Le suffrage universel: étude comparée des diverses législations électorales |
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années Annuaire annulée assemblées aurait Autriche avril base belge Belgique candidat catégories cens cent Chambre charges choisis citoyens classes communes complètement composée compte comte condamnés conditions Congrès Conseil considérable Const constate Constitution corps corruption d'après d'autres décembre déclare décret degré députés dernier désignés déterminé devant dire directe divers doit donner également élec électeurs élections électorale élus employés établi États États-Unis étrangère exercée force forme général gouvernement Grèce habitants hommes imposés impôts institutions janvier jour juge juillet juin l'argent l'élection l'État l'une législ liberté livre localités lois majorité manière mars masses membres ment mesures mille morale moyens nation nature nécessaire nombre nommés outre Parlement payant pays personne peuple population portée pouvoir premier présente presque pression publics publique qu'une raison rapport représentants République reste scrutin Seconde Sénat serait Serbie seulement sociale société sorte spécial suffrage universel suiv système tion titre valeur véritable villes vote
Popular passages
Page 18 - ... en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être ; d'altérer la constitution de l'homme pour la renforcer; de substituer une existence partielle et morale à l'existence physique et indépendante que nous avons tous reçue de la nature.
Page 18 - ... Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine , de transformer chaque individu , qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être; d'altérer la constitution de l'homme pour la renforcer ; de substituer une existence partielle et morale à l'existence physique et indépendante que nous avons tous reçue de la nature.
Page 19 - ... de toute violence, et ne s'exerce jamais qu'en vertu du rang et des lois ; et, quant à la richesse, que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre, et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre4 : ce qui suppose, du côté des grands, modération de biens et de crédit, et, du côté des petits, modération d'avarice et de convoitise.
Page 114 - ... ceux des ci-devant nobles, ensemble les maris, femmes, pères, mères, fils ou filles, frères ou sœurs et agents d'émigrés, qui n'ont pas constamment manifesté leur attachement à la Révolution; 6°...
Page 15 - ... c'est qu'au lieu de détruire l'égalité naturelle, le pacte fondamental substitue au contraire une égalité morale et légitime à ce que la nature avait pu mettre d'inégalité physique entre les hommes, et que, pouvant être inégaux en force ou en génie, ils deviennent tous égaux par convention et de droit 1.
Page 114 - Si celui qui sera convaincu désormais de s'être plaint de la Révolution vivait sans rien faire et n'était ni sexagénaire, ni infirme, il sera déporté à la Guyane.
Page 54 - LA CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS. ART. 47. La Chambre des représentants se compose des députés élus directement par les citoyens payant le cens déterminé par la loi électorale, lequel ne peut excéder 100 florins d'impôt direct, ni être au-dessous de 20 florins.
Page 42 - On veut toujours son bien, mais on ne le voit pas toujours : jamais on ne .corrompt le peuple, mais souvent on le trompe, et c'est alors seulement qu'il paraît vouloir ce qui est mal.
Page 17 - M. d'Alembert ne s'y est pas trompé, et a bien distingué, dans son article Genève, les quatre ordres d'hommes (même cinq, en y comptant les simples étrangers) qui sont dans notre ville, et dont deux seulement composent la république. Nul autre auteur français, que je sache, n'a compris le vrai sens du mot citoyen.
Page 117 - ... que quand on aurait ruiné les Belges , quand on les aurait mis au même point de détresse que les Français, ils s'associeraient nécessairement à leur sort , comme faisaient les Liégeois qui se jetaient dans nos bras, parce qu'ils étaient misérables et endettés ; qu'alors on les admettrait comme membres de la république, avec l'espoir de conquérir toujours devant soi...