Mémoires de la Société académique des sciences, arts, belles-lettres, argriculture & industrie de Saint-Quentin: Société académique de Saint-Quentin. Annales scientifiques, agricoles et industrielles du départment de l'Aisne, 1843-54. 1844-55. 11 tom. in 5: 1837-1842, Volume 2

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Popular passages

Page 237 - Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire, A ses regards voilés je trouve plus d'attraits ; C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire Des lèvres que la mort va fermer pour jamais. Ainsi...
Page 234 - Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d'un regard l'immensité féconde ; Ame de l'univers, Dieu, père, créateur, Sous tous ces noms divers je crois en toi, Seigneur, Et, sans avoir besoin d'entendre ta parole, Je lis au front des cieux mon glorieux symbole.
Page 131 - Vive le Christ, qui aime les Francs! Qu'il garde leur royaume et remplisse leurs chefs de la lumière de sa grâce ! qu'il...
Page 202 - Qui pneparavit terram in aeterno tempore : et replevit eam pecudibus et quadrupedibus. Qui emittit lumen, et vadit : et vocavit illud, et obedit illi in tremore. Stellae autem dederunt lumen in custodiis suis, et Iaetatae sunt.
Page 239 - Qu'un autre vous réponde, ô sages de la terre ! Laissez-moi mon erreur : j'aime, il faut que j'espère; Notre faible raison se trouble et se confond. Oui la raison se tait ; mais l'instinct vous répond. Pour moi, quand...
Page 228 - Là dort dans son espoir celle dont le sourire Cherchait encor mes yeux à l'heure où tout expire, Ce cœur, source du mien, ce sein qui m'a conçu, ' Ce sein qui m'allaita de lait et de tendresses, Ces bras qui n'ont été qu'un berceau de caresses, Ces lèvres dont j'ai tout reçu...
Page 233 - L'Océan se joue Aux pieds de son roi; L'aquilon secoue Ses ailes d'effroi ; La foudre te loue, Et combat pour toi ; L'éclair, la tempête, Couronnent ta tête D'un triple rayon ; L'aurore t'admire, Le jour te respire , La nuit te soupire, Et la terre expire D'amour à ton nom ! Et moi, pour te louer, Dieu des soleils, qui suis-je?
Page 39 - ... on eut recours à la chaleur du fumier pour faire éclore les œufs; on nourrit les vers avec des feuilles de mûrier ; ils vécurent et travaillèrent sous un climat étranger : on conserva un assez grand nombre de chrysalides pour en propager la race, et on planta des arbres qui devaient fournir à la subsistance des nouvelles générations. L'expérience et la réflexion corrigèrent les erreurs dans lesquelles on tomba d'abord ; et les ambassadeurs de la Sogdiane reconnurent, sous le règne...
Page 240 - Femmes! anges mortels! création divine! Seul rayon dont la vie un moment s'illumine! Je le dis à cette heure, heure de vérité, Comme je l'aurais dit, quand devant la beauté Mon cœur épanoui qui se sentait éclore Fondait comme une neige aux rayons de l'aurore! Je ne regrette rien de ce monde que vous! Ce que la vie humaine a d'amer et de doux, Ce qui la fait brûler...
Page 67 - ... commune. Il veille à la salubrité des écoles et au maintien de la discipline , sans préjudice des attributions du maire en matière de police municipale. Il s'assure qu'il a été pourvu à l'enseignement gratuit des enfants pauvres.

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