Tactique des assemblées législatives: suivie d'un traité des sophismes politiques, Volume 2 |
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... commun , celui d'ê- tre étrangers à la question . - La question , dans une Assemblée politique , doit toujours être celle- ci : la mesure proposée est - elle bonne ou mauvaise ? Il s'agit de calculer ses effets , de comparer les biens ...
... commun , celui d'ê- tre étrangers à la question . - La question , dans une Assemblée politique , doit toujours être celle- ci : la mesure proposée est - elle bonne ou mauvaise ? Il s'agit de calculer ses effets , de comparer les biens ...
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... commun à tous les sophis- mes , on peut anticiper les conclusions suivantes , qui seront justifiées par l'examen de chacun d'eux en particulier . 1o Les sophismes fournissent une présomption légitime contre ceux qui s'en servent . Ce n ...
... commun à tous les sophis- mes , on peut anticiper les conclusions suivantes , qui seront justifiées par l'examen de chacun d'eux en particulier . 1o Les sophismes fournissent une présomption légitime contre ceux qui s'en servent . Ce n ...
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... communs aux deux partis . Il reconnaissait toutefois que cette division n'avait pas le vrai caractère d'une classification logique ; les sophismes qu'il avait rangés dans l'une de ces classes auraient pu également se placer dans une ...
... communs aux deux partis . Il reconnaissait toutefois que cette division n'avait pas le vrai caractère d'une classification logique ; les sophismes qu'il avait rangés dans l'une de ces classes auraient pu également se placer dans une ...
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... commun avec le mérite ou le démérite de la mesure ; elle conclut à la rejeter sans examen . Avec un tel argument , on aurait condamné tout ce qui a été fait jusqu'à présent ; on condamnerait de même tout ce qui se fera dans la suite ...
... commun avec le mérite ou le démérite de la mesure ; elle conclut à la rejeter sans examen . Avec un tel argument , on aurait condamné tout ce qui a été fait jusqu'à présent ; on condamnerait de même tout ce qui se fera dans la suite ...
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... commun avec le sophisme . * Mais quand la réforme proposée est telle qu'on aurait honte de s'en plaindre , quand l'abus attaqué est si criant qu'on n'oserait le défendre d'une ma- nière ouverte , quel autre recours peut - on avoir que ...
... commun avec le sophisme . * Mais quand la réforme proposée est telle qu'on aurait honte de s'en plaindre , quand l'abus attaqué est si criant qu'on n'oserait le défendre d'une ma- nière ouverte , quel autre recours peut - on avoir que ...
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Common terms and phrases
absurde abus abus de confiance Actes d'union agens Angleterre argument article assemblée ASSEMBLÉES LÉGISLATIVES attaque aurait autorité avantages blâme c'est-à-dire captieuse caractère cause censure chose citoyens classe commune congrès des États-Unis conséquence constitution contraire convention nationale Courrier de Provence déclaration degré délits despotisme dira-t-on dire distinction doit donner Écossais égard erreurs espèce établi état fausse faux force gouvernemens gouvernement humain idées imprescriptibles individu inquisition institutions intérêt privé intérêt séducteur juger l'assemblée l'autorité l'esprit l'homme l'intérêt l'opinion langage liberté lois marche au hasard mauvais mauvaise maxime ment morale motifs moyens n'en nables nation nature naturels nécessaire nuisible objet OBSERVATIONS opinion opinions particulier peine pernicieux personne personnel peuple peuvent politique pouvoir préjugés présente présumé innocent principe propriété qu'un question raison réforme rejeter religion rien s'il sacrés de l'homme sens sentiment serait seul société sophisme suppose sûreté système térêt termes théorie tibles tion toyen Traités de législation veut voilà vrai
Popular passages
Page 290 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 309 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 342 - La propriété est le droit de jouir et de disposer de ses biens, de ses revenus , du fruit de son travail et de son industrie.
Page 296 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 303 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 294 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 263 - Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme...
Page 305 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Page 273 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 316 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.