Histoire de Marie-Antoinette, Volume 2Perrin et cie, 1890 - 596 pages |
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... Château , accom- pagné de la Reine , de la famille royale et des prin- cipaux officiers de la couronne , pour se rendre en grand équipage à l'église Notre - Dame . « Les che- vaux , magnifiquement harnachés , avaient la tête couverte de ...
... Château , accom- pagné de la Reine , de la famille royale et des prin- cipaux officiers de la couronne , pour se rendre en grand équipage à l'église Notre - Dame . « Les che- vaux , magnifiquement harnachés , avaient la tête couverte de ...
Page 12
... Château , leur fussent ouverts à toute heure . Vainement avait - elle fait remettre à chacun d'eux une carte qui leur donnait entrée gratuite aux spectacles de la ville et de la Cour . Les rares députés qui avaient cru pouvoir répondre ...
... Château , leur fussent ouverts à toute heure . Vainement avait - elle fait remettre à chacun d'eux une carte qui leur donnait entrée gratuite aux spectacles de la ville et de la Cour . Les rares députés qui avaient cru pouvoir répondre ...
Page 17
... Château , au nom de son Ordre , pour « témoigner au Roi la sensibilité des Communes sur la mort du Dauphin » et demander en même temps qu'une dé- putation du Tiers fût reçue par le prince pour lui remettre à lui - même une adresse sur ...
... Château , au nom de son Ordre , pour « témoigner au Roi la sensibilité des Communes sur la mort du Dauphin » et demander en même temps qu'une dé- putation du Tiers fût reçue par le prince pour lui remettre à lui - même une adresse sur ...
Page 25
... Château ; et la Reine elle - même eut , ce jour- là , sa part des acclamations . L'enthousiasme était universel , et l'on entendait des naifs s'écrier que la révolution était finie . L'illusion ne dura pas longtemps , et cette réunion ...
... Château ; et la Reine elle - même eut , ce jour- là , sa part des acclamations . L'enthousiasme était universel , et l'on entendait des naifs s'écrier que la révolution était finie . L'illusion ne dura pas longtemps , et cette réunion ...
Page 38
... Château ; la Reine , quoi- qu'elle fit paraître un grand courage et une fer- meté d'âme extraordinaire 2 » , n'avait pu envisager sans inquiétude ce voyage à Paris ; elle avait tout fait pour retenir son mari ; elle l'avait supplié à ...
... Château ; la Reine , quoi- qu'elle fit paraître un grand courage et une fer- meté d'âme extraordinaire 2 » , n'avait pu envisager sans inquiétude ce voyage à Paris ; elle avait tout fait pour retenir son mari ; elle l'avait supplié à ...
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Common terms and phrases
Antoinette août arrivés au Temple avaient baron baron de Staël-Holstein Bouillé Breteuil c'était chambre Château comte d'Artois comte de Fersen comte de Mirabeau comte de Vaudreuil Conciergerie Constitutionnels Cour Dauphin députés dévouement dit-il duchesse de Polignac duchesse de Tourzel écrivait émigrés enfants événements arrivés famille royale femme février foule garde nationale gardes du corps Gouverneur Morris Gustave III heures Ibid Joseph jour Journal de Fersen juillet juin l'Assemblée Lafayette Léopold lettre Louis XVI Madame Royale malheureuse Marck Marie-Antoi Marie-Antoinette Marie-Antoinette à Mercy Marie-Antoinette au comte Marie-Antoinette et Mme marquis de Ferrières marquise de Bombelles marquise de Raigecourt mars Mémoires de Mme Mémoires de Weber Mémoires du marquis ment ministres Mme Campan Mme de Tourzel Mme Elisabeth Monsieur municipaux n'avait octobre Pétion peuple plan prince prisonniers Procédure du Châtelet Récit des événements Reine Révolution s'était septembre 1791 serait seul Souvenirs témoin tion troupes Tuileries Turgy Varennes Versailles voiture
Popular passages
Page 267 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 531 - Pensez toujours à moi ; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfants. Mon Dieu! qu'il est déchirant de les quitter pour toujours! Adieu, adieu, je ne vais plus m'occuper que de mes devoirs spirituels. Comme je ne suis pas libre dans mes actions, on m'amènera peut-être un prêtre, mais je proteste ici que je ne lui dirai pas un mot et que je le traiterai comme un être absolument étranger.
Page 531 - J'avais des amis, l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant. Qu'ils sachent, du moins, que jusqu'à mon dernier moment j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et...
Page 287 - ... proche. Si l'on nous parle de la part de ces gens-là , nous n'écouterons rien. Si c'est de la vôtre , nous écouterons , mais nous irons droit notre chemin. Ainsi , si l'on veut que vous nous fassiez dire quelque chose, ne vous gênez pas. Soyez tranquille sur votre sûreté. Nous n'existons que pour vous servir : nous y travaillons avec ardeur , et tout va bien.
Page 528 - C'est à vous, ma sœur, que j'écris pour la dernière fois. Je viens d'être condamnée, non pas à une mort honteuse, elle ne l'est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère; comme lui innocente, j'espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments.
Page 515 - Citoyen président, je vous invite à vouloir bien observer à l'accusée qu'elle n'a pas répondu sur le fait dont a parlé le citoyen Hébert, à l'égard de ce qui s'est passé entre elle et son fils.
Page 23 - C'est moi jusqu'à présent qui fais tout pour le bonheur de mes peuples, et il est rare peut-être que l'unique ambition d'un souverain soit d'obtenir de ses sujets qu'ils s'entendent enfin pour accepter ses bienfaits.
Page 530 - J'ai à vous parler d'une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine. Pardonnez-lui, ma chère sœur; pensez à l'âge qu'il a et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu'on veut et même ce qu'il ne comprend pas.
Page 338 - De cette tribune où je vous parle, on aperçoit le palais où des conseillers pervers égarent et trompent le roi que la Constitution .nous a donné, forgent les fers dont ils veulent nous enchaîner, et préparent les manœuvres qui peuvent nous lier à la maison d'Autriche.
Page 340 - Vous vous occupez d'une municipalité, et vous laissez échapper des têtes qui vont conjurer de nouvelles horreurs. » Vous n'êtes que des enfants; votre enthousiasme est un feu de paille; et si l'Assemblée nationale ne fait pas en règle le procès de deux têtes illustres, ou que de généreux Décius ne les abattent, vous êtes tous f.