Armorique et Bretagne: Bretagne pendant et depuis la révolution

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 39 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 21 - Je jure d'être fidèle à la nation , à la loi et au roi; de maintenir de tout mon pouvoir , dans l'exercice des fonctions qui me sont confiées , la constitution décrétée par l'assemblée nationale et acceptée par le roi , et de protéger auprès de ses ministres et agens , les Français domiciliés sur leurs terres.
Page 34 - Nous jurons d'être à jamais fidèles à la Nation, à la Loi et au Roi ; de maintenir de tout notre pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale, et acceptée par le Roi; de protéger conformément aux lois, la sûreté des personnes et des propriétés; la...
Page 314 - ... dans le.s apparences des tableaux. Ce problème l'avait amené à rechercher les traditions des artistes pour les comprendre et les juger : aussi ses persévérantes études, appréciées et mises chaque année à profit par les professeurs de l'École des Beaux-Arts, forment-elles, dit MJ Bertrand, la partie la plus originale de son œuvre et la plus digne de conserver dans l'histoire de la science le souvenir d'une carrière si bien remplie. La science, remarque encore à ce propos le secrétaire...
Page 273 - Saint-Nazaire, à partir du 1" janvier 1875, par application de l'article 4 de la loi du 19 mai 1866, un droit de 0 fr. 35 par tonneau de jauge, sur tout navire français ou étranger entrant chargé ou venant prendre charge dans le port.
Page 319 - ... ma famille et ma demeure. Saint-Nazaire, 4 octobre 1871. J. DE LA GOURNERIE, Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, professeur à l'École polytechnique et au Conservatoire des arts et métiers, propriétaire à Donges. » Malgré cet éloquent appel à la conciliation, les voix se divisèrent...
Page 132 - Forcez les hommes, les propriétaires instruits à entrer dans les administrations, et vous verrez la guerre finir. — Je vous le répète, citoyens, épurez les administrations, n'employez que des hommes dont la probité soit reconnue, et la patrie sera sauvée. Le respectable Krieg me dénonce vingt de ces hommes de sang qui sont encore en place et qui disent hautement qu'il faut noyer et brûler pour terminer la guerre. L'agent national et un des administrateurs de Rochefort ont ridiculisé Krieg,...
Page 143 - Calan, dont la capture avait déjà été regardée par les brigands comme une vraie calamité. Voilà les faits tels qu'ils se sont passés réellement; aucun n'est dénaturé. Et moi aussi, je respecte les principes; je ne vois pas le sang sans frémir; j'abhorre l'arbitraire; je ne veux pas qu'on se joue de la vie, de la liberté des hommes; le règne de la terreur m'est odieux. Je voudrais, au prix des plus fortes fatigues, au prix de tout ce qui m'est le plus cher, substituer au désordre, aux...
Page 144 - Vendée et dans ces départements en proie à la rebellion, ne me feront pas oublier mon devoir. Il m'ordonne de repousser la force par la force. Il m'ordonne de venger le sang de braves camarades, et toutes les horreurs commises contre ceux qui ne voient que la république et ne veulent que son triomphe. Il m'ordonne encore d'infliger une punition méritée au crime opiniâtre, d'empêcher que les coupables arrêtés ne retournent grossir et alimenter les rebelles, enfin de prendre les mesures que...
Page 146 - ... veut faire passer ces atrocités sur le compte d'hommes qui, dit-on, n'appartiennent pas à la vraie masse catholique et royale; mais, en attendant, le crime se perpétue, et chaque jour voit es patriotes enlevés à la république. » C'est après avoir essuyé trois fois le feu des brigands ^ qu'investi par deux décrets de pouvoirs illimités pour terminer la guerre des Chouans , et notamment par celui du 16 janvier dernier , j'ai agi de cette manière. » Du i4- = Le représentant Baudran,...

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