Histoire de France: pendant le dix-huitième siècleDelaunay, 1821 - France |
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Alexandre de Lameth amis assemblée assignats avaient avez Barnave bientôt bonheur Bouillé Burke C'était Champ-de-Mars Charles de Lameth château chefs citoyens civile du clergé club club des Jacobins cœur comte d'Artois constitution civile constitutionnel courage crimes dangers déclaration décrets députés discours duc d'Orléans Duport ennemis esprit eût évêques factieux famille royale fidèles force fureur garde nationale gloire gouvernement guerre hommes j'ai Jacobins jamais jour juger l'abbé Maury l'as l'assem l'assemblée nationale l'autorité l'état l'Europe Lafayette laisser Lameth liberté lois long-temps Louis XVI majesté malheurs marquis de Bouillé menaces ment ministres Mirabeau monarchie monarque Montmédy Montmorin motifs mouvemens n'avait nation odieux officiers ordres paix patrie patriotisme peuple Pitt politique pouvait pouvoir prince principes puissances reine religion représentans reste révolution française Robespierre rois royaume Russie s'était salut semblée sentimens sentiment sera serment seul sire soldats sortir surtout tion tribune trône troupes Varennes venait voiture voulait zèle
Popular passages
Page 71 - Français de liberté, de constitution , de résistance, lorsque ses vils calomniateurs suçaient le lait des cours et vivaient de tous les préjugés dominants : que m'importe ? Ces coups de bas en haut ne m'arrêteront pas dans ma carrière.
Page 365 - Ces abus n'étaient pas moins funestes à la nation qu'au monarque; ces abus, l'autorité, sous des règnes heureux, n'avait cessé de les attaquer, sans pouvoir les détruire. Ils n'existent plus: la nation souveraine n'a plus que des citoyens égaux en droits, plus de despote que la loi, plus d'organes que des fonctionnaires publics, et le roi est le premier de ces fonctionnaires: telle est la Révolution française.
Page 39 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi.
Page 415 - C'est au contraire venger la liberté, que de réprimer la licence ; c'est affranchir la Nation que de rétablir la force publique sans laquelle elle ne peut être libre. Ces principes^ Sire, sont les vôtres ; le même esprit de modération et de bienfaisance qui caractérise toutes vos...
Page 125 - La popularité que j'ai ambitionnée, et dont j'ai eu l'honneur de jouir comme un autre, n'est pas un faible roseau ; c'est dans la terre que je veux enfoncer ses racines sur l'imperturbable base de la raison et de la liberté.
Page 71 - ... de la révolution celui qui peut-être n'ya pas été inutile, et qui, cette révolution fût-elle étrangère à sa gloire, pourrait là seulement trouver sa sûreté...
Page 369 - Toir la destruction de la royauté , de voir tous les pouvoirs méconnus , les propriétés violées , la sûreté des personnes mise partout en danger , les crimes rester impunis , et une anarchie complète s'établir au-dessus des lois , sans que l'apparence d'autorité que lui donne la...
Page 400 - J'ai désiré, en conséquence , de quitter cette ville : ne le pouvant faire publiquement, j'ai résolu de sortir de nuit et sans suite. « Jamais mon intention n'a été de sortir du royaume : je n'ai eu aucun concert sur cet objet, ni avec les puissances étrangères, ni avec mes parens, ni avec aucun des autres Français sortis du royaume.
Page 439 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française. Alors et dans ce cas, leurs...
Page 183 - Nation composée d'hommes d'honneur et de chevaliers, je croyais que dix mille épées seraient sorties de leurs fourreaux pour la venger même d'un regard qui l'aurait menacée d'une insulte ! Mais le siècle de la chevalerie est passé ; celui des sophistes, des économistes et des calculateurs lui a succédé, et la gloire de l'Europe est a jamais éteinte.