Rétif de La Bretonne: sa vie et ses amours; documents inédits; ses malheurs, sa vieillesse et sa mort; ce qui a été écrit sur lui; ses descendants; catalogue complet et détaillé de ses ouvrages, suivi de quelques extraits

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Alvarès fils, 1854 - 212 pages
 

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Popular passages

Page 50 - Sieyès. C'est pour vous que cette compagnie est venue. On m'avait chargé de vous inviter.
Page 131 - N.******, à ses Parens, ses Amis, et ses Maîtresses ; avec les Réponses : Recueillies et publiées par Timothée Joly, son Exécuteur testamentaire. Fleuron: une rose. Imprimé à Leipsick, par Buschel, marchand-libraire : et se trouve à Paris, chés la d. me v. e Duchesne, en la rue S l .-Jacques, au Temple-du-Goût.
Page 81 - ... avoir été difficile, n'a point été humiliante. Le Gouvernement d'un Empereur aussi humain que grand pourvoit à tout avec dignité. « Si cet hommage public, que nous devons à la mémoire du plus digne des pères, est accueilli de vous, Messieurs, notre reconnaissance égalera la considération distinguée avec laquelle nous avons l'honneur d'être vos très-humbles servantes, A. RESTIF, femme VIONON, M. V
Page 160 - Monument du Costume physique et moral de la fin du dix-huitième siècle, ou Tableaux de la Vie, ornés de figures dessinées et gravées par M.
Page 147 - Les Veillées du Marais ; ou histoire du grand prince Oribeau, roi de Mommonie, au pays d'Evinland ; et de la vertueuse princesse Oribelle de...
Page 82 - Gela fut cause que durant vingt-six années, je n'eus aucune connaissance ni de ses affaires, ni de sa conduite : en vain je lui écrivais, on interceptait mes lettres. Ainsi tout ce que je puis dire...
Page 83 - Rétif était moyenne, c'est-à-dire d'environ cinq pieds deux pouces ; il avait le front large et découvert, les yeux grands et noirs qui lançaient le feu du génie, le nez aquilin, la bouche petite, les sourcils très noirs, qui, dans sa vieillesse, descendant sur ses paupières formaient un mélange singulier qui rappelait à la fois l'aigle et le hibou. Je l'ai vu...
Page 83 - ... car il était fort charitable. Si un vieillard, homme « ou femme, lui demandait l'aumône, il le conduisait dans une petite auberge, « pour lui faire donner un ordinaire et une chopine de vin. Pour refuser un « homme âgé , il aurait fallu qu'il n'eût rien sur lui. Il est aussi fâcheux pour » les pauvres, que pour lui, que ses affaires aient mal tourné ; mais malheureu...
Page 41 - Le silence absolu des littérateurs sur ce roman plein de vie et d'expression, et dont si peu d'entre eux sont capables d'avoir conçu le plan et formé l'exécution, a bien droit de nous étonner, et nous engage à déposer ici nos plaintes sur l'injustice ou l'insensibilité de la plupart des gens de lettres, qui n'admirent que de petites beautés froides et conventionnelles, et qui ne savent plus reconnaître ou avouer les traits les plus frappants et les plus vigoureux d'une imagination forte...

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