Mémoires sur les journées revolutionnaires et les coups d'état, Volume 1Mathurin Lescure Firmin-Didot et cie, 1875 - France |
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... répondit : L'officier civil ne peut donner des ordres im- << médiatement à de simples soldats ; consultez vos officiers , < « < à qui le commandant a dû communiquer l'arrêté ou les << ordres de la municipalité dont je ne suis qu'un ...
... répondit : L'officier civil ne peut donner des ordres im- << médiatement à de simples soldats ; consultez vos officiers , < « < à qui le commandant a dû communiquer l'arrêté ou les << ordres de la municipalité dont je ne suis qu'un ...
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... répondit : Je n'ai pas peur ; mettez la main sur mon cœur , il est pur et tranquille . Et prenant la main du grena- dier , il l'appuya avec force sur sa poitrine . Les personnes qui s'étaient réunies autour de Louis XVI avaient tiré ...
... répondit : Je n'ai pas peur ; mettez la main sur mon cœur , il est pur et tranquille . Et prenant la main du grena- dier , il l'appuya avec force sur sa poitrine . Les personnes qui s'étaient réunies autour de Louis XVI avaient tiré ...
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... répondit : Je ferai ce que la constitu- tion et les décrets m'ordonnent de faire . : Après cette scène , nouveaux cris , nouveau tumulte . Il en- trait continuellement du monde ; personne ne pouvait sor- tir la presse était extrême ...
... répondit : Je ferai ce que la constitu- tion et les décrets m'ordonnent de faire . : Après cette scène , nouveaux cris , nouveau tumulte . Il en- trait continuellement du monde ; personne ne pouvait sor- tir la presse était extrême ...
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... répondit : « Cela est bien étonnant , il y << a deux heures que cela dure . » Le maire assura le roi « qu'il n'y avait rien à craindre pour sa personne , que le << peuple voulait le respecter et qu'il en répondait » . Deux grenadiers ...
... répondit : « Cela est bien étonnant , il y << a deux heures que cela dure . » Le maire assura le roi « qu'il n'y avait rien à craindre pour sa personne , que le << peuple voulait le respecter et qu'il en répondait » . Deux grenadiers ...
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... dangers . » Le roi répondit : « Je suis reconnaissant « de la sollicitude de l'assemblée , je suis tranquille au milieu « des Français . » Les députés ont rapporté à l'assemblée qu'en effet le roi 54 CHRONIQUE DE CINQUANTE jours .
... dangers . » Le roi répondit : « Je suis reconnaissant « de la sollicitude de l'assemblée , je suis tranquille au milieu « des Français . » Les députés ont rapporté à l'assemblée qu'en effet le roi 54 CHRONIQUE DE CINQUANTE jours .
Common terms and phrases
18 fructidor 20 juin 9 thermidor armée arrêté arriver assez avaient Barère Barras Barthélemy Billaud-Varennes Bonaparte brumaire c'était Camille Desmoulins canonniers canons Carrousel chambre château chose citoyens collègues comité de salut commandant Commune conseil Conseil des Anciens Conseil des Cinq-Cents conspirateurs constitution Convention nationale Couthon décret demande département députés devant dire directoire discours donner étions eût événements faction faubourg faubourg Saint-Antoine Fayette force garde nationale gendarme général gouvernement grenadiers Henriot heures hommes j'ai j'avais j'étais jacobins jour journée l'assemblée nationale laisser Léonard Bourdon liberté Louis XVI maire maison Méda membres ment ministres mort Mouchet n'avait n'était officier municipal parler passer patriotes personnes Péthion peuple Pichegru pistolet place politique porte pouvait prendre proscription qu'un rassemblement reine République reste révolution Robespierre Roederer royaliste s'était Saint-Just salle salut public séance section sentiment serait seul sortir Terreur tion tribunal révolutionnaire tribune triomphe trouvait Tuileries tyrans Vadier Vilate voulait
Popular passages
Page 221 - Ne conçut un projet aussi grand que le mien. Chaque peuple à son tour a brillé sur la terre, Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre ; Le temps de l'Arabie est à la fin venu.
Page 280 - La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté; et, pour qu'on ait cette liberté, il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen.
Page 282 - ... que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre, et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre.
Page 281 - ... m'absenter. Depuis que je suis pauvre, j'ai acquis de l'autorité; personne ne me menace, je menace les autres ; je puis m'en aller ou rester. Déjà les riches se lèvent de leurs places, et me cèdent le pas.
Page 15 - Enfin que le règne des clubs, anéanti par vous, fasse place au règne de la loi , leurs usurpations à l'exercice ferme et indépendant des autorités constituées , leurs maximes désorganisatrices aux vrais principes...
Page 89 - Messieurs, dit alors le roi, je suis venu ici pour éviter un grand crime, et je pense que je ne saurais être plus en sûreté qu'au milieu de vous.
Page 277 - Les paroles ne forment point un corps de délit; elles ne restent que dans l'idée. La plupart du temps elles ne signifient point par elles-mêmes, mais par le ton dont on les dit. Souvent, en redisant les mêmes paroles, on ne rend pas le même sens : ce sens dépend de la liaison qu'elles ont avec d'autres choses.
Page 12 - ... aura cimenté dans le conseil du roi son équivoque et scandaleuse existence. Ce n'est pas assez néanmoins que cette branche du gouvernement soit délivrée d'une funeste influence : la chose publique est en péril ; le sort de la France repose principalement sur ses...
Page 221 - Donnèrent aisément d'insuffisantes lois. Je viens après mille ans changer ces lois grossières : J'apporte un joug plus noble aux nations entières : J'abolis les faux dieux; et mon culte épuré De ma grandeur naissante est le premier degré.
Page 234 - On sentait qu'on célébrait la fête de l'auteur de la nature. Robespierre mangeait peu. Ses regards se portaient souvent sur ce magnifique spectacle. On le voyait plongé dans l'ivresse de l'enthousiasme. Voilà la plus intéressante portion de l'humanité. L'univers est ici rassemblé. 0 nature, que ta puissance est sublime et délicieuse! comme les tyrans doivent pâlir à l'idée de cette fête! Ce fut là toute sa conversation.