Œuvres, recueillies et annotées par A. Vermorel1869 |
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accusation affreux agents amis APPLAUDI armées armes assemblées atroces attentats bonheur Brissot calomnie Capet cesse chefs citoyens civisme commission des douze complots confiance conspirateurs Constitution contre-révolution contre-révolutionnaires Convention nationale crime crimes de lèse-nation criminelle déclaration décret d'accusation défense défenseurs dénoncer députés désespoir devoir Dumouriez égorger ennemis faction fonctionnaires publics force fripons funestes glaive guerre hommes d'État indignes infi intrigants j'ai Jacques Roux jamais jour journal jugement justice l'Ami du peuple l'Assemblée nationale l'État lâches liberté lois Louis Capet Louis XVI machinations mains malheurs mandataires massacre massacres de septembre membres ment mesure mettre ministres Mirabeau misère monarque Motier moyen municipaux nation Note de Marat numéro patrie patriotes pères conscrits perfides Pétion politique pouvoir prince publique punir représentants du peuple République révolution rien s'il salut public sang satellites scélérats Sénat sentir septembre sera seul soldats suppôts du despotisme tête tion toyens trahisons traîtres tribun militaire tribunal tribune triomphe tyran Vergniaud
Popular passages
Page 104 - Ne serait-il pas digne de nous, messieurs, de nous unir à cet acte religieux, de participer à cet hommage rendu, à la face de l'univers, et aux...
Page 290 - Dans tout pays, où les droits du peuple ne sont pas de vains titres, consignés fastueusement dans une simple déclaration, le pillage de quelques magasins, à la porte desquels on...
Page 103 - Franklin est mort. ...Il est retourné au sein de la Divinité, le génie qui affranchit l'Amérique et versa sur l'Europe des torrents de lumière. Le sage que deux mondes réclament, l'homme que se disputent l'histoire des sciences et l'histoire des empires, tenait sans doute un rang élevé dans l'espèce humaine.
Page 229 - Une seule réflexion m'accable, c'est que tous mes efforts pour sauver le peuple n'aboutiront à rien sans une nouvelle insurrection. A voir la trempe de la plupart des députés à la Convention nationale , je désespère du salut public. Si dans les huit premières séances toutes les bases de la Constitution ne sont pas posées , n'attendez plus rien de vos représentants.
Page 226 - Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces, détenus dans les prisons, a été mise à mort par le peuple : actes de justice qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur...
Page 225 - Frères et amis , un affreux complot , tramé par la cour , pour égorger tous les patriotes de l'empire français , complot dans lequel un grand nombre de membres de l'Assemblée nationale...
Page 222 - ... vous dira sans doute, pour se disculper, que la force armée n'a pas voulu obéir, et que tout Paris était à l'expédition, et c'est un fait; convenez donc que c'est une imposture que d'avoir rejeté sur des brigands cette opération malheureusement trop nécessaire. C'est donc parce que les conspirateurs étaient soustraits au glaive de la justice, qu'ils sont tombés sous la hache du peuple.
Page 223 - Pétion serait criminel d'avoir laissé paisiblement des brigands consommer leurs forfaits pendant deux jours consécutifs dans toutes les prisons de Paris ; sa coupable inaction serait le plus affreux des crimes , et il mériterait de perdre la tête pour n'avoir pas mis sur pied toute la force armée pour s'y opposer. Il vous...
Page 4 - ... poitrine. En parlant en société, il s'agitait avec véhémence, et terminait presque toujours son expression par un mouvement du pied, qu'il tournait en avant et dont il frappait la terre, en se relevant subitement sur la pointe, comme pour élever sa petite taille à la hauteur de son opinion.
Page 219 - Si le glaive de la justice frappe enfin les machinât eur s et les prévaricateurs, on ne m'entendra plus parler d'exécutions populaires, cruelle ressource que la loi de la nécessité peut seule commander à un peuple réduit au désespoir et que le sommeil volontaire des lois justifie toujours.