 | Nicolas Toussaint Le Moyne des Essarts - 1796 - 492 pages
...assez, .pour .venger la nation i'un^ si énorme attentat; anéantissez pour ja«iaisvjla scélératesse et le crime ; apprenez aux forcenés ce que vaut la vie , et au lieu dei'tt ;lcurffjyinf^ier comme un-fil, que l'efiroird«s tÇjUjrmenp désarme les .mains p^trj' cides... | |
 | Georges Victor Vasselin - France - 1797 - 370 pages
...venger la notion d'un aussi énorme attentat. Anéantissez pour jamais la scélératesse et le crim,;. Apprenez aux forcenés ce que vaut la vie ; et au...qui menacent les têtes des représentans du peuple. )» On applaudit à la sainte indignation , à la douce philantropie , à l'expansive seasibilité... | |
 | Nicolas Toussaint Lemoyne Desessarts - 1797 - 1797 - 382 pages
...pas assez pour venger la nation d'un si énorme attentat ; anéantissez pour jamais la scélératesse et le crime ; apprenez aux forcenés ce que vaut la vie , et an lieu de la leur trancher comme un fil, 'que' l'effroi des tourmens désarme les mains parricide»... | |
 | Claude-François Beaulieu - France - 1803 - 514 pages
...décrétez une loi de circonstance. Le « supplice le plus affreux n'est pas assez ' ' ' , , f . « pour venger la nation d'un aussi énorme « attentat...de leur morale, de leur attachement aux lois , et se-rendaient néanmoins coupables des for fait* les plus atroces : il déclara que la convention partageait... | |
 | Claude François Beaulieu - 1803 - 514 pages
...séance.) Vous , législa« teurs , décrétez une loi de circonstance. Le soi REVOLUTION' J7 „ « supplice le plus affreux n'est pas assez « pour venger...forcenés « ce que vaut la vie; et au lieu de la leu» « trancher comme un fil, que l'effroi des « tourmens désarme les mains parricides « qui menacent... | |
 | François Buzot, Joseph Guadet - France - 1823 - 510 pages
...supplices: « Et vous, législateurs, •» s'écrie-t-il, décrétez une loi de circonstance. Appre» nez. aux forcenés ce que vaut la vie, et, au lieu de la...menacent les têtes » des représentans du peuple. » D'un autre côté, une réquisition de tous les jeunes gens, depuis 18 ans jusqu'à 25, avait excité... | |
 | François Buzot, Joseph Guadet - France - 1823 - 508 pages
...supplices: « Et vous, législateurs, » s'écrie-t-il, décrétez une loi de circonstance. Appre» nez aux forcenés ce que vaut la vie , et, au lieu de...les mains parricides qui menacent les têtes » des représeutans du peuple. » D'un autre côté, une réquisition de tous les jeunes gens, depuis 18... | |
 | Etienne-Léon baron de Lamothe-Langon - 1833 - 422 pages
...aussi atroce attentat; anéantissez pour jamais la scélératesse et le crime ; apprenez aux Français ce que vaut la vie, et, au lieu de la leur trancher...tourmens désarme les mains parricides qui menacent les tètes des représentans du peuple. » Le président Jean-Bon-Saint-André répondit par des phrases... | |
 | Albert Maurin - France - 1849 - 524 pages
...pas assez pour venger la nation d'un si énorme attentat. Anéantissez pour jamais la scélératesse et le crime ; apprenez aux forcenés ce que vaut la vie, et au lieu de la trancher comme un fil, que l'effroi des tourments désarme les mains parricides qui menacent les têtes... | |
 | Albert Maurin - France - 1849 - 542 pages
...pas assez pour venger la nation d'un si énorme attentat. Anéantissez pour jamais la scélératesse et le crime ; apprenez aux forcenés ce que vaut la vie, et au lieu de la trancher comme un fil, que l'effroi des tourments désarme les mains parricides qui menacent les têtes... | |
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Et vous, législateurs, décrétez une loi de circonstance. Le supplice le plus affreux n'est pas assez pour venger la nation d'un aussi énorme attentat. Anéantissez pour jamais la scélératesse et le crime. Apprenez aux forcenés ce que vaut la vie,... 
