La vie & les œuvres de Jean-Jacques Rousseau, Volume 2Lamulle & Poisson, 1891 |
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... du Dictionnaire de musique . VII . Editions générales des œuvres de Rousseau . Les portraits de Rousseau . Projet d'une édition générale , faite à Motiers , sous les yeux de l'auteur . Dupeyrou se charge des embarras et des frais de l ...
... du Dictionnaire de musique . VII . Editions générales des œuvres de Rousseau . Les portraits de Rousseau . Projet d'une édition générale , faite à Motiers , sous les yeux de l'auteur . Dupeyrou se charge des embarras et des frais de l ...
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... du suicide . Cette résolution fut heureusement passagère , et elle peut 1. Lettres à Duchesne , 20 juillet 1764 ; à Mme de Boufflers , 26 août 1764 ; à Dupeyrou , 23 mai 1765 . 2. Lettre à d'Iverncis , 23 avril - 1765. 3. D'ESCHERNY ...
... du suicide . Cette résolution fut heureusement passagère , et elle peut 1. Lettres à Duchesne , 20 juillet 1764 ; à Mme de Boufflers , 26 août 1764 ; à Dupeyrou , 23 mai 1765 . 2. Lettre à d'Iverncis , 23 avril - 1765. 3. D'ESCHERNY ...
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... Dupeyrou 2 . Nous aurons plus d'une fois occasion de retrouver le nom de Milord Maréchal . En mille circonstances , ce véritable ami eut à mettre sa vieille expérience au service de la tête folle de son protégé , à calmer son humeur ...
... Dupeyrou 2 . Nous aurons plus d'une fois occasion de retrouver le nom de Milord Maréchal . En mille circonstances , ce véritable ami eut à mettre sa vieille expérience au service de la tête folle de son protégé , à calmer son humeur ...
Page 213
... DUPEYROU était un riche Américain , d'origine fran- çaise , fils d'un conseiller à la cour de justice de Surinam . Il avait des connaissances , du goût pour les arts , et se piquait surtout d'avoir cultivé sa raison . Son air hollandais ...
... DUPEYROU était un riche Américain , d'origine fran- çaise , fils d'un conseiller à la cour de justice de Surinam . Il avait des connaissances , du goût pour les arts , et se piquait surtout d'avoir cultivé sa raison . Son air hollandais ...
Page 213
... Du- peyrou ' , un des hommes qui , avec Milord Maréchal et Moultou , lui vouèrent l'amitié la plus chaude et la plus constante . DUPEYROU était un riche Américain , d'origine fran- çaise , fils d'un conseiller à la cour de justice de ...
... Du- peyrou ' , un des hommes qui , avec Milord Maréchal et Moultou , lui vouèrent l'amitié la plus chaude et la plus constante . DUPEYROU était un riche Américain , d'origine fran- çaise , fils d'un conseiller à la cour de justice de ...
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Common terms and phrases
22 juillet amis Année littéraire août assez aurait avril BACHAUMONT botanique Boufflers Bovier c'était Choiseul chose Christophe de Beaumont citoyen cœur Coindet Confessions Conseil Contrat social Corancez d'Alembert D'ESCHERNY d'Ivernois Davenport décembre dire dit-il duchesse Dusaulx écrivit Émile Ermenonville Euvres février Genève Girardin Grimm homme jamais janvier Jean-Jacques Rousseau jour juger juillet juin l'auteur l'Émile laisser Lettre à Dupeyrou Lettre à Mme Lettre à Rey Lettre de Hume Lettre de Moultou Lettre de Rousseau Lettre de Voltaire livres lui-même mars ment Milord Maréchal Mirabeau Mme de Boufflers Mme de Luxembourg Mme de Verdelin Mme de Warens Mme Latour monde Montmollin morale Motiers musique n'avait n'en n'était novembre octobre parler passer passion pasteur pensée personne philosophes pouvait prince de Conti religion Réponse reste rien Rous seau sentiments septembre serait seul sions sorte Stanislas de Girardin tembre Thérèse tion trouva Voltaire Wootton
Popular passages
Page 123 - Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 109 - Conscience! conscience! instinct divin, immortelle et céleste voix; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 15 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 32 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 353 - Quand le soir approchait, je descendais des cimes de l'ile, et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché. Là, le bruit des vagues et l'agitation de l'eau fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre agitation, la plongeaient dans une rêverie délicieuse, où la nuit me surprenait souvent, sans que je m'en fusse aperçu.
Page 353 - De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce monde, dont la surface des eaux m'offrait l'image; mais bientôt ces impressions légères s'effaçaient dans l'uniformité du mouvement continu qui me bercail, et qui, sans aucun concours actif de mon âme...
Page 347 - S'il ya moins de culture de champs et de vignes, moins de villes et de maisons, il ya aussi plus de verdure naturelle, plus de prairies, d'asiles ombragés de bocages, des contrastes plus fréquents et des accidents plus rapprochés.
Page 352 - ... j'allais me jeter seul dans un bateau que je conduisais au milieu du lac quand l'eau était calme; et là, m'étendant tout de mon long dans le bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries confuses, mais délicieuses...
Page 349 - Dans les pressentiments qui m'inquiétaient, j'aurais voulu qu'on m'eût fait de cet asile une prison perpétuelle, qu'on m'y eût confiné pour toute ma vie, et qu'en m'ôtant toute puissance et tout espoir d'en sortir, on m'eût interdit toute espèce de communication avec la terre ferme, de sorte qu'ignorant tout ce qui se faisait dans le monde, j'en eusse oublié l'existence, et qu'on eût oublié la mienne aussi.
Page 55 - La première éducation doit donc être purement négative. Elle consiste, non point à enseigner la vertu ni la vérité , mais à garantir le cœur du vice et l'esprit de l'erreur. Si vous pouviez ne rien faire et ne rien laisser faire; si vous pouviez amener votre élève sain et robuste à l'âge de douze ans , sans qu'il sût distinguer sa main droite de sa main gauche...