 | Nicolas Poussin - Artists - 1824 - 414 pages
...l'état auquel je suis réduit : vous pouvez vous imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède à tous maux;...disposer au départ. J'ai fait, pour cet effet, un peu de testament, par lequel je laisse plus de dix mille écus de ce pays âmes pauvres parents qui habitent... | |
 | Nicolas Poussin - 1824 - 422 pages
...l'état auquel je suis réduit : vous pouvez vous imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède à tous maux;...disposer au départ. J'ai fait, pour cet effet, un peu de testament, par lequel je laisse plus de dix mille écus de ce pays à mes pauvres parents qui habitent... | |
 | 444 pages
...d'infirmités de toutes sortes , étranger et sans amis , car dans cette ville il ne s'en trouve point... Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut...voulu me disposer au départ: j'ai fait pour cet effet MU peu de testament , par lequel je laisse plus de dix mille écus de ce pays à mes pauvres parens... | |
 | France - 1835 - 778 pages
...d'infirmités de toutes sortes, étranger et sans amis, car dans cette ville il ne s'en trouve point... Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut...disposer au départ : j'ai fait pour cet effet un peu de testament, par lequel je laisse plus de dix mille écus de ce pays à mes pauvres parens qui habitent... | |
 | Philippe de Chennevières - Painters - 1847 - 674 pages
...l'état auquel je suis réduit : vous pouvez vous imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède à tous maux;...médecine qui ne coûte guère, mais aussi qui ne guérit de rien. » Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut durer longtemps, j'ai voulu me... | |
 | Félix Sébastien Baron FEUILLET DE CONCHES - Painters - 1848 - 430 pages
...l'état auquel je suis réduit : vous pouvez vous imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède à tous maux;...disposer au départ. J'ai fait, pour cet effet, un peu de testament, par lequel je laisse plus de dix mille écus de ce pays à mes pauvres parens qui habitent... | |
 | Jean-Jacques Ampère - 1848 - 440 pages
...d'infirmités de toutes sortes, étranger et sans ami, car dans cette ville il ne s'en trouve point. . . Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut...disposer au départ ; j'ai fait pour cet effet un peu de testament, par lequel je laisse plus de dix mille écus de ce pays à mes pauvres parents qui habitent... | |
 | Jean Jacques Ampère - Dante (France) - 1848 - 444 pages
...d'infirmités de toutes sortes, étranger et sans ami, car dans cette ville il ne s'en trouve point. . . Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut...disposer au départ ; j'ai fait pour cet effet un peu de testament, par lequel je laisse plus de dix mille écus de ce pays à mes pauvres parents qui habitent... | |
 | 1848 - 408 pages
...combien il est affligeant! « On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède à c tous les maux; je la prends comme une médecine qui < ne coûte guère, mais aussi qui ne guérit de rien. « Me voyant dans un semblable état, lequel ne peut dui rer longtemps, j'ai voulu... | |
 | Antoine Jules Dumesnil - Art - 1853 - 580 pages
...imaginer combien il est affligeant. On me prêche la patience, qui est, dit-on, le remède à tous les maux; je la prends comme une médecine qui ne coûte...disposer au départ. J'ai fait, pour cet effet, un peu de testament, par lequel je laisse plus de dix mille écus de ee pays (53,000 francs environ) à mes pauvres... | |
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... chargé d'années, paralytique, plein d'infirmités de toutes sortes, étranger et sans amis, car en cette Ville il ne s'en trouve point. Voilà l'état auquel je suis réduit : vous pouvez vous imaginer combien il est affligeant. On me prêche la... 
