Histoire de la Révolution française, Volume 1Furne, 1842 |
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... pouvait charger le peuple de nouveaux impôts , et cependant les caisses étaient vides . Il n'y avait qu'un moyen d'y pourvoir , c'était de réduire la dépense par la suppression des grâces , et , ce moyen ne suf- fisant pas , d'étendre l ...
... pouvait charger le peuple de nouveaux impôts , et cependant les caisses étaient vides . Il n'y avait qu'un moyen d'y pourvoir , c'était de réduire la dépense par la suppression des grâces , et , ce moyen ne suf- fisant pas , d'étendre l ...
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... pouvait , en s'engageant à le soutenir . Il fut ébranlé par les représentations des notables , qui promettaient d'obtempérer aux plans de Calonne , mais à condition qu'on en lais- serait l'exécution à un ministre plus moral et plus ...
... pouvait , en s'engageant à le soutenir . Il fut ébranlé par les représentations des notables , qui promettaient d'obtempérer aux plans de Calonne , mais à condition qu'on en lais- serait l'exécution à un ministre plus moral et plus ...
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... pouvait se résigner à son exil . Ce prince , brouillé avec la cour , s'était réconcilié avec l'opinion , qui d'abord ne lui était pas favo- rable . Dépourvu à la fois de la dignité d'un prince et de la fermeté d'un tribun , il ne sut ...
... pouvait se résigner à son exil . Ce prince , brouillé avec la cour , s'était réconcilié avec l'opinion , qui d'abord ne lui était pas favo- rable . Dépourvu à la fois de la dignité d'un prince et de la fermeté d'un tribun , il ne sut ...
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... pouvait délibérer sur un projet qui ne lui avait pas été sou- mis ; et il lui importait cependant de ne pas se lais- ser surprendre . Dans cet embarras elle employa un moyen tout à la fois ferme et adroit , celui de peler et de ...
... pouvait délibérer sur un projet qui ne lui avait pas été sou- mis ; et il lui importait cependant de ne pas se lais- ser surprendre . Dans cet embarras elle employa un moyen tout à la fois ferme et adroit , celui de peler et de ...
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... pouvait compter sur leurs soldats , ils gardèrent tous le silence . Le plus jeune , qui devait parler le premier , répondit qu'il ne fallait pas compter sur les siens , à commencer par le colonel . A cette résistance le ministre opposa ...
... pouvait compter sur leurs soldats , ils gardèrent tous le silence . Le plus jeune , qui devait parler le premier , répondit qu'il ne fallait pas compter sur les siens , à commencer par le colonel . A cette résistance le ministre opposa ...
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Common terms and phrases
14 juillet allait applaudissemens arrêté assemblée assignats avaient Bailly Barnave baron de Besenval Bastille bientôt Bouillé c'était cahiers calme Calonne Champ-de-Mars citoyens clergé communes consentement constitution constitutionnel cour créan croyait déclaration décret délibérer demande députés devait discussion donner duc d'Orléans enfin ennemis esprits états-généraux événemens excité fallait famille royale fédérés fin du volume foule garde nationale gardes du corps gardes-du-corps gardes-françaises général hommes instant jour l'aristocratie l'assem l'assemblée nationale l'état l'Hôtel-de-Ville Lafayette laisser Lameth législatif liberté Louis XVI ment Messieurs mesure milice ministre Mirabeau monarchie monarque Montmédy Mounier moyens multitude municipalité n'avait n'était nation Necker noblesse nouvelle ordres parlemens parole Pétion peuple populaire pouvait pouvoir premiers présente prince projet proposa provinces puissance refusé régiment de Flandre reine répandit représentans réunir révolution royaume s'était salle sanction sanction royale séance semblait sentimens serait serment seul Sieyès tiers-état tion tribune trône troupes Versailles veto voter voulait Voyez la note
Popular passages
Page 198 - ... d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 67 - force militaire environne les états ! où sont les ennemis de la nation? Catilina est-il à nos portes? Je demande qu'en vous couvrant de votre dignité, de votre puissance législative, vous vous renfermiez dans la religion de votre serment; il ne nous permet de nous séparer qu'après avoir fait la constitution.
Page 49 - Messieurs les députés des communes invitent >> Messieurs du clergé, au nom du Dieu de paix et » de l'intérêt national , à se réunir avec eux dans » la salle de l'assemblée générale, pour aviser aux » moyens d'opérer la concorde, si nécessaire en ce » moment au salut de la chose publique. » M. Target a été chargé de porter la parole ; il a appuyé éloquemment l'arrêté. Le doyen du clergé a répondu : « La proposition de Messieurs des commu;> nes est de la plus haute importance,...
Page 101 - Dites-lui que toute la nuit ces satellites étrangers, gorgés d'or et de vin, ont prédit, dans leurs chants impies, l'asservissement de la France, et que leurs vœux brutaux invoquaient la destruction de l'assemblée nationale. Dites-lui que, dans son palais même, les courtisans ont mêlé leurs danses au son de cette musique barbare, et que telle fut l'avant-scène de la Saint-Barthélemy!
Page 381 - J*" (i) était son intermédiaire avec ces débris du parti constitutionnel * qui avaient de bonnes intentions malheureusement trop tardives ; et me dit que BarnaVe était un homme digne d'inspirer de l'estime. Je fus étonnée d'entendre prononcer ce nom de Barnave avec tant de bienveillance. Quand j'avais quitté Paris, un grand nombre de personnes n'en parlaient qu'avec horreur. Je lui fis cette remarque, elle ne s'en étonna point, mais elle me dit qu'il était bien changé; que ce jeune homme...
Page 354 - Je ne dois point le mettre en doute : en achevant votre ouvrage, vous vous occuperez sûrement avec sagesse et avec candeur de l'affermissement du pouvoir exécutif, cette condition sans laquelle il ne saurait exister aucun ordre durable au dedans ni aucune considération au-dehors.
Page 321 - Français de chérir et de respecter, et qu'ils vous ont ordonné de maintenir, ils vous ont donné tous les pouvoirs nécessaires pour créer une constitution, et asseoir sur des principes certains et sur la distinction et constitution régulière de tous les pouvoirs, la prospérité de l'empire français. Ceux-là , Messieurs , ont cru que le premier chapitre de la constitution devait contenir la déclaration des droits de l'homme, de ces droits imprescriptibles,, pour le maintien desquels la...
Page 67 - Messieurs, dit-il, j'avoue que ce que vous venez d'entendre pourrait être le salut de la patrie si les présents du despotisme n'étaient pas toujours dangereux. Quelle est cette insultante dictature ? L'appareil des armes, la violation du temple national, pour vous commander d'être heureux ? Qui vous fait ce commandement ? Votre mandataire.
Page 355 - ... liberté que vous aimez et que j'aime aussi, vous ne perdrez pas de vue que le désordre en administration, en amenant la confusion des pouvoirs, dégénère souvent, par d'aveugles violences, dans la plus dangereuse et la plus alarmante de toutes les tyrannies. « Ainsi, non pas pour moi, Messieurs, qui ne compte point ce qui m'est personnel près des lois et des institutions qui doivent régler le destin de l'empire, mais pour le bonheur même de notre patrie, pour sa prospérité, pour sa...
Page 324 - Enfin, l'inviolabilité de la personne des députés est reconnue par le plus grand nombre des bailliages, et n'est contestée par aucun. Quant au mode de délibération, la question de l'opinion par tête et de l'opinion par ordre est résolue : quelques bailliages demandent les deux tiers des opinions pour former une résolution. » La nécessité du consentement national à l'impôt est généralement reconnue par vos...