'ai jamais songé à....homme : je ne lui crois pas d'assez grands moyens poui être le tyran de son pays. Je ne voulois pas punie rant de monde; tous ceux qui me voyoient pour... | |
| François Marie de Kerverseau, G. Clavelin - France - 1797 - 416 pages
...mon ptemiet intettogatoite. Chabot avoit l'ait . d'un fou i Llgendte vouloit m'avoit vue le • matin chez lui, moi .qui n'ai jamais songé .à cet homme : je ne lui ctois pas'd'assez •gtands moyens pout êtte le tytan de son "pays, et je ne ptétendois pas punit... | |
| Pierre Jean Baptiste Nougaret - France - 1803 - 528 pages
...mon premier interrogatoire. Chabot » avoit l'air d'un fou ; Legendre vouloit m'a» voir vu le matin chez lui, moi qui n'ai » jamais songé à cet homme...être le tyran » de son pays. Je ne voulois pas- punir tout le » monde Je suis on ne peut mieux » dans ma prison; les concierges sont les meil» leures... | |
| Pierre Joseph A. Roussel - 1815 - 358 pages
...avait l'air d'un fou ; Legendre voulait m'a>> voir vue le matin chez lui, moi qui n'ai » jamais songe à cet homme : je ne lui crois pas » d'assez grands moyens pour être le tyran de » son pays Tous ceux qui me voyaient pour » la première fois > prétendaient me reconnaître N depuis long-temps........ | |
| Charles Lacretelle - France - 1825 - 498 pages
...« premier interrogatoire. Chabot avait l'air « d'un fou; Legendre voulait m'avoir vue le « matin chez lui, moi qui n'ai jamais songé « à cet homme...grands moyens pour être le tyran de son « pays, et je ne prétendais pas punir tout le « monde « Nous sommes si bons républicains à Paris , «... | |
| Charles Lacretelle - France - 1825 - 496 pages
...« premier interrogatoire. Chabot avait l'air « d'un fou ; Legendre voulait m'avoir vue le <tmatin chez lui, moi qui n'ai jamais songé « à cet homme...pas d'assez « grands moyens pour être le tyran de sou « pays, et je ne prétendais pas punir tout le « monde « Nous sommes si bons républicains à... | |
| Jean Charles D. de Lacretelle - France - 1825 - 500 pages
...« premier interrogatoire. Chabot avait l'air « d'un fou; Legendre voulait m'avoir vue le « matin chez lui, moi qui n'ai jamais songé « à cet homme : je ne lui crois pas d'assez K grands moyens pour être le tyran de son « pays, et je ne prétendais pas punir tout le « monde... | |
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