Les demoiselles de FernigC. Delagrave, 1887 - 122 pages |
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aide de camp armée armes arriva Autrichiens avaient Baptiste Renard Bataille de Jemmapes Bataille de Valmy bataillon Berchiny bientôt blessé bruit camp de Maulde campagne Camus cavalerie Chalade Châlons champ de bataille Chazot Chêne-Populeux cheval Clairfayt colonne combat commandant commissaires Convention coup Croix-aux-Bois défilés DEMOISELLES DE FERNIG Dillon duc de Brunswick duc de Chartres Dumouriez ennemis escadrons état-major famille de Fernig Félicité de Fernig Félicité et Théophile forêt française frontière général Beurnonville général en chef Grand-Pré guerre hauteurs heures hommes HUBERT-CLERGET hussards illustrations instants Islettes Jemmapes jeune fille jeune officier jour Kellermann l'Aisne l'Argonne l'Assemblée nationale l'ennemi main maître Olybrius marche Ménehould ment militaire Miranda mission Mortagne mouriez nuit Olybrius ordres passer patrie patriotisme porte position Prussiens Reims répondit retraite route s'avancèrent s'écria s'élance s'était Sainte-Ménehould sauver sœurs de Fernig soldats tête Théophile de Fernig Thermopyles Thouvenot trahison triste Trois-Évêchés Vanderwalen vieilles troupes villages voix volontaires
Popular passages
Page 32 - ... pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris...
Page 91 - II n'ya qu'un moyen de sauver la patrie, c'est «de rétablir la constitution de 1791 et un roi. « — Y songez-vous , général ? lui dit Dubuisson : « les Français ont en horreur la royauté et le « seul nom de Louis. — Eh qu'importé que ce roi « s'appelle Louis , Jacques ou Philippe ? — Et vos « moyens, quels sont-ils? — Mon armée... oui, « mon armée ; elle le fera , et de mon camp , ou « du sein d'une place forte , elle dira qu'elle veut « un roi. — Mais votre projet compromet...
Page 57 - J'ai été obligé d'abandonner le camp de GrandPré. J'avais déjà accompli ma retraite, lorsqu'une terreur panique s'est mise dans l'armée : 10,000 hommes ont fui devant 1 ,500 hussards prussiens ; les pertes sont insignifiantes. Tout est réparé. Je réponds de tout.
Page 81 - C'était une déclaration de guerre à la vieille Europe. Pour la compléter, il fut décrété que dans tous les pays où les généraux français entreraient ils proclameraient sur-le-champ la souveraineté du peuple, l'abolition de la féodalité...
Page 41 - Les bords de la forêt sur les deux pendans offrent un pays riche en pâturages et peuplé. Elle est coupée par des montagnes, des rivières , des ruisseaux, des étangs, des marais qui la rendent impénétrable pour une marche d'armée, excepté dans cinq clairières qui ouvrent des routes pour passer de la Champagne dans les Evêchés.
Page 65 - Camarades, s'écrie Kellermann d'une voix palpitante d'enthousiasme et dont il prolonge les syllabes pour qu'elles. frappent plus loin l'oreille de ses soldats , voici le moment de la victoire. Laissons avancer l'ennemi sans tirer un seul coup, et chargeons à la baïonnette ! » En disant ces mots, il élève et agite son chapeau, orné du panache tricolore, sur la pointe de son épée. « Vive la nation ! s'écrie-t-il d'une voix plus tonnante encore , allons vaincre pour elle! » Ce cri du général...
Page 91 - Quant à la république, ajouta-t-il, c'est un vain mot; j'y ai cru trois » jours : depuis Jemmapes, j'ai regretté tous les succès que j'ai obtenus » pour une aussi mauvaise cause. Il n'ya qu'un moyen de sauver la » patrie, c'est de rétablir la constitution de 1791 et un roi.
Page 32 - Il déclarait que l'empereur et le roi de Prusse n'étaient armés « que pour faire cesser l'anarchie dans l'intérieur de la France, arrêter les attaques portées au trône et à l'autel, rendre au roi sa liberté et le mettre en état d'exercer son autorité légitime.
Page 32 - ... brûlées ; tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris étaient rendus responsables de tous les événements sur leur tête, pour être jugés militairement, sans espoir de pardon ; déclarant que...
Page 94 - Romains avaient une république bien réglée et de bonnes lois ; ils n'avaient ni club de jacobins ni tribunal révolutionnaire. Nous sommes dans un temps d'anarchie ; des tigres veulent ma tête , et je ne veux pas la leur donner.