La réforme et la ligue |
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Common terms and phrases
appelait armée armes arriva assemblée avaient avoit bonne bourgeois c'était calvinistes caractère cardinal Catherine catholicisme catholique cause Charles chef cherchait chose cité Coligny concile conseil corps coup cour couronne déclara demande devait Dieu dire doctrines donner duc d'Anjou duc de Guise écrivait esprit états faict faisait fils force forte François frère garde gouvernement guerre haute Henri hommes huguenots idées j'ai jeter jour l'amiral l'autre l'église l'Espagne l'esprit lettres liberté ligue livres Lorraine Luther main maison majesté Médicis ment milieu mille mort mouvement moyen n'avait n'était Navarre nouvelle opinions ordres paix pape parlement passer peine pensée personne peuple Philippe place populaire porte pouvait pouvoir prédication premier présente prince de Condé pris protestants provinces puissance puissante qu'une rapport réforme reine religieuse religion reste rien Rome royale royaume s'en s'était s'il saint secret sentiments sera seulement sorte suivant surtout tête tion traité trouver venir vieille ville villes vive voulait voyait
Popular passages
Page 371 - Nous vous jurons que vous en au« rez nouvelles ; car nous y mènerons si bien les mains « à tort et à travers, qu'il en sera mémoire à jamais.
Page 342 - Non, non, dit-il, ma tante; je vous honore « plus que le Pape , et aime plus ma sœur que je ne le « crains. Je ne suis pas huguenot , mais je ne suis pas « sot aussi. Si M. le Pape fait trop la beste, je prendray « moy-même Margot par la main , et la meneray epouser
Page 284 - II n'ya pas long-temps, dit-il un jour à l'amiral, que vous • vous contentiez d'être soufferts par les catholiques; maintenant » vous demandez à être égaux, bientôt vous voudrez être seuls,
Page 247 - France , estropié presque de tous mes membres, d'arquebusades , coups de piques et d'espée , à demi-inutile , sans force, après avoir remis la charge de gouverneur de Guyenne, j'ai voulu employer le temps qui me reste à descrire les combats auxquels je me suis trouvé, pendant cinquante-deux ans que j'ai commandé...
Page 376 - Moy, sentant cet homme qui me tenoit, je me jette à la ru elle, et luy après moy, me tenant tousjours au travers du corps. Je ne cognoissois point cet homme, et ne sçavois s'il venoit là pour m'offenser, ou si les archers en vouloient à luy ou à moy.
Page 578 - Car elle estait telle, qu'à peine elle-mesme pouvait-elle passer par les rues si dru semées et retranchées de barricades, tellement que ceux qui les gardoient ne voulurent jamais faire plus grande ouverture que pour passer la chaise. »La...
Page 95 - Luther, s'écrie Mélanchton, me cause de grandes peines par les longues plaintes qu'il me fait de ses afflictions. Il est abattu ', on ne le ménage pas dans des écrits qu'on ne dit pas méprisables.
Page 285 - Je conserverai volontiers l'amitié de vos princes, quand ils ne se mêleront pas plus des affaires de mon royaume que je ne me mêle de celles de leurs...
Page 478 - Ah! malheureux hypocrites, vous vous moquez donc de Dieu sous le masque, et portez par contenance un fouet à votre ceinture ! ce n'est pas là , de par Dieu , où il...
Page 338 - ... jamais ; car je n'en vois point qui ne s'en sente. Votre cousine la marquise en est tellement changée, qu'il n'ya apparence de religion, et ma sœur la princesse encore pis.