Histoire de Pologne, depuis son origine jusqu'en 1795: époque du partage définitif de ce royaume entre la Russie, la Pruse et l'Autriche ...Fain, 1807 - Poland |
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... suffrages . Le roi n'avait point de suffrage à la diète ; mais , dans le conseil permanent , son suffrage comptait pour deux . Le primat avait séance au conseil deux ans de suite , et y rentrait après deux ans d'exclusion ; pendant qu ...
... suffrages . Le roi n'avait point de suffrage à la diète ; mais , dans le conseil permanent , son suffrage comptait pour deux . Le primat avait séance au conseil deux ans de suite , et y rentrait après deux ans d'exclusion ; pendant qu ...
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... suffrages par é- crit , on les admettait ; mais celui qui présidait le conseil avait toujours le suffrage décisif en cas de partage des voix . La législation et l'administration de la justice ne faisaient point partie des attributions ...
... suffrages par é- crit , on les admettait ; mais celui qui présidait le conseil avait toujours le suffrage décisif en cas de partage des voix . La législation et l'administration de la justice ne faisaient point partie des attributions ...
Page 72
... suffrages de la diète ; un simple nonce pouvait contrarier une décision et dissoudre l'assemblée , en prononçant le veto . La durée de la diète était fixée à six semaines , et , le premier jour de la dernière semaine , les sénateurs et ...
... suffrages de la diète ; un simple nonce pouvait contrarier une décision et dissoudre l'assemblée , en prononçant le veto . La durée de la diète était fixée à six semaines , et , le premier jour de la dernière semaine , les sénateurs et ...
Page 78
... suffrages , il ne lui restait plus qu'à proclamer le candidat élu . Plusieurs jours n'auraient pu suffire au recueille- ment des voix , si chaque noble eût donné sépa- rément la sienne ; mais chaque palatinat faisait connaître au primat ...
... suffrages , il ne lui restait plus qu'à proclamer le candidat élu . Plusieurs jours n'auraient pu suffire au recueille- ment des voix , si chaque noble eût donné sépa- rément la sienne ; mais chaque palatinat faisait connaître au primat ...
Page 103
... suffrages à des princes étrangers , d'autres se déclaraient pour des sei- gneurs polonais ; mais enfin le plus grand nom- bre , entraîné par les discours d'Étienne Poboz , archevêque de Gnesne , demanda que la cou- ronne fût déférée à ...
... suffrages à des princes étrangers , d'autres se déclaraient pour des sei- gneurs polonais ; mais enfin le plus grand nom- bre , entraîné par les discours d'Étienne Poboz , archevêque de Gnesne , demanda que la cou- ronne fût déférée à ...
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Common terms and phrases
ambassadeur armée armes assemblée Auguste avaient bataille bientôt Boleslas camp Casimir cent mille Charles XII chevaux conseil Cosaques courage couronne Cracovie Dantzick déclara devait diète donner élection élu ennemis fils firent force frère général Gnesne gouvernement grand-général guerre habitans Hongrie Jagellon Jean Jean Sobieski Jean-Casimir Kmielniski l'armée l'électeur l'élection l'empereur l'Ukraine Ladislas laisser Léopold Leszko Lithuanie Lithuaniens Livonie logne lois long-temps maison malheurs mée ment Mer Baltique Miécislaw mille hommes Moldavie monarque mort Moscovites mourut n'avait n'était nation nobles noblesse nombre nonces pacta conventa paix palatin palatinat parvint patrie paysans père peuple Piast Podolie Polo polonaise porter pouvait primat prince prit priviléges provinces Prusse puissance règne reine rent république rois de Pologne royaume Russie s'était Sarmates Saxe Saxons seigneurs sénat sénateurs seul Sigismond Sobieski sort souverain Stanislas Steinflicht succès Suède Suédois suffrages Tatars tête tion traité traité d'Oliva trône troupes Turcs tzar Varsovie Vistule Zurawno
Popular passages
Page 389 - Ils trouvoient dangereux de demander le chemin à des payfans, de qui naturellement nous n'avions rien à craindre ; & , un peu auparavant , ils ne voyoient aucun rifque à fe préfenter aux portes d'une Ville dont nos ennemis avoient fait une des...
Page 303 - Enfin chacun des dieux, discourant à sa gloire, Le plaçait par avance au temple de mémoire : Mais Vénus ni Bacchus n'en dirent pas un mot.
Page 392 - ... propofoit. Mais il n'ya pas un feul bateau , repritelle : comment ferez-vous ? Tout ce que vous voudrez , lui dis-je d'un air ouvert & plein de confiance ; j'aime mieux recevoir ce fervice de vous que de tout autre , & je fens que je ne puis vous déplaire par la préférence que je vous donne à cet égard ; car enfin , ajoutai-je , je connois le pays; il n'eft pas...
Page 61 - Comment l'habitant des provinces qu'éclaire un ciel plus doux penserait-il à les quitter, si une administration tyrannique ne lui rendait pas inutiles ou odieux les bienfaits de la nature ! Une loi d'affranchissement, loin de disperser les hommes, les retiendra dans ce qu'ils appelleront alors leur bonne patrie, et qu'ils préféreront aux pays les plus fertiles ; car l'homme endure tout de la part de la Providence ; il n'endure rien d'injuste de son semblable; et s'il se soumet, ce n'est qu'avec...
Page 61 - L'homme ne tient pas par des racines à la terre; ainsi il n'appartient pas au sol. L'homme n'est pas un champ, un pré, un bétail; ainsi il ne saurait être une propriété. L'homme a le sentiment intérieur de ces vérités simples; ainsi l'on ne saurait lui persuader que ses chefs aient le droit de l'enchaîner à la glèbe. Tous les pouvoirs se réuniraient en vain pour lui inculquer cette infâme doctrine.
Page 62 - L'homme a le sentiment intérieur de ces vérités simples; ainsi l'on ne saurait lui persuader que ses chefs aient le droit de l'enchaîner à la glèbe. Tous les pouvoirs se réuniraient en vain pour lui inculquer cette infâme doctrine. Le temps n'est plus où les maîtres de la terre pouvaient parler au nom de Dieu, si même ce temps a jamais existé. Le langage de la justice et de la raison est le seul qui puisse avoir un succès durable aujourd'hui...
Page 362 - ... le fentiment de mes peines, » Je me levai , & , mettant la tête à la lucarne de ce grenier , je vis un Officier Ruffe qui fe promenoit gravement dans la prairie , & deux Soldats qui y faifoient paître des chevaux.
Page 344 - ... d'un côté jufqu'à trois lieues de pays , qu'à caufe des lignes de circonvallation qui bouchoient tous les autres paflages, & qu'il eût été impoflïble de franchir à cheval.
Page 359 - Vers le minuit, nous arrivâmes à la chaussée d'une rivière que je crus être la Vistule. Nos conducteurs se mirent aussitôt à tenir conseil entre eux. Le général ni moi nous n'y fûmes point appelés.
Page 364 - Dantzic ne fut point oublié, non plus que la plupart de leurs exploits en Pologne , qui me firent autant d'horreur que de pitié. Dès qu'ils furent partis, l'nôtefle revint me retrouver.