Livre de mes fils |
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aban actes aimer âme assurer beauté besoin Bizerte Blücher bonheur carac CHAPITRE Charles Martel chose citoyen civilisation civique cœur conditions conscience constitue corps courage défendre démocratie développement devoir envers dignité dire doit donner énergie enfants États-Unis États-Unis d'Amérique existence famille femme fils force fraternité gloire gouvernement Grande-Bretagne guerre guerre de Sécession humaine impose indis intel intellectuelle intérêts jeune homme jeunes gens justice l'action l'âme l'amour l'égoïsme l'enseignement l'État l'existence l'homme de caractère l'humanité l'intérêt lâcheté laisse liberté LIVRE lois lopper maladie matériel ment mère mœurs monde Montesquieu morale mort nationale nations nature naturel nécessaire paix parents passé passion Patrie patriotisme pays père péril personne peuples Philippe Auguste physique politique puisse race race blanche race jaune raison règles républicain République respect reste rien rôle s'il santé saurait sentiment sera seul siècle sociale société soient Sois suffrage universel tence tion tisme toyen travail vail vaillant vertu Victor Hugo vivre volonté
Popular passages
Page 217 - Toutes contributions directes ou indirectes autres que celles autorisées par la présente loi, à quelque titre et sous quelque dénomination qu'elles se perçoivent, sont formellement interdites, à peine, contre les autorités qui les ordonneraient, contre les employés qui confectionneraient les rôles et tarifs...
Page 241 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 216 - Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 145 - La femme est obligée d'habiter avec le mari et de le suivre partout où il juge à propos de résider. Le mari est obligé de la recevoir et de lui fournir tout ce qui est nécessaire pour les besoins de la vie, selon ses facultés et son état.
Page 132 - L'ENFANT, à tout âge, doit honneur et respect à ses père et mère.
Page 136 - Oh ! mon père et ma mère ! Oh ! mes chers disparus, qui avez si modestement vécu dans cette petite maison, c'est à vous que je dois tout! Tes enthousiasmes, ma vaillante mère, tu les as fait passer en moi. Si j'ai toujours associé la grandeur de la science à la grandeur de la patrie, c'est que j'étais imprégné des sentiments que tu m'avais inspirés.
Page 241 - La. propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 203 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation; nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Page 294 - Moyen-âge et depuis, personne ne distinguait le ciel; la France seule le voyait. Voilà ce que c'est que la France. Avec elle, rien n'est fini ; toujours à recommencer. Quand nos paysans gaulois chassèrent un moment les Romains, et firent un Empire des Gaules, ils mirent sur leur monnaie le premier mot de ce pays (et le dernier) : Espérance.
Page 156 - ... unis, il faut une foi conjugale, j'entends par là une idée de leur mutuelle dignité qui, les élevant audessus des sens, les rende l'un à l'autre encore plus sacrés que chers, et leur fasse de leur communauté féconde une religion plus douce que l'amour même.