Abrégé de l'histoire de France, depuis l'établissement de la monarchie [from Élémens de l'histoire de France] par m. Des Carrières, continuée par J.C. Tarver, et C.J. Delille |
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Common terms and phrases
Anglais appelait armée armes arrêter aurait avaient ayant bataille bientôt c'était cardinal cause cent charge Charles chef commença comte conseil corps côté coup cour courage couronne d'Angleterre d'autres déclara demanda devait donna enfin ennemis établit états faisait femme fils force forme française frère gardes général génie gloire gouvernement guerre Henri hommes jeune jour juger justice l'armée l'avait l'empereur l'État l'Europe laissa liberté lieu livres Louis lui-même main maison maître malheurs Marie ment mettre mille ministre monarque mort mourut n'avait n'était nation nommé nouveau nouvelle obligé ordre paix pape parlement passer peine pendant père personne peuple Philippe place porter pouvait premier prince pris prit puissance qu'un refusa règne reine religion rendit rendre république reste rien rois Rome royale royaume s'était saint seigneurs sentiments serait servir seul siége sorte suite suivante sujets terre tête traité trône troupes trouva venait victoire ville voulait voyait
Popular passages
Page 401 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 430 - ... la dernière fois je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués! » J'avoue que les preuves multipliées que...
Page 429 - On vient de vous exposer mes moyens de défense ; je ne les renouvellerai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité.
Page 237 - Je ne vous ai point appelés, comme ont fait quelques-uns de mes prédécesseurs, pour vous obliger d'approuver aveuglément mes volontés. Je vous ai fait assembler, pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, en un mot pour me mettre en tutelle entre vos mains. C'est une envie qui ne prend guère...
Page 429 - Entendez d'avance l'histoire qui redira à la Renommée : Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple.
Page 415 - Que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir, d'une manière convenable, aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres, et au soulagement des pauvres...
Page 416 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi.
Page 429 - ... il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines ; le peuple sollicitait des réformes dans la législation criminelle pour l'adoucissement du sort des accusés : il fit ces réformes ; le peuple voulait que des milliers de Français, que la rigueur de nos usages avait privés jusqu'alors des droits qui appartiennent aux citoyens, acquissent ces droits ou les recouvrassent : il les en fit jouir par ses lois ; le peuple voulut la liberté; il la lui donna!
Page 565 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 336 - L'un enfin, par la profondeur de son génie et les incroyables ressources de son courage, s'élève au-dessus des plus grands périls, et sait même profiter de toutes les infidélités de la fortune : l'autre, et par l'avantage d'une si haute naissance, et par ces grandes pensées que le ciel envoie, et par une espèce d'instinct admirable dont les hommes ne connaissent pas le secret, semble né pour entraîner la fortune dans ses desseins, et forcer les destinées.