Histoire du règne de Louis XIII, roi de France et de Navarre, Volume 181751 |
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affaires affez affuré aiant ainfi ajoûte Alteffe Anne d'Autriche auffi auroit avoient avoit Barberins C'eft c'étoit Cardinal Catalogne caufe Chambre Baffe Charles Chavigni chelieu chofe Cinq-Mars Comte de Guébriant Comte de Soiffons Comte de Strafford Comte Duc Confeil confentement confervation confidérable Couvonges d'Espagne déclaration deffein déja Des-Noiers devoit dinal donner Duc d'Orleans Duc de Bouillon Efpagnols enfuite ennemis étoient étoit fans fe retirer fecours fecret felon femble fent feroit fervice fervir feulement fiége foit fon Miniftre Fontrailles fous fuis fuivi fujets Gafton grace Grand-Ecuier Guébriant jufques jufte laiffer loix Louis maifon Majefté maniére Maréchal Mazarin Meilleraie ment Mercurio Minif moien Monfieur n'eft néceffaire Officiers paffer Parlement penfer perfonne perfuader Perpignan plufieurs plûtôt Portugal pouvoit préfent preffe prémier prémiére prife Prince propofe protefte puiffe Puritain Puységur réfolution Reine Richelieu Roiale Roiaume Sécretaire d'Etat Seigneurs Tarragone Thou tion toûjours Trois-Villes troupes voiage vouloit
Popular passages
Page 22 - SM (i). Le 2 juillet, le chancelier Séguier alla au parlement de Paris, faire commencer les procédures criminelles contre les ducs de Guise et de Bouillon. Il falloit de plus grandes formalités avant d'entamer un procès contre le comte de Soissons, prince du sang royal. De leur côté , les princes publièrent leur manifeste , le 2 juillet. Ils s'intituloient : « Le comte de Soissons , le duc de « Bouillon et autres princes et...
Page 866 - Flandre, et donner commencement aux grandes choses qu'il a depuis si glorieusement exécutées. Le Roi voulut donner dans la fin de sa vie quelques marques de clémence, par un sentiment de piété, ou pour témoigner que le cardinal de Richelieu...
Page 880 - Condé & de Conti, les Ducs & Pairs , les Maréchaux de France, les Officiers de la Couronne , qui fe trouvèrent à S. Germain , le Cardinal Mazarin , le Chancelier, le Surintendant des finances, les trois Secrétaires d'Etat Chavigni , la Vrilliére , & Brienne ; car...
Page 807 - Louis, par la grâce de Dieu , Roi de France & de Navarre , à tous ceux qui ces préfentes Lettres verront ; SALUT.
Page 880 - Tellier fort fucceflèur n'étoitpas encore arrivé dePiémont } toutes ces perfonnes , dis-je, s'étant rendues à deux heures après midi dans la chambre du Roi , la déclaration fut lue tout haut. Louis la figna , & écrivit au bas , de fa propre main , les paroles fuivantes ; ce que dejfus eft ma très-exprejfe çff dernière volonté , que je veux être exécutée.
Page 650 - Mars , & menace de la même peine ceux qui auront connu le lieu de fa retraite fans le découvrir. L'infortuné Favori aurait pu échapper aux recherches de l'Archevêque créature de Richelieu, du Lieutenant de Roi, & des Confuls de la ville , fi Burgos ne fût pas malheureufement revenu au logis.
Page 862 - Reine, emportoit tout le mérite de ce qui s'étoit fait jusqu'alors, et eux au contraire portoient toute l'iniquité. De plus, leur changement étoit plutôt reçu comme une marque de leur impuissance, que comme une preuve de leur bonne volonté : et sans doute ils auroient fait peu de progrès de ce côté-là , si le petit bonhomme M. des Noyers eût eu plus de patience, ou plus de souplesse auprès du Roi. On a imputé généralement sa retraite au déplaisir qu'il eut de ne pouvoir...
Page 895 - Rrienne ; mais, soit devant ou après la mort du Roi , il est certain que ce fut un des premiers qui changea de parti , après nous avoir promis amitié. On s'étonnera peutêtre que toutes ces choses se pussent passer sans que notre cabale se remuât davantage; mais a cela j'ai à répondre qu'en premier lieu, M.
Page 718 - Or un accufé ne peut validement accufer un autre. On ne condamne à la mort que fur la dépofition de deux témoins irréprochables. Ma vie & ma mort , ma condamnation & mon abfolution, font dans ma bouche. Cependant, Meilleurs , j'avoue que j'ai fu la confpiration. Je le confeffe pour deux raifons.
Page 679 - Rivière, je vous parleray franchement: ceux qui ont donné ces mauvais conseils à mon Frère ne doivent rien attendre de moi que la rigueur de la justice ; pour mon Frère, s'il me descouvre tout ce qu'il a fait sans reserve, il recevra des effets de ma bonté, comme il en a déjà receu plusieurs fois par le passé.