Histoire de la Révolution française, Volume 1Furne, 1842 |
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Page viii
... c'était le jeune et brillant vainqueur de Marengo . Il affichait hautement la prétention d'être plus novateur , plus philosophe , plus révolutionnaire que ses détracteurs . A l'entendre , rien n'était plus nou- veau que d'édifier une ...
... c'était le jeune et brillant vainqueur de Marengo . Il affichait hautement la prétention d'être plus novateur , plus philosophe , plus révolutionnaire que ses détracteurs . A l'entendre , rien n'était plus nou- veau que d'édifier une ...
Page xii
... qu'il ne comprenait pas les essais faits sur une langue dans le but de la renouveler . Le propre d'une langue c'était , suivant lui , d'être une convention admise et comprise de tout le monde . Dès - lors XII DISCOURS.
... qu'il ne comprenait pas les essais faits sur une langue dans le but de la renouveler . Le propre d'une langue c'était , suivant lui , d'être une convention admise et comprise de tout le monde . Dès - lors XII DISCOURS.
Page 10
... c'était de réduire la dépense par la suppression des grâces , et , ce moyen ne suf- fisant pas , d'étendre l'impôt sur un plus grand nombre de contribuables , c'est - à - dire sur la 1. 1783 . noblesse et le clergé . Ces projets ...
... c'était de réduire la dépense par la suppression des grâces , et , ce moyen ne suf- fisant pas , d'étendre l'impôt sur un plus grand nombre de contribuables , c'est - à - dire sur la 1. 1783 . noblesse et le clergé . Ces projets ...
Page 17
... 'emprunt successif , et la convocation des états - généraux dans cinq ans . On ne s'était point expliqué sur la nature de cette séance , et on ne savait si c'était un lit de justice . Les visages 1 . 2 RÈGNE DE LOUIS XVI ( 1787 ) . 17.
... 'emprunt successif , et la convocation des états - généraux dans cinq ans . On ne s'était point expliqué sur la nature de cette séance , et on ne savait si c'était un lit de justice . Les visages 1 . 2 RÈGNE DE LOUIS XVI ( 1787 ) . 17.
Page 18
Adolphe Thiers. savait si c'était un lit de justice . Les visages étaient mornes , un profond silence régnait , lorsque le duc d'Orléans se leva , les traits agités , et avec tous les signes d'une vive émotion ; il adressa la parole au ...
Adolphe Thiers. savait si c'était un lit de justice . Les visages étaient mornes , un profond silence régnait , lorsque le duc d'Orléans se leva , les traits agités , et avec tous les signes d'une vive émotion ; il adressa la parole au ...
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Common terms and phrases
14 juillet allait applaudissemens arrêté assemblée assignats avaient Bailly Barnave baron de Besenval Bastille bientôt Bouillé c'était cahiers calme Calonne Champ-de-Mars citoyens clergé communes consentement constitution constitutionnel cour créan croyait déclaration décret délibérer demande députés devait discussion donner duc d'Orléans enfin ennemis esprits états-généraux événemens excité fallait famille royale fédérés fin du volume foule garde nationale gardes du corps gardes-du-corps gardes-françaises général hommes instant jour l'aristocratie l'assem l'assemblée nationale l'état l'Hôtel-de-Ville Lafayette laisser Lameth législatif liberté Louis XVI ment Messieurs mesure milice ministre Mirabeau monarchie monarque Montmédy Mounier moyens multitude municipalité n'avait n'était nation Necker noblesse nouvelle ordres parlemens parole Pétion peuple populaire pouvait pouvoir premiers présente prince projet proposa provinces puissance refusé régiment de Flandre reine répandit représentans réunir révolution royaume s'était salle sanction sanction royale séance semblait sentimens serait serment seul Sieyès tiers-état tion tribune trône troupes Versailles veto voter voulait Voyez la note
Popular passages
Page 198 - ... d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 67 - force militaire environne les états ! où sont les ennemis de la nation? Catilina est-il à nos portes? Je demande qu'en vous couvrant de votre dignité, de votre puissance législative, vous vous renfermiez dans la religion de votre serment; il ne nous permet de nous séparer qu'après avoir fait la constitution.
Page 49 - Messieurs les députés des communes invitent >> Messieurs du clergé, au nom du Dieu de paix et » de l'intérêt national , à se réunir avec eux dans » la salle de l'assemblée générale, pour aviser aux » moyens d'opérer la concorde, si nécessaire en ce » moment au salut de la chose publique. » M. Target a été chargé de porter la parole ; il a appuyé éloquemment l'arrêté. Le doyen du clergé a répondu : « La proposition de Messieurs des commu;> nes est de la plus haute importance,...
Page 101 - Dites-lui que toute la nuit ces satellites étrangers, gorgés d'or et de vin, ont prédit, dans leurs chants impies, l'asservissement de la France, et que leurs vœux brutaux invoquaient la destruction de l'assemblée nationale. Dites-lui que, dans son palais même, les courtisans ont mêlé leurs danses au son de cette musique barbare, et que telle fut l'avant-scène de la Saint-Barthélemy!
Page 381 - J*" (i) était son intermédiaire avec ces débris du parti constitutionnel * qui avaient de bonnes intentions malheureusement trop tardives ; et me dit que BarnaVe était un homme digne d'inspirer de l'estime. Je fus étonnée d'entendre prononcer ce nom de Barnave avec tant de bienveillance. Quand j'avais quitté Paris, un grand nombre de personnes n'en parlaient qu'avec horreur. Je lui fis cette remarque, elle ne s'en étonna point, mais elle me dit qu'il était bien changé; que ce jeune homme...
Page 354 - Je ne dois point le mettre en doute : en achevant votre ouvrage, vous vous occuperez sûrement avec sagesse et avec candeur de l'affermissement du pouvoir exécutif, cette condition sans laquelle il ne saurait exister aucun ordre durable au dedans ni aucune considération au-dehors.
Page 321 - Français de chérir et de respecter, et qu'ils vous ont ordonné de maintenir, ils vous ont donné tous les pouvoirs nécessaires pour créer une constitution, et asseoir sur des principes certains et sur la distinction et constitution régulière de tous les pouvoirs, la prospérité de l'empire français. Ceux-là , Messieurs , ont cru que le premier chapitre de la constitution devait contenir la déclaration des droits de l'homme, de ces droits imprescriptibles,, pour le maintien desquels la...
Page 67 - Messieurs, dit-il, j'avoue que ce que vous venez d'entendre pourrait être le salut de la patrie si les présents du despotisme n'étaient pas toujours dangereux. Quelle est cette insultante dictature ? L'appareil des armes, la violation du temple national, pour vous commander d'être heureux ? Qui vous fait ce commandement ? Votre mandataire.
Page 355 - ... liberté que vous aimez et que j'aime aussi, vous ne perdrez pas de vue que le désordre en administration, en amenant la confusion des pouvoirs, dégénère souvent, par d'aveugles violences, dans la plus dangereuse et la plus alarmante de toutes les tyrannies. « Ainsi, non pas pour moi, Messieurs, qui ne compte point ce qui m'est personnel près des lois et des institutions qui doivent régler le destin de l'empire, mais pour le bonheur même de notre patrie, pour sa prospérité, pour sa...
Page 324 - Enfin, l'inviolabilité de la personne des députés est reconnue par le plus grand nombre des bailliages, et n'est contestée par aucun. Quant au mode de délibération, la question de l'opinion par tête et de l'opinion par ordre est résolue : quelques bailliages demandent les deux tiers des opinions pour former une résolution. » La nécessité du consentement national à l'impôt est généralement reconnue par vos...