| Pierre Richelet - French letters - 1753 - 522 pages
...Meunier, (a) Mais cela eft contre les bonnes mœurs , et il ya grand' matière de Confcfnon. J'avois bien ouï dire que vous étiez opiniâtre comme un Diable, et qu'il ne faifoit pas bon vous rien difputer. Cependant, je n'euffe jamais crû que voui vous fufllez emporté... | |
| Voiture (Monsieur de, Vincent), Jean-Louis Guez de Balzac - Authors, French - 1807 - 498 pages
...chaise eu il se faisait porter à cause de sa goutte, fession. J'avais bien ouï dire que vous etiez opiniâtre comme un diable , et qu'il ne faisait pas...disputer ; mais j'avoue que je n'eusse pas cru que vous vous fussiez emporte' à ce point-là, et si vous continuez, vous vous rendrez insupportable à toute... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1850 - 480 pages
...mais tout cela est contre les bonnes mœurs, et il ya, ce me semble, grande matière de confession. J'avais bien ouï dire que vous étiez opiniâtre...disputer. Mais j'avoue que je n'eusse pas cru que vous vous fussiez emporté à ce pointlà ; et si vous continuez, vous vous rendrez insupportable à toute... | |
| Voiture (Monsieur de, Vincent) - 1855 - 484 pages
...tout cela est contre les bonnes mœurs, et il ya, ce me semble, grande matière de confession. J'avois bien ouï dire que vous étiez opiniâtre comme un diable, et qu'il ne faisoit pas bon vous rien disputer. Mais j'avoue que je n'eusse pas cru que vous vous fussiez emporté... | |
| Voiture (Monsieur de, Vincent) - 1855 - 480 pages
...tout cela est contre les bonnes mœurs, et il ya, ce me semble, grande matière de confession. J'avois bien ouï dire que vous étiez opiniâtre comme un diable, et qu'il ne faisoit pas bon vous rien disputer. Mais j'avoue que je n'eusse pas cru que vous vous fussiez emporté... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - French literature - 1856 - 488 pages
...mais tout cela est contre les bonnes mœurs, et il ya , ce me semble, grande matière de confession. J'avais bien ouï dire que vous étiez opiniâtre...disputer. Mais j'avoue que je n'eusse pas cru que vous vous fussiez emporté ace pointlà; et si vous continuez, vous vous rendrez insupportable à toute... | |
| Eugène Crépet - French letters - 1865 - 616 pages
...mais tout cela est contre les bonnes mœurs, et il y a, ce me semble, grande matière de confession. J'avais bien ouï dire que vous étiez opiniâtre comme un diable, et qu'il ne faisoit pas bon vous rien disputer. Mais j'avoue que je n'eusse pas cru que vous vous fussiez emporté... | |
| Edward Hicks Magill - French language - 1870 - 472 pages
...désordre les meilleures troupes des Espagnols, qui vous avaient laissé passer avec tant de. bonté. J'avais bien ouï dire que vous étiez opiniâtre...disputer. Mais j'avoue que je n'eusse pas cru que vous vous fussiez emporté à ce point-là; et si vous continuez, vous vous rendrez insupportable à toute... | |
| Edward Hicks Magill - French language - 1870 - 464 pages
...désordre les meilleures troupes des Espagnols, qui vous avaient laissé passer avec tant de bonté. J'avais bien ouï dire que vous étiez opiniâtre...disputer. Mais j'avoue que je n'eusse pas cru que vous vous fussiez emporté à ce point-là; et si vous continuez, vous vous rendrez insupportable à toute... | |
| Léon Jacques Feugère - French literature - 1877 - 516 pages
...désordre les meilleures troupes des Espagnols, qui vous avaient laissé passer avec tant de bonté. J'avais bien ouï dire que vous étiez opiniâtre...disputer. Mais j'avoue que je n'eusse pas cru que vous vous fussiez emporté à ce point-là : et si vous continuez , vous vous rcn1. Depuis , prince de Condé,... | |
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