Le fils de votre roi , lui dit-il , vient vous demander du pain et un » habit. Je sais que vous êtes mon ennemi , mais je vous crois assez » de vertu pour ne pas abuser de ma confiance et de mon malheur. » Prenez les misérables vêtements qui me... Œuvres de Voltaire - Page 223by Voltaire - 1831Full view - About this book
| Voltaire - 1785 - 556 pages
...gentilhomme auquel il s'adreflait fut touché , comme il devait l'être. Il s'emprefla de le fecourir , autant que la pauvreté de ce pays peut le permettre, et lui garda le fectet. De cette île il regagna encore l'Ecofle, et fe rendit dans la tribu de Morar qui lui était... | |
| Voltaire - 1785 - 456 pages
...gentilhomme auquel il s'adreffait fut touché , comme il devait l'être. Il s'empreffa de le feçourir , autant que la pauvreté de ce pays peut le permettre , et lui garda le fecret. De cette île il regagna encore l'Ecofle , et fe rendit dans la tribu de Morar qui lui était... | |
| Voltaire - Authors, French - 1785 - 452 pages
...gentilhomme auquel il s'adreffait fut touché , comme il devait l'être. Il s'empreffa de le fecourir , autant que la pauvreté de ce pays peut le permettre , et lui garda le lecret. De cette île il regagna encore l'Ecofle , et fe rendit dans la tribu de Morar qui lui était... | |
| Voltaire - 1792 - 494 pages
...gentilhomme auquel il s'adrtfiait fut touché , comme •l il devait l'être. H s'emprefla de le fecourir, autant que la pauvreté de ce pays peut le permettre , et lui garda le fccret De cette île il regagna encore PEcofle , etfe xendit dans la tribu de Morar qui lui écait... | |
| Voltaire - 1792 - 464 pages
...auquel il s'adrefiait fut touché , comme il devait l'être. Il s'emprefTa de le fecourir, autant «]iie la pauvreté de ce pays peut le permettre , et lui garda le fecret. De cette lie il regagna encore FEcoffe,, et fe rendit dans la tribu de Morar qui lui était... | |
| Voltaire - 1810 - 404 pages
...couvrent, garêez-les ; vous pourrez me les apporter un jour dans le palais des rois de la GrandeBretagne. Le gentilhomme auquel il s'adressait fut touché,...secourir, autant que la pauvreté de ce pays peut le per^ mettre, et lui garda le secret. De cette île il regagna encore l'Ecosse, et se rendit dans la... | |
| Marie-Anne Adélaïde Le Normand - Fortune-tellers - 1814 - 730 pages
...palais des rois de la Grantlciretagne. Le gentilhomme auquel il s'adressoit, fut touché comme H devoit l'être. Il s'empressa de le secourir , autant que la pauvreté de ce pays pouvoit le permettre, et lui garda le secret. Dans les inquiétudes où l'on étoit en France sur la... | |
| Voltaire - France - 1817 - 280 pages
...Prenez les misérables vêtements qui me « couvrent , gardez -les ; vous pourrez me les ap« porter un jour dans le palais des rois de la Grande« Bretagne...peut le permettre , et lui garda le secret. De cette isle il regagna encore l'Ecosse, et se rendit dans la tribu de Morar , qui lui était affectionnée... | |
| Voltaire - France - 1817 - 496 pages
...couvrent, garilez- les ; vous pourrez me les ap« porter un jour dans le palais des rois de laGrande« Bretagne ». Le gentilhomme auquel il s'adressait...l'être ; il s'empressa de le secourir autant que la panvreté,fde ce pays peut !• permettre , et lui garda le secret. , . ' De cette isle il regagna... | |
| Tobias Smollett, John Adolphus - Great Britain - 1820 - 426 pages
...des rois de la Grande-Bretagne. > Le gentilhomme auquel il s'adressoit fut touché , comme il devoit l'être; il s'empressa de le secourir autant que la...l'Ecosse, et se rendit dans la tribu de Morar , qui lui étoit affectionnée; il erra ensuite dans le Lockaber, dans le Badenock. Ce fut là qu'il apprit qu'on... | |
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