LÁmi des patriotes, ou Le défenseur de la Constitution, Volume 2Demonville, 1791 - France |
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Common terms and phrases
ainſi amis appelé aſſez aujourd'hui auroit auſſi avoit Barnave beſoin bons c'eſt changer choſes citoyens clubs comité conduite conftitution conſtitution corps croire crois d'autres d'être d'hommes décret députés devoir dire diſcours doit doivent donner écrit également ennemis eſprits eſt établie étoit fans fera font force forme fort forte garde gens gouvernement hommes idées intérêt j'ai jour juger l'aſſemblée nationale l'opinion l'ordre liberté libre loin lois majorité membres ment mieux miniſtres Mirabeau monarchie moyens n'ai n'en n'eſt n'ont nation nombre nouvelle opinion opinions ordre parler patrie pays penſe perſonne peuple peut-être peuvent place pluſieurs porte pouvoir premier projets public publique qu'à qu'en qu'un queſtion raiſon remarque révolution rien royauté s'eſt s'il ſans ſans doute ſera ſeroit ſes ſeul ſoient ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſuis ſur ſur-tout tion travail troubles trouve vérité veulent veut voilà volonté voulu vrai
Popular passages
Page 396 - ... un officier subalterne de sa maison. Alors le monarque trouve autant d'autorités opposées à la sienne qu'il ya d'ordres différens dans l'État. Alors sa volonté n'est rien sans le concours de ces différentes volontés. Alors il faut qu'il assemble, qu'il propose, qu'on délibère sur la chose de la moindre importance. Alors on lui donne des tuteurs , comme à un pupille imbécile; et ces tuteurs sont toujours des hommes sur la malveillance desquels il peut compter.
Page 178 - Messieurs1, je viens dans la maison commune, où tant de souvenirs se retracent à moi , reconnaître les derniers témoignages de vos bontés avec toute la sensibilité d'un cœur dont le premier besoin, après celui de servir le peuple , est d'en être aimé , et qui s'étonne de l'importance qu'on daigne mettre à un individu dans un pays libre, où rien ne devrait être important que la loi.
Page 212 - Quant à ce qui s'est passé depuis , je ne saurois me l'expliquer à moi-même; tout ce que j'ai pu faire ou dire n'a été ,que l'effet du délire ; ma volonté n'ya eu aucune part. Lorsque ma santé m'a permis de quitter la maison de M. de Mirabeau , j'ai été reçu dans celle de M. de Lamarck ; j'y suis maintenant , et j'y reçois tous les soins que mon éiat exige encore.
Page 179 - Cependant, Messieurs, dans les marques si touchantes d'affection que j'ai reçues , on a beaucoup trop fait pour moi, on n'a pas assez fait pour la loi. Je me suis convaincu avec la plus tendre émotion que mes camarades m'aimaient; je n'ai point encore su à quel point ils chérissaient tous les principes sur lesquels la liberté est fondée. Je dépose en vos mains, Messieurs , cet aveu sincère de mes sentimens ; daignez...
Page 396 - Alors le monarque trouve autant d'autorités oppofées à la tienne, qu'il ya d'ordres différens dans l'état. Alors fa volonté n'eft rien , fans le concours de ces différentes volontés. Alors il faut qu'il affemble, qu'il propofe, qu'on délibere fur les chofes de la moindre importance. Alors on lui donne des tuteurs comme à un pupille imbécille ••, & ces tuteurs font des hommes , fur la malveillance defquels il peut compter. Mais quel eft alors l'état...
Page 347 - ... mollissant des femmes ; alors, compatriotes, quel autre aiguillon nous faut-il que notre propre cause, pour nous exciter à ce rétablissement de nos droits?
Page 396 - ... autour du trône ; c'eft de faire adopter quelque forme d'adminiftration également nuifible à tout le corps national , qu'elle appauvrit fous prétexte de travailler -à fa liberté , & au fouverain, dont elle anéantit toutes les prérogatives. Alors le monarque trouve autant d'autorités oppofées à la fienne , qu'il ya d'ordres différens dans l'état. Alors fa volonté n'eft rien , fans le concours de ces différentes volontés. Alors il faut qu'il affemble, qu'il propofe, qu'on délibère...
Page 337 - Il ne faut pas pour eux fe déclarer la guerre : Le vrai nous vient du Ciel, l'erreur vient de la Terre; Et parmi les chardons qu'on ne peut arracher , Dans des fentiers fecrets le fage doit marcher. La paix enfin , la paix , que l'on trouble & qu'on aime , Eft d'un prix auffi grand que la vérité même.
Page 211 - Jusqu'à ses derniers me— mer,s, il n'a cessé de me donner les preuves de la plus tendre affection. Cependant on a dit que dans ces terribles instans...
Page 211 - I accent de la plus vive sensibilité : « Mon ami , j'ai bien peu » fait pour vous : mais le reste est dans mon cœur — Je » ne mourrai pas tout entier pour vous ; je vous lègue