F. PONSARD |
Common terms and phrases
acte Adieu Agnès de Méranie aime ALAIN Allez amant âme amis ANGÉLIQUE ANTONIA apothicaire ARISTIDE avez beau bras C'était Cérès chant Charlotte Corday charme chose ciel cieux cœur comédie comte de Maugiron coup d'Humbert Dame aux Camélias DANTON devant Dieu doux drame duchesse de Montbazon DUPARC Émile Augier enfant ÉPICTÈTE Est-ce êtes femme fille flots François Ponsard Galilée gens gloire HOCHE homme HUMBERT j'ai j'en jamais jeune jour l'amour L'INQUISITEUR laisse Lion amoureux LIVIE Lucrèce m'en madame la comtesse MADAME TALLIEN MADEMOISELLE BÉJART MADEMOISELLE DE BRIE main MARQUISE Maupas MIKEL monsieur Dimanche monsieur Molière monsieur Purgon mort MUSCADIN NICCOLINI œuvre parler passé passion père pleurs poëte POMPÉE PRÉSIDENT Purgon qu'un regard reste rêve Reynaud rien Rome saint-office sais salon saluant SCÈNE VII sentiments sera sergent Bellerose seul SOLDAT soleil sort TADDEO théâtre TITYRE tragédie VAUGRIS veux VICOMTE Vienne VIVIAN Voilà vrai yeux НОСНЕ
Popular passages
Page 357 - Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien, et que tout ce grand nombre d'incidents a toujours été le refuge des poètes qui ne sentaient dans leur génie ni assez d'abondance ni assez de force pour attacher durant cinq actes leurs spectateurs par une action simple , soutenue de la violence des passions , de la beauté des sentiments , et de l'élégance de l'expression.
Page 355 - Ce style figuré, dont on fait vanité, Sort du bon caractère et de la vérité; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 257 - J'ai vengé bien d'innocentes victimes. J'ai prévenu bien d'autres désastres. Le peuple, un jour désabusé, se réjouira d'être délivré d'un tyran.
Page 256 - ... j'ai trouvé cela fort bien pour le jour et fort mal pour la nuit ; je me suis plainte de cette indécence, le Comité n'a pas jugé à propos d'y faire attention ; je crois que c'est de l'invention de Chabot, il n'ya qu'un capucin qui puisse avoir ces idées.
Page 256 - Pardon, ô hommes! ce nom déshonore votre espèce : c'était une bête féroce qui allait dévorer le reste de la France par le feu de la guerre civile. Maintenant, vive la paix!
Page 357 - Il y en a qui pensent que cette simplicité est une marque de peu d'invention. Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien...
Page 301 - Adieu donc! Moi, je pars; je vais dans nos vallons; Je suis trop villageois pour une capitale; J'ai mal étudié la langue des salons, Sa vivacité froide et sa grâce banale. Je ne sais pas cacher un sentiment profond, Et, quand j'ai le cœur gros, rire du bout des lèvres. Un mot glacé me tue, un regard me confond, Un signe mécontent me donne un jour de fièvres. Plus je me sens maussade et plus je le deviens; Ma parole se meurt, mon silence me pèse. Je m'en vais retrouver mes fusils et mes...
Page 356 - J'avais droit d'être par vous traité Comme une Majesté par une Majesté. Vous êtes roi, moi père, et l'âge vaut le trône. Nous avons tous les deux au front une couronne Où nul ne doit lever de regards insolents, Vous, de fleurs de lis d'or, et moi, de cheveux blancs.
Page 388 - Qu'est-ce à dire ? RODOLPHE. — Eh ! mon Dieu ! je n'en ai pas la preuve. Tu n'es jamais sorti triomphant d'une épreuve. Tu crois en ta vertu ; mais, pour avoir ce droit, As-tu jamais souffert de la faim et du froid? Sais-tu, pendant les nuits où le souci s'éveille, Tout ce qu'à l'indigent le désespoir conseille ? A ton chevet fiévreux, as-tu vu, comme lui, Un démon te montrer l'opulence d'autrui, Puis, en regard mettant ta misérable vie,.
Page 291 - II chante la nuit sur les branches de ce grenadier. Crois-moi, cher ami, c'était le rossignol.