 | Charles Lacretelle - France - 1806 - 486 pages
...connait mes principes « et mon attachement à ses intérêts. « Oui, je le déclare, douloureusement « affecté des crises violentes dont ma « patrie était...morts victimes « de la scélératesse , cent mille autre* « goût encore menacés. « Peuple! pourquoi ne m'as-tu pas « cru ? Si le jour même où la... | |
 | Jean-Paul Rabaut-Saint-Etienne - 1818 - 286 pages
...déposée dans les mains » d'un homme probe et fort de caractère , qui pût, avec tran« quillité et justice, faire tomber la tête des coupables. Déjà...la scélératesse, » cent mille autres sont encore menacés. « Peuple! pourquoi ne m'as-tu pas cru? Si le jour même » où la Bastille fut conquise,... | |
 | Jean Charles D. de Lacretelle - 1820 - 460 pages
...désavoue; il connait mes « principes et mon attachement à ses «intérêts. Oui, je le déclare, doulou« reusement affecté des crises violentes « dont ma...fut conquise , moins sourd à ma voix, « tu avais fait tomber cinq cents têtes «de machinateurs , tu aurais imprimé < la, terreur dans l'âme des... | |
 | Archille François Leonor marquis de Jouffroy d'Abbans - France - 1820 - 478 pages
...d'un homme probe et fort de carac» tère , qui pût , avec tranquillité et justice , faire tom» ber la tête des coupables. Déjà cent mille patriotes...la scélératesse; cent mille » autres sont encore menacés. Peuple ! pourquoi ne » m'as-tu pas cru ? Si , le jour même où la Bastille fut »• conquise... | |
 | Félix Conny de la Fay - France - 1836 - 510 pages
...moyen de la sauver, la dictature , et je l'ai « proposée ; mais je voulais qu'elle fût dépo« sée dans les mains d'un homme probe et fort « de caractère...et « justice, faire tomber la tête des coupables; a déjà cent mille patriotes sont mort victimes « de la scélératesse , cent mille autres sont «... | |
 | vicomte Joseph-Alexis Walsh - France - 1840 - 446 pages
...il connaît mes principes et mon attachement à ses intérêts. Oui, je le déclare, douloureusement affecté des crises violentes dont ma patrie était...de la scélératesse, cent mille autres sont encore menacés. « Peuple! pourquoi ne m'as-tu pas cru? Si le jour même où la Bastille fut conquise, moins... | |
 | France - 1909 - 584 pages
...moyen de la sauver, la dictature, et je l'ai proposée; mais je voulais qu'elle fût déposée entre les mains d'un homme probe et fort de caractère,...pût, avec tranquillité et justice, faire tomber la téle des coupables. » Faut-il l'avouer? je préfère le verbe rude de Marat el son mouchoir de tôle... | |
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Oui, je le déclare, doulou« reusement affecté des crises violentes « dont ma patrie était agitée , la voyant ;. prête à s'engloutir sous ses ruines , je < n'ai vu qu'un seul moyen de la sauver, « la dictature, et je l'ai proposée; mais « je... 