Correspondance générale de Chateaubriand: 1er janvier 1823H. et E. Champion, 1912 - Authors, French |
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28 janvier affaires d'Espagne Affaires Étrangères Agréez alliés ambassadeur anglais arrivé avez avril blocus cabinet Canning Chambre chargé d'affaires chose Collationné sur l'original comte de Villèle Congrès de Vérone Corogne Correspondance de Chateaubriand Cortès courrier Custine D'après l'original autographe d'Autriche déclarer demain dépêche diplomatiques dire discours duc d'Angoulême duchesse de Duras envoyer Espagne espagnol Ferdinand Ferronays février général Pozzo gouvernement guerre J'ai l'honneur J'ai reçu janvier juillet juin l'affaire l'Alliance l'Angleterre l'armée l'Empereur l'Europe l'île de Léon Lisbonne Londres lord Liverpool Madame de Custine Madame Récamier Madrid Marcellus Politique marquis de Talaru matin ment Mgr le duc ministre Minute aux Affaires Monsieur l'Ambassadeur Monsieur le Comte Monsieur le Marquis Montbron Naples neutralité nouvelles Pailhès La duchesse paix Portugal pourrait prince de Polignac Prusse Régence Régence d'Espagne réponse reste révolution rien royalistes Russie sera Séville Sir William A'Court sommes Talaru tion troupes vicomte de Marcellus Villèle
Popular passages
Page 62 - ... avoir pour la France des troubles civils dans un pays séparé d'elle uniquement par une délimitation de convention, contre la contagion morale des intrigues politiques; enfin contre la violation du territoire français par des excursions militaires fortuites.
Page 336 - Je ne crois point à la chute de M. Canning , et je pense, comme vous, qu'il faudrait le flatter pour essayer de le convertir; mais l'amour-propre blessé ne se repent jamais, ne revient jamais, ne pardonne jamais, quand il n'est pas combattu dans une âme élevée par des sentiments nobles et par un penchant généreux aux sacrifices. M.
Page 240 - Je vous remercie de m'avoir un moment arraché à tout ce finrago de dépêches, et à mon cabinet des boulevards, pour me faire encore une fois promener avec vous dans les Cyclades; vous dites vrai : la Grèce apparaît toujours comme un de ces cercles éclatants qu'on aperçoit en fermant les yeux....
Page 327 - ... les assurances de la haute considération avec laquelle j'ai l'honneur d'être, monsieur le baron , etc.
Page 46 - Madrid et à chercher ses garanties dans des dispositions plus efficaces, si ses intérêts essentiels continuent à être compromis, et s'il perd l'espoir d'une amélioration qu'il se plait à attendre des sentiments qui ont si long-temps uni les Espagnols et les Français dans l'amour de leurs rois et d'une sage liberté.
Page 62 - Le duc de Wellington n'a point établi d'objection au nom du roi son maître contre « les mesures de précaution prises par la France sur ses propres frontières, parce que « ces mesures étaient évidemment autorisées par le droit de sa propre défense...
Page 215 - M. le duc d'Angoulême pour une chose capitale : qu'il prenne garde à verser trop dans le sens des constitutionnels espagnols. Il me revient de toutes parts que les royalistes s'effraient de cette disposition du prince.
Page 280 - Naples, son maître, a le premier droit à la couronne d'Espagne, en cas que la ligne royale actuelle vînt à manquer, et qu'en conséquence de ce droit (qui n'est pas bien clair), il réclame pour son maître la Régence d'Espagne, ou du moins le droit de sanctionner par un délégué tout ce que la Régence actuelle peut faire en Espagne. Nous avons eu là-dessus deux conférences avec les ambassadeurs des cours alliées.
Page 11 - M. DE CHATEAUBRIAND A M. DE MARCELLUS. Paris, 2 janvier 1823. Tout le bruit qu'on fait à Londres passera. L'Angleterre peut aimer la souveraineté du peuple ; mais nous, nous ne la reconnaîtrons jamais.
Page 47 - Mais aujourd'hui que toutes les espérances sont déçues, que l'expression des sentiments les plus modérés ne nous a attiré que de nouvelles provocations, il ne peut convenir, monsieur le comte, ni à la dignité du roi, ni à l'honneur de la France, que vous résidiez plus longtemps à Madrid. En conséquence, le roi vous ordonne de demander des passe-ports pour vous et toute votre légation, et de partir, sans perdre un moment, aussitôt qu'ils vous auront été délivrés.