Mémoires sur la Révolution de France: et recherches sur les causes qui ont amené la Révolution de 1789 et celles qui l'ont suivie, Volume 1Chez G.-A. Dentu, 1833 - France |
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accusés adresse affaires armée assemblée aurait avaient bicaméristes Brissot c'était caractère cardinal de Lorraine cardinal de Retz cardinal de Richelieu cause cesse chambre Charles X chefs choses club des jacobins comité comité autrichien conduite du cardinal conseil constitutionnel courage crime d'Henri déclara décret d'accusation demande députés discours duc d'Orléans Dumouriez ennemis envers les parlements esprit Etats-Généraux eût factieux faction faible faiblesse fermeté force garde nationale général girondins gouvernement guerre Henri Henri IV hommes honneurs idées j'ai j'avais jacobins jamais jours juger l'armée l'assem l'Assemblée constituante l'autorité royale l'Etat l'Hôpital laisser lettre lois Louis XIV Louis XVI magistrats malheurs mande maréchal mée ment ministre Molleville monarchie n'avait n'était Narbonne nation nistre noblesse orateurs passions Pastoret pensée peuple phrases pouvait pouvoir président prince protestants provinces raient rait révolution révolutionnaires s'était sauver séance sentiments seul surtout terrible tion tribune triomphe trône tyrannie ventrus Vergniaux violente voulait voulut
Popular passages
Page 71 - ... monde, odieuses. Le peuple entra dans le sanctuaire ; il leva le voile qui doit toujours couvrir tout ce que l'on peut dire , et tout ce que l'on peut croire du droit des peuples et de celui des rois, qui ne s'accordent jamais si bien ensemble que dans le silence.
Page 38 - C'est le chemin qu'on a pris pour faire des barricades, et venir par degrés au parricide du feu roi. Je couperai les racines à toutes ces factions; je ferai accourcir tous ceux qui les fomenteront : j'ai sauté sur des murailles de villes, je sauterai bien sur des barricades.
Page 71 - Le peuple entra dans le sanctuaire : il leva le voile qui doit toujours couvrir tout ce que l'on peut dire, tout ce que l'on peut croire du droit des peuples et de celui des rois, qui ne s'accordent jamais si bien ensemble que dans le silence.
Page 321 - Lumière intérieure, sentiment intérieur par lequel l'homme se rend témoignage à luimême du bien et du mal qu'il fait.] Cas de conscience, Difficulté ou question sur ce que la religion permet ou défend en certains cas.
Page 199 - ... des impôts en a été la suite nécessaire, et a rendu plus sensible leur inégale répartition. Une inquiétude générale, un désir exagéré d'innovations se sont emparés des esprits et finiraient par égarer totalement les opinions, si on ne se hâtait de les fixer par une réunion d'avis sages et modérés.
Page 463 - Ces députés seront chargés de rendre compte journellement au directoire des manœuvres et des projets des factieux, de veiller à la conservation de la personne du roi et de sa famille, et de périr, s'il le faut, auprès de lui, pour sa défense et le salut de...
Page 224 - Parlons du parti que j'ai pris, il est bien justifié dans ma conscience. Ni cette ville coupable , ni cette assemblée plus coupable encore , ne méritent que je me justifie ; mais j'ai à cœur que vous et les personnes qui pensent comme vous ne me condamnent pas. Ma santé , je vous jure , me...
Page 30 - Rome , soit d'Espagne , au préjudice de nos anciennes alliances , au préjudice de nous-mêmes, c'est-àdire, ou de ceux qui font profession de la religion prétendue réformée en France , ou de ceux qui haïssent l'Espagne , et font particulièrement état de se dire bons Français.
Page 31 - Il disoit aussi que témoigner une si grande crainte de Rome seroit nous faire tort, parce qu'en matière de princes on interprète souvent à foiblesse la déférence que les uns rendent aux autres; ce qui fait qu'il n'ya rien de tel aux princes que de prendre des conseils hauts et généreux. Quant aux inconvéniens qu'on pourroit dire qui nous en arriveroient de la part d'Espagne, le feu Roi les a toujours méprisés, et estimé que l'alliance de Hollande n'apportoit pas une petite sûreté à...
Page 456 - C'est donc ainsi que le bonheur d'un peuple libre dépendra du caprice d'un roi? Mais ce roi doit-il avoir d'autre volonté que celle de la loi ? Le peuple le veut ainsi, et sa tête vaut bien celle des despotes couronnés. Cette tête est l'arbre généalogique de la nation ; et devant ce chêne robuste, le faible roseau doit plier.