Der Jakobiner-Klub: T. Der Jakobiner-Klub von der Trennung der Feuillans von den Jakobinern im Juli 1791 bis zur Schliessung desselben im November 1794 und die späteren Versuche zu seiner Wiederherstellung

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Verlag der Deckerschen Geheimen Ober-Hofbuchdruckerei, 1853 - France
 

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Popular passages

Page 144 - II faut de plus nobles accents, Quarante meurtriers, chéris de Robespierre, Vont s'élever sur nos autels. Beaux-arts qui faites vivre et la toile et la pierre, Hâtez-vous, rendez immortels Le grand...
Page 1017 - ... 6° Faire entrer dans cette rédaction la vérité fondamentale qu'on fait la guerre à une faction anti-sociale, et non pas à la nation française ; que l'on prend la défense des gouvernements légitimes et des peuples contre une anarchie furieuse qui brise parmi les hommes tous les liens de la sociabilité, toutes...
Page 144 - S'achemina jadis vers la voûte sacrée Où la gloire donne un tombeau ; Ni quand Voltaire mort et sa cendre bannie Rentrèrent aux murs de Paris, Vainqueurs du fanatisme et de la calomnie Prosternés devant ses écrits. Un seul jour peut atteindre à tant de renommée. Et ce beau jour luira bientôt : C'est quand tu conduiras Jourdan à notre armée ' . Et La Fayette à l'échafaud.
Page 1013 - ... potences; enfin le silence de longanimité que les princes ont cru devoir à leur dignité, au milieu des imputations renaissantes et des proscriptions de l'Assemblée, ont envenimé, enraciné cette prévention. Il est aisé d'en apercevoir les suites, dans le cas, où les émigrés, réunis en corps, dirigeraient des opérations offensives contre les frontières du royaume. La fureur, la résistance, la soif du carnage, se porteraient...
Page 1013 - Le coeur humain ne change point. On craint de ceux qu'on a cruellement offensés : on n'espère de pardon de ceux envers qui on fut impitoyable. Le peuple est incapable de s'élever à l'espoir d'une générosité dont il n'a pas le sentiment. Les différentes factions qui ont bouleversé l'empire redoutent, en conséquence, de rencontrer dans les princes et les émigrés, des ennemis dont ils ne doivent attendre aucun ménagement. Ils ne les entrevoyent qu'entourés de chaînes, de bourreaux, de...
Page 144 - Asseoir sur un char radieux Ces héros que jadis sur les bancs des galères Assit un arrêt outrageant, Et qui n'ont égorgé que très peu de nos frères Et volé que très peu d'argent...
Page 1007 - Feuillants de l'Assemblée, de la capitale et des provinces , mais sans fonder un véritable parti , car on n'y distingue ni doctrine, ni plan commun, ni système de moyens, ni ressources calculées. Le penchant qui a toujours entraîné une partie de ces constitutionnels aux démarches les moins périlleuses, lui a prescrit guerre offensive aux aristocrates sans force, et guerre défensive aux Jacobins puissants. « Une foule considérable a arboré ce pavillon par politique, afin d'échapper aux...
Page 1010 - Mais cette grande vérité qu'on ne saurait annoncer d'une manière trop comminatoire, doit ouvrir une issue au reste beaucoup plus nombreux des révolutionnaires mitigés. Il serait injuste et dangereux de les confondre avec les factieux effrénés qui maîtrisent le royaume ; car, alors, par nécessité ou par faiblesse, ils se rejetteraient dans leurs bras , et se rendraient vraisemblablement, ne fût-ce que par inertie, les complices de leur opposition , et de leurs entreprises ultérieures....
Page 1005 - ... minences légales, sur les propriétés. Le seul régime « qu'ils ambitionnent est la démocratie de la canaille « délibérante... Les plus vils agents, les perturbateurs de « profession, les brigands, les fanatiques, les scélérats de « tout ordre, les indigents hardis et armés qui...
Page 144 - C'est quand tu conduiras Jourdan à notre armée, Et Lafayette à l'échafaud :(. Quelle rage à Coblentz * ! quel deuil pour tous ces princes, Qui, partout diffamant nos lois, Excitent contre nous et contre nos provinces Et les esclaves et les rois ! Ils voulaient nous voir tous à la folie en proie. Que leur front doit...

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