Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815 ... |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
accusés appelle armées arrêté aurait avaient avant avez avons c'était cause cent chargé chose citoyens comité de salut commune compte conjurés conspiration Convention Convention nationale corps cours crime d'autres d'avoir d'être Danton déclaration décret demande département députés dernier devant dire disait doit donner écrits enfin ennemis faction faisait femme fers force former générale gens gouvernement guerre Hébert hommes intérêts j'ai Jacobins jour jugement justice l'accusé laisser lettre liberté lieu livres mains marche membres ment mesures mille mois mort moyens n'ai n'avait n'était nationale nombre nommé nouvelle paiement parler passer patrie patriotes pendant père peuple pièces place porter pouvait pouvoir premier présent président pris projet propos publique qu'un raison rapport rendre représentans représentation républicains République reste révolution révolutionnaire rien Robespierre s'il salut public séance section sera seront seul société sommes sort suivant sûreté témoin tion tribunal trouvé tyrans venait vérité voulait
Popular passages
Page 401 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 403 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Page 401 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 402 - Tout homme peut engager ses services, son temps ; mais il ne peut se vendre, ni être vendu ; sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité ; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance, entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie.
Page 401 - La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui : elle a pour principe la nature; pour règle la justice; pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
Page 403 - Un peuple a toujours le droit de revoir, de réformer et de changer sa Constitution.
Page 410 - Il- est tenu de les dénoncer, s'il ya lieu, devant les autorités judiciaires. Des relations du conseil exécutif avec le corps législatif.
Page 299 - Toutes conspirations et complots tendant » à troubler l'État par une guerre civile en » armant les citoyens les uns contre les » autres, ou contre l'exercice de l'autorité » légitime, seront punis de mort.
Page 370 - Fanatiques, n'espérez rien de nous. Rappeler les hommes au culte pur de l'Être suprême, c'est porter un coup mortel au fanatisme. Toutes les fictions disparaissent devant la Vérité et toutes les folies tombent devant la Raison. Sans contrainte, sans persécution, toutes les sectes doivent se confondre d'elles-mêmes dans la religion universelle de la Nature.
Page 367 - ... des préjugés religieux : ses coryphées déclamaient quelquefois contre le despotisme , et ils étaient pensionnés par les despotes ; ils faisaient tantôt des livres contre la cour, et tantôt des dédicaces aux rois , des discours pour les courtisans , et des madrigaux pour les courtisanes ; ils étaient fiers dans leurs écrits, et rampants dans les antichambres.