sous les ordres de M. de Condé, dans le ca de Berne, frontière de la Franche-Comté ; rassuré les amis de la patrie et de la vérité ces commotions qu'il ne regardoit pas comm dangereuses; mais, quand bien même ces fa blemens seroient aussi nombreux qu'on les posoit, il a observé qu'en 1636, un prince Condé, à la tête d'un armée étrangère, avoit une vaine tentative sur la Franche-Comté; fut repoussé devant Dôle; que les Francs-Com étoient alors superstitie ux, espagnols et escla et qu'on devoit bien plus compter sur leur rage, aujourd'hui qu'ils sont François et lib qu'avec de tels surveillans, la Capitale n point à craindre de surprise; et qu'enfin, les Fra Comtois périroient tous avant de laisser pa sur leurs frontières les ennemis de la liberté L'assemblée vivement émue par cette déc tion patriotique, en a témoigné ses remercime son président, qui est Franc-Comtois. Un de MM. les secrétaires a fait lecture procès-verbal (imprimé, numéro 17) de la auguste des Amis de la Vérité confédérés d Métropole, pour préparer la liberté des nat Le procureur-général a donné l'interprét suivante d'une expression qui terminoit son cours de fédération. M yon Les Tyrans sont murs. Quelques uns, par véhémence de patrioti A508371 THEORIE ET PRATIQUE DES DROITS DE L'HO M M E. PAR TH. PAIN E, Sécrétaire du Congrès au département des affaires à BURKE, Traduit en François, PAR F. LANTHENAS, D. M. Et par le TRADUCTEUR du Sens commun. A PARIS, Chez les Directeurs de l'Imprimerie du CERCLE |