Mémoires de l'académie des sciences: séances publiqueP. Jacquin., 1873 - Science |
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24 août Académie Annonciades Arch armée arts Besançon Bourbon Boynes C'était camp capitaine Chantrans CHARCUTIER Charles-Quint chasteau château château de Joux chemins de fer chose citoyens cœur Compagnie comté de Bourgogne comte de Guébriant cousin d'Emulation démocratie Dieu Doubs ducats écuyers esté Falerans forêt Franc-Comtois Franche-Comté François Ier fraternité Frondsberg Gaules Gaulois général gens GRANVELLE Guébriant guerre GUICHARDIN heureux hommes janvier Jehan jeune jour Journaux de campagne juillet kilomètres l'abbé l'Académie l'armée l'égalité l'empereur l'époque de César l'homme laissé lettres liberté logis Lons-le-Saunier maison de Chalon MARTIN DU BELLAY ment Messieurs mois monastère montagnes mort Naples Nozeroy parlement passer patrie pays Pérennès peuple Philibert de Chalon Philiberte de Luxembourg Pièces justificatives Pontarlier porte premier président prince d'Orange princesse d'Orange principauté d'Orange professeur progrès reste rien Rome Saint seigneur Séquanie serviteurs seule siècle Société d'agriculture soldats sorte Strabon terre train V'là velours villages Weimar
Popular passages
Page 93 - CE QUE C'EST QUE LA LIBERTÉ. Il est vrai que dans les démocraties le peuple paraît faire ce qu'il veut; mais la liberté politique ne consiste point à faire ce que l'on veut. Dans un État, c'est-à-dire dans une société où il ya des lois, la liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir, et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir 10«.
Page 183 - Aisne. Société académique de Laon. — Société académique des sciences, arts, belles-lettres, agriculture et industrie de Saint-Quentin.
Page 98 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 93 - La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent ; et si un citoyen pouvait faire ce qu'elles défendent, il n'aurait plus de liberté, parce que les autres auraient tout de même ce pouvoir.
Page 96 - LA DÉMOCRATIE L'amour de la république, dans une démocratie, est celui de la démocratie ; l'amour de la démocratie est celui de l'égalité. L'amour de la démocratie est encore l'amour de la frugalité. Chacun devant y avoir le même bonheur et les mêmes avantages, y doit goûter les mêmes plaisirs, et former les mêmes espérances; chose qu'on ne peut attendre que de la frugalité générale.
Page 142 - Comme pour demander secours. L'homme à grands pas Marche impassible. . . Enfin la pitié le désarme ! Tant de faiblesse ! tant de malheur !. . . Une larme Mouille ses yeux gonflés qu'il cache sous ses doigts. Il cède en murmurant de sa plus grosse voix : « Puisqu'il est sous mon toit sans aide, sans défense, Qu'il reste ! Qu'il ignore à jamais sa naissance !. . . Si nos leçons, nos soins ne sont pas superflus, Nous en ferons peut-être un bon Français de plus ! » PROGRAMME DES PRIX PROPOSÉS...
Page 99 - Français ; être âgé de vingt-cinq ans accomplis ; être domicilié dans la ville ou dans le canton depuis le temps déterminé par la loi ; Payer, dans un lieu quelconque du royaume, une contribution directe au moins égale à la valeur de trois journées de travail , et en représenter la quittance ; N'être pas dans un état de domesticité, c'est-à-dire de serviteur à gages...
Page 185 - Société philomathique de Bordeaux. Hérault Société archéologique de Béziers. Indre-et-Loire. Société d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres d'Indre-etLoire; Tours. Société médicale d'Indre-et-Loire ; Tours. Isère Académie Delphinale ; Grenoble. Jura. Société d'agriculture, sciences et arts de Poligny. Société d'Emulation du Jura; Lons-le-Saunier.
Page 188 - Seine Académie des sciences morales et politiques de l'Institut de France; Paris. Comité des travaux historiques .et des sociétés savantes près le ministère de l'instruction publique. Société de médecine légale; Paris.
Page 141 - I. C'est une maison basse, au toit noir, isolée Dans les champs, par le vent en fureur ébranlée. Là, tandis qu'au dehors la neige, dans la nuit, Tombe d'un ciel lugubre où nul astre ne luit, Un tison qui s'éteint sur les landiers rustiques, Jette en mourant aux murs des lueurs fantastiques, Et l'ombre d'une femme accroupie au foyer. Que fait-elle à cette heure et qu'at-elle à veiller Quand, frappant sans répit la maison solitaire, La bourrasque nocturne épouvante la terre?... — Elle se...