Revue d'histoire rédigée à l'État-major de l'armée: Section historique, Volume 31908 - France |
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17 septembre 1806 Correspondance armées armées du Rhin Auerstedt Autrichiens avaient avant-postes bataille de Pozzolo bataillon Berlin Berthier bivouac Bouchotte Breidt brigade caissons campagne capitaine capotes cavalerie chevaux chirurgiens colonel Comité de Salut commandant commissaires des guerres corps d'armée d'Aligny d'ambulance d'artillerie d'infanterie Davout décembre devait Directoire division Dumouriez Dupont Eckartsberga envoyer équipages Erfurt escadrons février Fort-Vauban frimaire général en chef Gouverneur Gouvion Saint-Cyr Grand-Pré Historique Hoche hommes hôpitaux Ibid IIIe armée intendants janvier jour Kellermann Kösen Küstrin l'armée du Rhin l'ennemi l'habillement l'intendant lettre lieutenant Louvois magasins marche maréchal Davout matin Mayence ment Michaud miliciens militaires Ministre Monzambano Moselle Napoléon Naumburg nivôse novembre octobre officiers de santé ordres Osterode paires de souliers paroisses payeurs Pichegru pluviôse pont Posen Pozzolo prussienne quartier général Rapport de Daru régiments de milice Revue rive gauche Saint-Denis Salut public Scharnhorst Servan service soldats Thorn tion troupes Varsovie Villejuif voitures
Popular passages
Page 273 - Il est nécessaire de faire arrêter Hoche sur-le-champ. Remplissez cette commission et prenez les précautions les plus sûres pour le faire transférer au Comité de salut public.
Page 161 - Dix mille hommes sont nu-pieds dans l'armée. Il faut que vous déchaussiez tous les aristocrates de Strasbourg dans le jour, et que demain à dix heures du matin, les dix mille paires de souliers soient en marche pour le quartier général ». Et le même jour : « Tous les manteaux des citoyens de la ville de Strasbourg sont en réquisition.
Page 33 - J'ai été obligé d'abandonner le camp de Grand-Pré ; la retraite était faite , lorsqu'une terreur panique s'est mise dans l'armée. Dix mille hommes ont fui devant quinze cents hussards prussiens. La perte ne monte pas à plus de cinquante hommes et quelques bagages. Tout est réparé, et je réponds de tout.
Page 234 - Hoche a du mérite; avec moins d'amour de la gloire, il en aurait davantage encore. Il sera un jour un grand général, si l'amour-propre des autres lui en donne le temps et s'il vient lui-même à mieux connaître la mesure du gouvernement...
Page 93 - ... l'ambition inconsidérée de ses lieutenants généraux. Le général en chef, dont le quartier général était à deux lieues du champ de bataille, laissa se battre toute son aile droite, qu'il savait avoir passé sur la rive gauche, sans faire aucune disposition pour la secourir. Une telle conduite n'a besoin d'aucun commentaire. Il est impossible d'expliquer comment Brune, qui savait que sa droite avait passé et était aux mains avec l'ennemi, ne se porta pas à son secours, n'y dirigea...
Page 220 - Dumouriez , il réunit le commandement en chef des deux armées du Rhin et de la Moselle; et, dès ce moment, l'immense pouvoir dont il étoit revêtu donna de l'ombrage.
Page 273 - Citoyens, le service de la République, notre mère commune, m'appelle ailleurs. Continuez à bien mériter d'elle comme vous l'avez fait jusqu'à ce jour. Le nom du nouveau chef que vous avez a déjà frappé vos oreilles; sous lui, vous ne pouvez, braves camarades, qu'anéantir les tyrans coalisés contre notre sainte Liberté. Vive à jamais la République une et indivisible...
Page 525 - Histoire du service militaire des régiments suisses à la solde de l'Angleterre, de Naples et de Rome, Genève, Eggimann, 1901.
Page 258 - Il est temps que l'autorité confiée aux mandataires du peuple cesse d'être méconnue ; il est temps que les chefs de la force armée sachent qu'elle est essentiellement obéissante et que lorsqu'elle a des ordres à exécuter, elle doit s'occuper des moyens d'y réussir et non de les éluder ; il est temps enfin que les généraux apprennent qu'une responsabilité terrible pèse sur la tête de ceux qu'une erreur involontaire n'excuserait pas.
Page 390 - France ne passent cette partie de la ligne ou ne sortent des pays qui y sont compris pour combattre les armées françaises , et à cet effet les deux parties contractantes entretiendront sur les points essentiels, après s'être concertées entre elles, des corps d'observation suffisant pour faire respecter cette neutralité.