Oh ! oui donc, à ces yeux d'abord, comme au plus noble et au plus vif des sens; à ces yeux, pour ce qu'ils ont vu, regardé de trop tendre, de trop perfide en d'autres yeux, de trop mortel; pour ce qu'ils ont lu et relu d'attachant et de trop chéri;... La Revue de Paris - Page 7241905Full view - About this book
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1834 - 600 pages
...voulez , dans un écho tout brisé et affaibli d'une pensée incommunicable : « Oh ! oui donc , à ces yeux d'abord , comme au plus noble et au plus...de trop perfide en d'autres yeux , de trop mortel ; pour ce qu'ils ont lu et relu d'attachant et de trop chéri; pour ce qu'ils ont versé de vaines... | |
| Jean Félix Nourrisson - 1865 - 996 pages
...voulez, dans un écho tout brisé et affaibli d'une pensée incommunicable : » Oh ! oui donc , à ces yeux d'abord, comme au plus noble et au plus vif...regardé de trop tendre , de trop perfide en d'autres jeux, de trop mortel; pour ce qu',ls ont lu el relu d'attachant et de trop chéri ; pour ce qu'ils... | |
| Jean-Félix Nourrisson - 1865 - 482 pages
...dans un écho tout brisé el affaibli d'une pensée incommunicable : « Oh ! oui donc , à ces veux d'abord, comme au plus noble et au plus vif des sens;...ce qu'ils ont vu, regardé de trop tendre, de trop perQde en d'autres jeux, de trop mortel; pour ce qu'ils ont lu el relu d'attachant et de trop chéri... | |
| Jean-Félix Nourrisson - 1866 - 484 pages
...le voulez, dans un écho tout brisé et affaibli d'une pensée incommunicable : « Oh ! oui donc, à ces yeux d'abord, comme au plus noble et au plus vif...de trop perfide en d'autres yeux, de trop mortel; pour ce qu'ils ont lu et relu d'attachant et de trop chéri ; pour ce qu'ils ont versé de vaines larmes... | |
| Jean-Félix Nourrisson - 1866 - 476 pages
...voulez, dans un écho tout brisé et affaibli d'une pensée incommunicable : « Oh ! oui donc , à ces yeux d'abord, comme au plus noble et au plus vif...de trop perfide en d'autres yeux, de trop mortel; pour ce qu'ils ont lu et relu d'attachant et de trop chéri ; pour ce qu'ils ont versé de vaines larmes... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - French fiction - 1869 - 432 pages
...le voulez, dans un écho tout brisé et affaibli d'une pensée incommunicable : « Oh ! oui donc, à ces yeux d'abord, comme au plus noble et au plus vif...de trop perfide en d'autres yeux, de trop mortel; pour ce qu'ils ont lu et relu d'attachant et de trop chéri; pour ce qu'ils ont versé de vaines larmes... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1874 - 428 pages
...le voulez, dans un écho tout brisé et affaibli d'une pensée incommunicable : « Oh I oui donc, à ces yeux d'abord, comme au plus noble et au plus vif...de trop perfide en d'autres yeux, de trop mortel; pour ce qu'ils ont lu et relu d'attachant et de trop chéri; pour ce qu'ils ont verséde vaines larmes... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1874 - 434 pages
...le voulez, dans un écho tout brisé et affaibli d'une pensée incommunicable : « Oh ! oui donc, à ces yeux d'abord, comme au plus noble et au plus vif...de trop perfide en d'autres yeux, de trop mortel; pour ce qu'ils ont lu et relu d'attachant et de trop chéri; pour ce qu'ils ont versé de vaines larmes... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1877 - 432 pages
...le voulez, dans un écho tout brisé et affaibli d'une pensée incommunicable : « Oh ! oui donc, à ces yeux d'abord, comme au plus noble et au plus vif...de trop perfide en d'autres yeux, de trop mortel; pour ce qu'ils ont lu et relu d'attachant et de trop chéri; pour ce qu'ils ont verséde vaines larmes... | |
| Gustave Flaubert - 1880 - 488 pages
...connaissez, met aussi une scène d'extrême-onction, et voici comment il s'exprime : « Oh! oui donc, à ces yeux d'abord, comme au plus noble et au plus vif...ce qu'ils ont vu, regardé de trop tendre, de trop pertide en d'autres yeux, de trop mortel ; pour ce qu'ils ont lu et relu d'attachant et de trop chéri... | |
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