La sociéte et le socialisme. Les communistes. Les chartistes. Les utilitaries. Les humanitairesGuillaumin, 1848 - Communism |
Common terms and phrases
anglais aujourd'hui Bentham besoin bonheur Bowood calcul Charles Abbot chartisme chefs chiavel chimères chose citoyens civilisation classes laborieuses comité insurrecteur commun communauté nationale compagnonnage conseil des prud'hommes devant devoir dire doctrines écrivains égaux esprits famille force globe gouvernement Harrington Hobbes hommes humain humanitaires Icara ici-bas idées individuelle industrielle intérêt jamais jouissances jour l'administration suprême l'Angleterre l'auteur l'égalité L'épée de justice l'esprit l'état l'homme l'humanité l'individu l'intérêt l'Oceana l'ouvrier l'utilité l'utopie laisser livre lord Lansdowne manufacturier membres ment mesure misère mobile monde morale Morelly moyen nistes ouvriers pareil parle passer passions patrie peine pensée personne peuple philosophe Pierre Leroux politique population prétentions principe propriété prostitution public publique qu'un raison réel réforme régime république république de Venise rêve révolution rien rington Robert Owen salaire science sectes semble sentiment sera seront seule siècles singulier sion social société sorte souverain Sylvain Maréchal système tion travail trouve véritable vice Voilà
Popular passages
Page 285 - Mes arrière-neveux me devront cet ombrage: Eh bien ! défendez-vous au sage De se donner des soins pour le plaisir d'autrui ? Cela même est un fruit que je goûte aujourd'hui: J'en puis jouir demain, et quelques jours encore; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Page 372 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Page 186 - Renaut, dans ce point de la moelle, de chaîne de prolifération ; il suffit pour s'en convaincre de jeter un coup d'œil sur la...
Page 360 - Disparaissez enfin, révoltantes distinctions de riches et de pauvres, de grands et de petits, de maîtres et de valets, de gouvernants et de gouvernés.
Page 368 - II ya oppression quand l'un s'épuise par le travail et manque de tout, tandis que l'autre nage dans l'abondance sans rien faire. 6° Nul n'a pu, sans crime, s'approprier exclusivement les biens de la terre ou de l'industrie...
Page 261 - Ainsi, quoique le projet fût très sage, les moyens de l'exécuter se sentaient de la simplicité de l'auteur. Il s'imaginait bonnement qu'il ne fallait qu'assembler un Congrès, y proposer ses Articles, qu'on les allait signer, et que tout serait fait. Convenons que, dans tous les projets de cet honnête homme, il voyait assez bien l'effet des choses quand elles seraient établies, mais il jugeait comme un enfant des moyens de les établir2.
Page 80 - Au-dessus des divers sénats siège un sénat suprême, sujet à un renouvellement annuel. Les lois pénales atteignent tous les membres de la communauté, depuis l'artisan jusqu'au souverain, et elles ne brillent pas par la clémence. Ainsi , tout individu convaincu d'avoir voulu introduire dans le pays « la détestable propriété est enfermé pour toute sa vie, comme fou furieux et ennemi de l'humanité, dans une caverne bâtie dans le lieu des sépultures publiques; son nom est pour toujours...
Page 359 - La loi agraire ou le partage des campagnes fut le vœu instantané de quelques soldats sans principes, de quelques peuplades mues par leur instinct plutôt que par la raison. Nous tendons à quelque chose de plus sublime et de plus équitable, le bien commun ou la communauté des biens ! Plus de propriété individuelle des terres, la. terre n'est à personne. Nous réclamons, nous voulons la jouissance communale des fruits de la terre : les fruits sont à tout le monde.
Page 361 - Le moment des grandes mesures est arrivé. Le mal est à son comble. Il couvre la face de la terre. Le chaos, sous le nom de politique, y règne depuis trop de siècles. Que tout rentre dans l'ordre et reprenne sa place.
Page 370 - La révolution n'est pas finie, parce que les riches absorbent tous les biens et commandent exclusivement, tandis que les pauvres travaillent en véritables esclaves, languissent dans la misère et ne sont rien dans l'Etat.