| Louis Pierre Anquetil - 1805 - 508 pages
...connoissois point cet homme , et ne savais s'il venait là pour m'offenser , ou si les archers en voulaient à lui ou à moi. Nous criions tous deux , et étions aussi effrayés l'un que l'autre. Enfin , le capitaine des gardes arriva, qui renvoya les archers, et accorda la vie à cet homme , aux prières... | |
| Louis-Pierre Anquetil - France - 1818 - 534 pages
...travers du corps. Je ne cognoissois point « cet homme, et ne savois s'il venoit là pour m'of« fenser , ou si les archers en vouloient à lui ou à «moi. Nous criions tous deux, et étions aussi efK frayés l'un que l'autre. » Enfin , le capitaine des gardes arriva, qui renvoya les archers, et... | |
| Louis-Pierre Anquetil - 1819 - 526 pages
...travers de corps. Je ne connoissois point « cet homme, et ne savois s'il venoit là pour m'offen« ser, ou si les archers en vouloient à lui ou à moi. Nous...étions aussi effrayés l'un que «l'autre. » Enfin', le capitaine des gardes arriva, qui renvoya les archers et accorda la vie à cet homme, aux prières... | |
| Louis-Pierre Anquetil - France - 1819 - 526 pages
...travers de corps. Je ne connoissois point « cet homme , et ne savois s'il venoit là pour m'offen« ser, ou si les archers en vouloient à lui ou à moi. Nous « criions tous deux , et étions aussi effrayes l'un que «l'autre. » Enfin, le capitaine des gardes arriva, qui renvoya les archers et accorda... | |
| Biography - 1820 - 656 pages
...toujours à travers du » corps. Je ne savois si les archers » en vouloicnt à lui ou à moi ; car » nous criions tous deux , et étions » aussi effrayés l'un que l'autre.... » Enfin, Dii'ii voulut que M. de Nan» çay , capitaine aux gardes, vint, » qui me trouvant en cet état -là,... | |
| Louis Athanase des Balbes de Berton de Crillon - 1825 - 460 pages
...connaissais -point cet homme, et ne savais s'il venait là pour « m'offenser, ou si les archers en voulaient à lui ou « à moi. Nous criions tous deux, et étions aussi ef« frayés l'un que l'autre. » Enfin , le capitaine des gardes arriva , qui renvoya les archers... | |
| Henriette Amey - 1830 - 528 pages
...« toujours à travers du corps. Je ne savois si les archers en « vouloient à lui ou à moi; car nous criions tous deux, et « étions aussi effrayés l'un que l'autre.... Enfin, Dieu vou« lut que M. de Nancay, capitaine aux gardes, vint, qui me « trouvant dans cet état-là, bien... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1835 - 584 pages
...me tenant toujours à travers « du corps. Je ne connoissois point cet homme , « et ne savois s'il venoit là pour m'offenser, ou si « les archers en vouloient à lui ou à moi. Nous ce criions tous deux , et étions aussi effrayés l'un ce que l'autre. Enfin Dieu voulut que M. de... | |
| Philippe Le Bas - France - 1840 - 822 pages
...moi, me tenant toujours à travers du corps. Je ne connaissois point cet homme, et je ne savois s'il venoit là pour m'offenser, ou si les archers en vouloient...effrayés l'un que l'autre. Enfin, Dieu voulut que M. de Nancay, capitaine des gardes, y vint, qui, nie trouvant en cet état-là, encore qu'il y eût de la... | |
| World history - 1840 - 596 pages
...moi, me tenant toujours à traversdu corps. Je ne connaissois point cet homme, et je ne savois s'il venoit là pour m'offenser, ou si les archers en vouloient à lui pu à moi. Nous criions tous deux, et étions aussi effrayés l'un que l'autre. Enfin, Dieu voulut... | |
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