| Thomas Reid - Philosophy - 1828 - 470 pages
...humaine. La raison ne rend pas compte de l'évidence; l'y condamner c'est l'anéantir; car la raison elle-même a besoin d'une évidence qui lui soit propre....raisonnement ne s'appuyait pas sur des principes antérieurs, et par conséquent supérieurs à la raison , l'analyse n'aurait point de fin ni la synthèse de commencement.... | |
| Thomas Reid - Philosophy - 1828 - 474 pages
...humaine. La rnreon ne rend pas compte de l'évidence ; l'y condamner c'est l'anéantir; car la raison elle-même a besoin d'une évidence qui lui soit propre....raisonnement ne s'appuyait pas sur des principes antérieurs, et par conséquent supérieurs à la raison , l'analyse n'aurait point de fin ni la synthèse de commencement.... | |
| France - 1845 - 1176 pages
...volonté. Ce qui nous détermine a croire, nous l'appelons évidence. La raison ne rend pas compte de l'évidence; l'y condamner, c'est l'anéantir,...elle-même a besoin d'une évidence qui lui soit propre. Ce sont les loistfondaïuenlales de la croyance qui constituent l'intelligence, et comme elles découlent... | |
| H. Gibon - 1836 - 362 pages
...sortes d'évidence, qu'il ya de lois fondamentales de la « croyance. La raison ne rend pas compte de l'évidence ; « l'y condamner, -c'est l'anéantir,...l'analyse n'aurait point de fin , ni la synthèse de com• mencement. Ce sont les lois fondamentales de la croyance « qui constituent l'intelligence ,... | |
| French literature - 1845 - 1188 pages
...l'évidence; l'y condamner, c'est l'anéantir, car elle-même a besoin d'une évidence qui lui soit propre. Ce sont les lois fondamentales de la croyance qui...elles découlent de la même source, elles ont la môme autorité; elles jugent connaître. On n'avait pas osé admettre l'existence d'un Dieu invisible... | |
| 1845 - 824 pages
...à citer de lui quelques paroles souveraines, par exemple celle-ci : « La raison ne rend pas compte de l'évidence ; l'y » condamner, c'est l'anéantir,...elle-même a besoin d'une évidence » qui lui soit propre ; « et encore : « La science de l'esprit humain aura » été portée au plus haut degré de perfection... | |
| Oscar Pinard - France - 1848 - 498 pages
...dernières qu'il ait prononcées dans la chaire du professeur, où il n'est pas remonté depuis. « Si le raisonnement ne s'appuyait pas sur des principes...n'aurait point de fin, ni la synthèse de commencement « Qu'en un seul point la nature de la connaissance, la nature, dis-je, et non le degré, soit subordonnée... | |
| Oscar Pinard - France - 1848 - 504 pages
...il n'est pas remonté depuis. « Si le raisonnement ne s'appuyait pas sur des principes anlérieurs à la raison, l'analyse n'aurait point de fin, ni la synthèse de commencement « Qu'en un seul point la nature de la connaissance, la nature, dis-je, et non le degré, soit subordonnée... | |
| Eustache Marie P.M.A. Courtin - 1849 - 438 pages
...sortes d'évidences qu'il ya de lois fondamen« taies de la croyance ; la raison ne rend pas « compte de l'évidence : l'y condamner c'est « l'anéantir,...elle-même a besoin d'une « évidence qui lui soit propre. » Descaí tes, avec l'instinct du génie, inclinait à cette idée : il a même formulé des principes... | |
| Victor Cousin - Aesthetics - 1853 - 528 pages
...volonté. Ce qui nous détermine îi croire, nous l'appelons évidence. La raison ne rend pas compte de l'évidence; l'y condamner, c'est l'anéantir,...elle-même a besoin d'une évidence qui lui soit propre. Ce sont les lois fondamenlales de la croyance qui constituent l'intelligence, et comme elles découlent... | |
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