Napoléon |
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aide de camp Alexandre alliés Anglais armée arrive Autrichiens avait-il bataillon Bernadotte Bertrand Blücher Bonaparte boulets brigade c'était Carra Saint-Cyr carrés Cartaux cavalerie cent mille charge Charleroi cheval COLLOQUIAL EXERCISE colonel colonne commandant corps Corse côté coup cuirassiers d'armée d'infanterie d'Italie Davoust derrière Desaix devait dit-il division enfin ennemie envoie firent fit Bonaparte fit Napoléon fit-on French Gantheaume Gardanne garde gauche général grenadiers Grouchy guerre hommes Idem jeune jour journée Kellermann Kutusoff l'armée française l'artillerie l'Autriche l'empereur l'ennemi l'île d'Elbe Labédoyère laisse Lannes lendemain ligne Longwood mamelouks marche maréchal Marengo ment milieu Mourad mouvement Murat Napo NOTES AND REFERENCES.-a nuit officier ordonne ordres Paoli passer pendant pièces de canon poléon porter Porto-Ferrajo position Pratzen premier Consul prince prince de Lichtenstein Prussiens Qu'arriva-t-il Qu'avait Qu'ordonna-t-il Quatre-Bras régiment répondit reste retraite route Russes s'avance San-Giuliano SECTION sera seul soir soldats Soult Telnitz tion troupes trouva victoire Wellington
Popular passages
Page 90 - J'ai reçu, monsieur, votre lettre; je vous remercie des choses honnêtes que vous m'y dites. Vous ne devez pas souhaiter votre retour en France; il vous faudrait marcher sur cent mille cadavres. Sacrifiez votre intérêt au repos et au bonheur de la France... L'histoire vous en tiendra compte. Je ne suis pas insensible aux malheurs de votre famille... Je contribuerai avec plaisir à la douceur et à la tranquillité de votre retraite 7.
Page 259 - Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 91 - Je ne confonds pas M. Bonaparte avec ceux qui l'ont précédé. J'estime sa valeur, ses talents militaires. Je lui sais gré de plusieurs actes d'administration, car le bien que l'on fera à mon peuple me sera toujours cher; mais il se trompe s'il croit m'engager à transiger sur mes droits.
Page 238 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique.
Page 259 - Je meurs dans la religion apostolique et romaine, dans le sein de laquelle je suis né, il ya plus de cinquante ans.
Page 117 - Français, vous avez été dignes de vous et de moi. Vous rentrerez en France couverts de tous vos lauriers, et après avoir obtenu une paix glorieuse, qui porte avec elle la garantie de sa durée. Il est temps que notre patrie vive en repos, à l'abri de la maligne influence de l'Angleterre. Mes bienfaits vous prouveront ma reconnaissance et toute l'étendue de l'amour que je vous porte.
Page 238 - Bellérophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon. « Si cet acte se consommait, ce serait en vain que les Anglais voudraient...
Page 262 - ... le portefeuille contenant les économies que j'ai , pendant quatorze ans, faites sur ma liste civile ; lesquelles se sont élevées à plus de douze millions par an , si j'ai bonne mémoire ; 2°. le produit de ce portefeuille; 3°.
Page 43 - crois que réunir Kellermann et »moi en Italie, c'est vouloir tout »perdre. Je ne puis pas servir vo»lontiers avec un homme qui se » croit le premier général de l'Eu»rope, et d'ailleurs je crois qu'un »mauvais général vaut mieux que »deux bons.
Page 90 - Non, le vainqueur de Lodi, de Castiglione, d'Arcole, le conquérant de l'Italie et de l'Egypte, ne peut pas préférer à la gloire une vaine célébrité.