...ce qui le distingue si éminemment de si-- Mes sentimens se montèrent , avec la plus inconcevable rapidité , au ton de mes idées. Toutes mes petites passions furent étouffées par l'enthousiasme contemporains. Quoi donc ! dès ce moment il se seroit couvert d'un masque et l'auroit gardé toute...

...formant ensemble un même tout. » Ce fut une véritable inspiration : ses petites passions Jurent étouffées par l'enthousiasme de la vérité, de la liberté, de la vertu , et cette effervescence dura quatre ou cinq ans. C'est à tort, nous le répétons, qu'on a prétendu que...

...ensemble un même tout. » Ce fut une véritable inspiration : ses petites passions furent etouffees par l'enthousiasme de la vérité , de la liberté , de la vertu , et cette effervescence dura quatre ou cinq ans. C'est à tort, nous le répétons, qu'on a prétendu que...

...inévitable de cet instant d'égarement 1 . Mes sentiments se montèrent , avec la plus inconcevable rapidité, au ton de mes idées. Toutes mes petites...qu'il ya de plus étonnant est que cette effervescence 1 Dans sa lettre à Malesherbes , Rousseau ajoute à ce récit des circonstances bien plus frappantes...

...propoMes sentimens se montèrent , avec la plus inconcevable rapidité, au ton.de mes idées. Tomes mes petites passions furent étouffées par l'enthousiasme...liberté , de la vertu : et ce qu'il ya de plus étonnant c'est que cette effervescence se soutint dans mon cœur, durant plus de quatre ou cinq ans, à un aussi...

...de concourir au « prix : je le fis.... Mes sentiments se « montèrent avec la plus inconcevable « rapidité au ton de mes idées. Toutes • mes petites...la vertu; et ce qu'il ya « de plus étonnant est nue cette efter« vescence se soutint dans mon cœur • durant plus de quatre ou cinq ans, à « un...

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...il prit h plume pour traiter la question prcMcs sentiinens se montèrent , avec la plus inconcevable rapidité, au ton de mes idées. Toutes mes petites...liberté, de la vertu ; et ce qu'il ya de plus étonnant, c'est que cette effervescence se soutint dans mon cœur, durant plus de quatre ou cinq ans, à un aussi...

...l'essor à mes idées et de concourir au prix. » Mes sentiments se montèrent, avec la plus inconcevable rapidité, au ton de mes idées. Toutes mes petites...liberté, de la vertu, et ce qu'il ya de plus étonnant, c'est que cette effervescence se soutint dans mon cœur, durant plus de quatre ou cinq ans, à un aussi...

...devins un autre homme. En arrivant à Vincennes, j'étais dans nue agitation qui tenait du délire. Toutes mes petites passions furent étouffées par...l'enthousiasme de la vérité, de la liberté, de la vertu. » Rousseau se trompe ; c'était toujours le même homme, l'homme des premières impressions et des...