Mouvement provincial en 1789: Biographie des députés de l'Anjou depuis l'Assemblée constituante jusqu'en 1815, Volume 2Didier et ce, 1865 - Anjou (France) |
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accueillie Angers Anjou assemblée avaient Benoist bientôt Bourdonnaye Cent-Jours Chambre Charles d'Autichamp chevalier de l'ordre chevalier de Saint-Louis Choudieu citoyens clergé collègues commissaires Commission des Douze comte de Cossé conseil conseil des Cinq-Cents constitution Convention Convention nationale d'Angers d'Anjou Dandenac Delaunay demander département député dévouement discours discussion district électeurs électoral états généraux fidèle frère fût GALLISSONNIÈRE garde nationale général d'Autichamp gouvernement hommes jamais jeune jour L'assemblée étant réunie L'assemblée s'est séparée l'ordre de Saint-Louis législative liberté Louis XVI Maine et Loire Maine-et-Loire maire majorité membre et secrétaire ment Messieurs militaire ministre monarchie Mouliherne municipalité n'avait n'était NARCÉ noblesse nommé paroisse paroles patriotisme Pérard politique pouvait pouvoir premier président prince prit procès-verbal procureur profondément province représentant révolution révolutionnaire royale s'était Saumur scrutin séance secrétaire de l'ordre seigneur sénéchaussée d'Angers sentiments sera serment seront session seul Signé le comte Stofflet Talot tiers état tion tribune Vendéens Viger voix vote
Popular passages
Page 48 - Cette session fut curieuse et caractéristique à plus d'un titre et, au péril de ralentir un peu mes récits, je ne puis me dispenser d'en faire connaître les incidents divers au milieu desquels nous ne cesserons point d'ailleurs de retrouver la présence et bien souvent les inspirations de M. Delaunay. Un décret de l'Assemblée nationale avait ordonné la constitution des administrations départementales. Ces administrations devaient être nommées par les électeurs du second degré, c'està-dire...
Page 395 - Je soussigné , pair de France, lieutenant-général des armées du roi, commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, commandant la 11 e division militaire, » Certifie qu'après la bataille de Cholet, où M.
Page 531 - Nous chargeons les États généraux d'accomplir enfin le vœu des vrais citoyens, de tous les corps éclairés, et spécialement de l'Université d'Angers, qui, depuis un certain nombre d'années, n'a cessé de renouveler cette demande. L'ordre et les objets de nos études actuelles, si insuffisantes et si vicieuses, seront réformés, et un nouveau plan d'éducation nationale sera établi.
Page 360 - Moi, poussé par un sentiment bien différent, je ferai tout ce qui dépendra de moi pour lui conserver son lustre. « Je déclare donc que je ne reconnais, ici, à personne le droit de m'accuser ni de me juger. Je cherche ici des juges; je ne trouve que des accusateurs.
Page 75 - ... que ceux du baptême et du sacerdoce. Là une sainte liberté fait un saint engagement ; on obéit sans dépendre, on gouverne sans commander; toute l'autorité est dans la douceur, et le respect s'entretient sans le secours de la crainte.
Page 409 - Laval ; il y joue un rôle supérieur. Si votre présence cessait pour un instant d'être utile à Londres, je vous engage à venir le trouver, il vous verra toujours avec le même plaisir, » Le commandement de Stofflet, qui a été fusillé à Angers, est entre les mains de d'Autichamp.
Page 228 - Pénétrés de l'importance de cette mission , nous avons juré de la remplir , de sauver la liberté , ou de nous ensevelir avec elle. Dès nos premiers pas , nous avons découvert une trame horrible contre la République, contre la liberté, contre la représentation nationale, contre la vie d'un grand nombre de vos membres , et d'autres citoyens. Chaque pas que nous faisons nous amène des preuves nouvelles ; quelques jours plus tard la République était perdue , vous n'étiez plus.
Page 276 - L'impôt sera librement consenti, la liberté publique et individuelle assurée, la liberté de la presse respectée sauf les précautions nécessaires à la tranquillité publique, la liberté des cultes garantie; les...
Page 407 - ... de servir la cause, venant, ( et je désire même qu'il en vienne, ayant besoin d'officiers ) ne se rebutent pas, si, à leur arrivée, ils ne sont point placés de suite : il faut qu'ils y mettent beaucoup d'affabilité et de familiarité , les braves de notre pays étant très-sensibles à ces petites choses. Voilà, mon cher oncle, la position de mon pays. Vous sentez que, d'après tout cela, je ne puis vous engager à courir d'aussi grands dangers...
Page 276 - Représentans de la Nation ; la liberté publique et individuelle assurée ; la liberté de la presse respectée, sauf les restrictions nécessaires à l'ordre et à la tranquillité publique; la liberté des cultes garantie ; que les propriétés seront inviolables et sacrées; les Ministres responsables...