Histoire de la Restauration, Volume 20 |
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aurait avaient Bourdonnaye Bourmont c'était cabinet Casimir Périer Chabrol chambre des députés Chantelauze Charles Charles X Charte chef colléges commission conseil constitutionnelle coup d'État cour royale Courvoisier croyait d'Alger d'Haussez Dauphin déclara demanda devait disait dit-il Drapeau blanc duc d'Orléans duc de Laval duc de Wellington Dupin dynastie électeurs élections électoraux esprits eût fallait Fayette force fût garde gauche Gazette gouvernement Grèce Guernon Guernon-Ranville guerre hommes hostile jour Journal des Débats journaux l'adresse l'Angleterre l'armée l'hôtel-de-ville l'opposition Laffitte laisser légale libérale liberté lord Aberdeen majorité maréchal ment mesures ministère monarchie Montbel Mortemart n'avait n'était nation National nistère ordonnances pairs pays pensée Périer peuple Peyronnet Polignac politique population Porte pouvait pouvoir pré présenter président presse prince Léopold proclamation projet protestation public publique puissances question Ranville refus résolution royauté Russie s'était Saint-Cloud Sémonville sentiments serait seul sorte succès tion tribunal trône troupes trouvait Tuileries venait Villèle Vitrolles vote voulait
Popular passages
Page 255 - ... elle fait, du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 256 - Entre ceux qui méconnaissent une nation si calme, si fidèle, et nous qui, avec une conviction profonde, venons déposer dans» votre sein les douleurs de tout un peuple, jaloux de l'estime et de la confiance de son Roi, que la haute sagesse de...
Page 561 - Dans la situation où nous sommes placés, l'obéissance cesse d'être un devoir. Les citoyens appelés les premiers à obéir sont les écrivains des journaux; ils doivent donner les premiers l'exemple de la résistance à l'autorité qui s'est dépouillée du caractère de la loi.
Page 255 - Sire, notre loyauté, notre dévoûment, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. Une défiance injuste des sentiments et de la raison de la France est aujourd'hui la pensée fondamentale de l'administration : votre peuple s'en afflige, parce qu'elle est injurieuse pour lui ; il s'en inquiète, parce qu'elle est menaçante pour ses libertés.
Page 563 - Nous n'avons pas à tracer ses devoirs à la Chambre illégalement dissoute ; mais nous pouvons la supplier, au nom de la France, de s'appuyer sur son droit évident, et de résister, autant qu'il sera en elle, à la violation des lois. Ce droit est aussi certain que celui sur lequel nous nous appuyons. La Charte dit, an.
Page 694 - Vous aurez donc, en votre qualité de lieutenant général du royaume, à faire proclamer l'avènement de Henri V à la couronne. Vous prendrez d'ailleurs toutes les mesures qui vous concernent pour régler les formes du gouvernement pendant la minorité du nouveau Roi. Ici je me borne à faire connaître ces dispositions : c'est un moyen d'éviter encore bien des maux.
Page 675 - ... l'héroïque population de Paris l'a abattu. Paris attaqué a fait triompher par les armes la cause sacrée qui venait de triompher en vain dans les élections. Un pouvoir usurpateur de nos droits, perturbateur de notre repos, menaçait à la fois la liberté et l'ordre : nous rentrons en possession de l'ordre et de la liberté.
Page 675 - La France est libre. Le pouvoir absolu levait son drapeau ; l'héroïque population de Paris l'a abattu. Paris attaqué a fait triompher par les armes la cause sacrée qui venait de triompher en vain dans les élections.
Page 288 - France avait commencé à jouir, altère les sources de sa prospérité , et pourrait, si elle se prolongeait, devenir funeste à son repos. Notre conscience , notre honneur, la fidélité que nous vous avons jurée et que nous vous garderons toujours, nous imposent le devoir de vous en dévoiler la cause.
Page 694 - J'ai donc pris la résolution d'abdiquer la couronne en faveur de mon petit-fils, le duc de Bordeaux. Le Dauphin, qui partage mes sentiments, renonce aussi à ses droits en faveur de son neveu. Vous aurez donc, en votre qualité de lieutenant général du royaume, à faire proclamer l'avènement de Henri V à la couronne.